Westhawk #2
207 pages
Français

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Description

Son frère vient de convoler en justes noces et Evan ressent un pincement de jalousie devant son bonheur. Lui qui avait juréd e ne jamais se marier se surprend à envier son frère. Alors qu'il ne cherche qu'à mener à bien une mission en France, il rencontre une femme incroyable qui semble lui cacher un bon nombre de choses, mais qui l'enflamme plus qu'aucune autre ! Qu’est qu’il l’attire autant chez cette femme ? Pourquoi éveille-t-elle tous ces instincts protecteurs ? Evan va devoir risquer sa vie, et plus encore, afin de le découvrir.

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 1
EAN13 9782493997029
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Westhawk


Tome2


Larevanche d’une fée
Cathy Antier

Westhawk


Tome2

Larevanche d’une fée
© JennInk Éditions 2022
Tousdroits réservés.
LeCode de la propriété intellectuelle interdit les copiesou reproductions destinées à une utilisationcollective. Toute représentation ou reproduction intégraleou partielle faite par quelque procédé que ce soit,sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droits, estillicite et constitue une contrefaçon, aux termes des articlesL.335-2 et suivants du Code de la propriétéintellectuelle.
Aucunextrait de ce livre ne peut être reproduit, scanné oudistribué sous forme imprimée ou sous formeélectronique sans la permission expresse de l’auteur,sauf pour être cité dans un compte-rendu de presse.
AVERTISSEMENT

Cetexte est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec despersonnes vivantes ou mortes, des lieux ou des évènementsréels n’est que pure coïncidence pour laquellel’auteur(e) décline toute responsabilité.
Celivre contient un langage familier ainsi que des scènes àcaractère sexuel, de scènes de violences, de violencessexuelles (viol..), pouvant heurter la sensibilité des plusjeunes.
Ilest destiné à un public averti.
PROLOGUE


J ’ insèrelentement la clé dans la serrure, les sacs de courses enéquilibre dans mon autre main et pousse la porte del’appartement d’un coup de hanches. Un des sacs manque dem’échapper, mais j’arrive à le rattraper àla dernière minute. Une pomme de terre tombe tout de mêmedu cabas et je grommelle tout bas en la voyant rouler dans l’entrée.
Jem’avance dans l’appartement et dépose mon fardeausur la table de la cuisine et ce n’est qu’à cetinstant que je réalise que je suis seule. Je tends l’oreille,surprise de ne pas entendre la télé brailler àtout va.
C’estétrange, normalement, Michaël est rentré àcette heure-ci !
Jehausse nonchalamment les épaules et allume la radio. Unemusique entêtante monte dans la cuisine et je mets le volume unpeu plus fort, me mettant à chanter et à me déhanchertout en rangeant mes courses. Toujours entraînée par lamusique, je continue mon rangement de l’appartement, un souriretendre étirant mes lèvres en voyant les vêtementssales de Mickaël joncher le sol.
Monpetit copain n’est pas ce que l’on pourrait appeler leroi du ménage. Bien au contraire ! Je me souviens àla perfection du jour où je suis entrée pour la toutepremière fois chez lui. C’était un véritablecapharnaüm. Il y en avait partout. Entre la vaisselle sale et lelinge entassé dans toutes les pièces, on se serait crudans une décharge publique.
Ilm’avait fallu presque une semaine pour qu’on puisse voirles véritables dimensions de l’appartement, et encoreune semaine de plus pour que le sol et les murs retrouvent leurscouleurs d’origine.
Jene suis pas vraiment une fanatique du ménage, mais c’étaitle moins que je pouvais faire pour lui après tout ce qu’ilm’avait gentiment offert. Mickaël est tout pour moi. Je nesais pas où je serais aujourd’hui s’il n’étaitpas entré dans ma vie. Cet homme est un ange descendu surTerre pour me sauver.
J’enfourneles vêtements dans la machine, souriant en me rappelant queseulement quelques mois plus tôt, je ne savais absolument pascomment faire une machine. Je m’en faisais tout un monde, alorsqu’en réalité, il suffit d’un peu dejugeote, et de beaucoup de volonté.
Jeme redresse vivement pour aller préparer le repas du soirlorsque j’entends la clé s’insérer dans laserrure. Sans vraiment prendre le temps de réfléchir,je me rue dans l’entrée et saute au cou de mon copainpour l’embrasser à pleine bouche. Mes jambes autour deses hanches, mes bras enroulés à ses épaules, jeme régale de sa bouche accueillante.
Mickaëlse recule légèrement, un sourire tendre aux lèvreset glisse une main à l’arrière de ma têtepour m’agripper par la nuque et m’éloigner de lui.
—  Hey !Doucement, princesse ! Laisse-moi le temps d’arriver !
J’esquisseun sourire coquin et tire sur sa main calée sur mon crânepour déposer une nuée de baisers humides dans son cou,descendant doucement sur sa clavicule. Ma langue joue avec sa peau augoût musqué de sa sueur.
Mickaëlen profite pour retirer son manteau, se défait de seschaussures qu’une fois de plus il laisse en plein milieu del’entrée et m’entraîne dans notre chambre.D’un mouvement habile, il me détache de son corps pourme jeter sur notre lit.
Jerigole fortement, rebondissant plusieurs fois avant d’êtrearrêtée par le corps à présent nu de monpetit copain. Il a fait vite !
Sonmembre glisse sur mon ventre plat et sa dureté alliée àson humidité m’indique que Mickaël est de bonnehumeur. Ça veut dire que nous allons passer une bonne soirée.
J’accueilletoujours mon homme de la même manière lorsqu’ilrentre du travail et que je suis déjà à lamaison. Je lui saute dessus, et en fonction de sa réaction, jesais si nous allons passer une bonne soirée ou non.
S’ilme rejette brutalement en gueulant, cela veut dire qu’il apassé une mauvaise journée et que notre nuit va êtretrès longue. Dans ces cas-là, je me fais toute petiteet me planque là où il n’est pas. Le plus souventdans la chambre en attendant qu’il ait fini ses petitesaffaires.
Maissi, comme ce soir, il joue le jeu de la séduction, je sais queje vais pouvoir rester à ses côtés, et passer unesoirée sympa.
Sesmains se posent partout sur mon corps, m’enlevant mes vêtementsun à un, me laissant nue et tremblante de froid au milieu dulit. Sa bouche vient titiller ma peau, insistant sur mes tétons,les faisant réagir. Ses mains se posent sur les collines demes seins, et une fois de plus, je regrette de ne pas avoir plus depoitrine.
Jesuis toujours à me plaindre de ne pas être assezféminine, mais Micka me répète inlassablementque ça va finir par arriver. Je n’ai pas encore fini mapuberté à quatorze ans. Il faut que je laisse le tempsau temps.
Jereviens à l’instant présent en sentant la languede mon copain s’insinuer entre mes lèvres intimes et jecrispe les doigts sur les draps, me cambrant contre lui.
Jene ressens pas grand-chose de particulier, mais j’ai remarquéqu’il aimait beaucoup lorsque j’effectuais des mouvementsde hanches ou que je me mettais à crier pendant nos ébats,alors parfois, je me laisse aller à jouer ce rôle.
Sesdoigts s’activent en même temps que ses lèvres etje jette un coup d’œil au réveil. Il prend sontemps ce soir. Normalement, on devrait déjà êtreprès de la fin. Il doit vraiment avoir passé une bonnejournée.
Jele sens remonter le long de mon corps et ferme les yeux pour qu’ilne me voie pas en train de regarder l’heure, avant que sabouche ne se pose sur la mienne. Je réprime la grimace au goûtprononcé qui reste sur ses lèvres et glisse mes doigtsdans ses cheveux.
Sansque je n’aie rien prémédité, je lui mordsla lèvre pour ne pas crier de douleur lorsqu’il seglisse d’un coup franc dans mon antre secret. Il n’estjamais tendre lorsqu’il me pénètre, et je saisqu’il aime quand c’est un peu rude. Alors je le laissefaire. De toute façon, je lui dois trop pour ne pas le laisserjouer avec mon corps comme il le désire.
Mesongles s’enfoncent dans ses épaules alors qu’il semet à aller et venir dans mon corps, mon vagin se crispant dedouleur à chaque mouvement de son membre en moi. Mickaëlaccélère le rythme et les larmes coulent sur mes joues.Sa bouche glisse dans mon cou pour venir prendre mon téton enbouche. Cambré comme il l’est, j’ai l’impressionque son membre me perfore de l’intérieur.
Jesens enfin le moment où son sperme sort en saccade de sa vergeet je me crispe contre lui, laissant un soupir de soulagementm’échapper. Je n’apprécie pas du tout nosparties de jambes en l’air, mais je le fais pour lui. Je me disque je finirais bien par apprécier un jour.
Mickaëlm’embrasse sauvagement, son membre tressautant encore en moi,avant de s’écrouler à mes côtés, lesouffle court, la sueur recouvrant son corps. J’essuierapidement les larmes coulant sur mes joues avec le coin du drap, etvient me coller contre son flanc. Il passe une main tendre dans mescheveux, un énorme sourire ourlant ses lèvres.
—  Tusais que tu es incroyable, ma chérie ! Je peux te direque tous mes potes rêveraient d’être accueillis decette façon par leurs copines.
Jeme redresse pour venir l’embrasser doucement. S’il savaità quel point je peux détester devoir le laisser abuserde mon corps de cette façon. Je hais chacun de nos momentsintimes. Il ne m’est encore jamais arrivé de prendre duplaisir. Et je ne pense pas que ça va s’améliorerbientôt.
Maisça le rend heureux et je ferais tout pour le rendre heureux.Même sacrifier mon corps pour lui.
Ilme donne soudain une tape sur les fesses, me faisant grimacer dedouleur alors que le feu dans mon vagin se propage dans tout moncorps. Il n’y est pas allé de main morte ce soir.
—  Allez !Debout ! Ce soir, j’ai des potes qui viennent. Çaferait mauvais genre de les recevoir dans cette tenue.
Jerigole doucement avant de me lever et de me ruer dans la salle debains. Il n’y a rien que je déteste plus que de sentirle sperme visqueux me dégouliner le long des cuisses. Jegrimpe dans la baignoire et place le jet d’eau chaude, presquebrûlante, contre mes lèvres intimes, les écartantafin que l’eau entre un peu. C’est la seule chose quej’ai sous la main pour calmer un peu la douleur.
Jene reste pas longtemps, me lavant rapidement avant de me sécheret de me rhabiller tout aussi vite. Durant tout ce temps, je ne cessede grimacer de douleur. J’ai l’impression que çadevient de plus en plus douloureux. Mais je ne peux pas mettre unterme à notre relation. Je n’ai pas envie que Mickatrouve une autre femme qui apprécie ça et me renvoie àla rue. J’ai trouvé un endroit sûr où jepeux dormir en toute sécurité.
Jesors de la salle de bains et le rejoins dans le salon, surprise d’ytrouver déjà ses copains. Et cela doit faire plusieursminutes qu’ils sont là, car tout le matos est sorti surla table basse. Micka est d’ailleurs déjà entrain de prendre sa première dose.
Peude temps après mon emménagement chez lui,

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