Oseriez-vous être ?

Sandrine Darroman

Description

« Dans la vie je ne perds jamais, sois je gagne, sois j’apprends » Nelson Mandela J’ai décidé de changer ma vie le jour où mon mal être n’a plus été supportable.

Je me suis construite en pensant que j’étais forte, que je n’avais pas le droit de faiblir. J’ai passé des années où aucunes larmes ne sortaient de mes yeux mais mon corps pleurait de l’intérieur. La maladie a frappé plusieurs fois, mon corps a été mutilé, lorsque j’ai compris que je pouvais changer tout ça, j’ai mis des choses en place et tout s’est transformé. Aujourd’hui j’ai compris que la maladie était le témoignage des obstacles que je mettais à me réaliser. Alors non, ce n’est pas facile mais oui, c’est réalisable. J’ai arrêté de me victimiser et je suis passée à l’action. Si je l’ai fait, vous pouvez le faire !

Avec tout mon amour.

Sandrine Darroman

Thérapeute & coach

Oseretrebysandrine.com

Sujets

• Autre

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 13 juillet 2021
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414543236
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 2 Mo

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : [phone] – Fax : [phone]
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www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-54324-3

© Edilivre, 2021

Introduction
Merci de vous être procuré ce livre.
Cet ouvrage est tout ce qui m’a permis d’avancer et de changer ma vie.
C’est grâce à vos encouragements à travers mes posts que je me suis lancée dans l’aventure de la publication.
Comment utiliser cet ouvrage ?
Je vous propose de vous poser une question et d’ouvrir le livre à une page « au hasard » et de lire le message qui vous sera destiné. Où bien lire le sujet qui vous inspire ce jour. Où encore, tirer un nombre de 1 à 426 et le tour est joué.
Changer sa vie est à la portée de tous. Il faut juste s’en donner les moyens.
Modifiez votre façon de voir les choses et regardant plus loin et en arrêtant de se voiler la face m’a fait grandir.
On le sait, mais le savoir ne suffit pas. Il faut passer à l’action et mettre des changements en place.
Belle lecture.
Sandrine
Remerciements
Je tiens à remercier tous ceux, qui m’ont donné l’idée de publier mes écrits.
Je tiens à remercier particulièrement mon mari pour son soutien sans faille, Bamako une tribu extraordinaire sans qui, je n’aurais jamais eu l’idée de partager à travers cet ouvrage, mes enfants (Chloé, Louise, Martin) qui me font grandir chaque jour, mes parents, sans qui je ne serais pas celle que je suis aujourd’hui. Valérie (Moulou) qui est venue me chercher pour me montrer où était ma place, Muriel, avec qui j’ai appris mon premier soin énergétique, mon amie Amélie qui est un soutien au quotidien, ma petite Jessica qui a toujours la solution à tout.
Je suis extrêmement reconnaissante à tout ceux qui m’ont malmenée, merci car sans vous je n’en serais pas là, ça m’a beaucoup appris sur moi-même et sur les besoins que chacun a de croire ou non. Je remercie ma petite Manon qui est là depuis plusieurs mois dans ma vie, Valérie (Valoo) qui m’a aidé en off dans mon entreprise, Nancy Nau ma photographe, ceux qui m’ont inspiré et les autres. Merci à mes clients qui m’accordent leur confiance et qui me permettent de me transformer chaque jour en une version de moi que j’aime. Merci à vous, à moi.
Prenez soin de vous.
Intuitivement,
Sandrine
Qui suis-je ?
« Dans mes croyances plus ou moins lointaines, la réussite était en lien avec l’argent et tout ce qui touchait au matériel. » Je me suis construite autour de ça avec comme seul objectif de réussir financièrement et c’est là que je me suis perdue. Il y a aujourd’hui 10 ans, grâce à la maladie, j’ai décidé de m’écouter et faire un travail de développement personnel par le biais de formations et de découverte, avec la psycho énergétique puis avec des groupes de spiritualité. En novembre 2017, après ma certification en psycho énergétique, je ressens le besoin clair et évident d’aider les gens en transmettant tout ce qui m’a permis d’être moi.
Ensuite, je découvre par le biais de ma fille la kinésiologie à laquelle je me forme. Les fleurs de Bach, l’aromathérapie et le modelage thérapeutique, ayurvédique et intuitif font également partie de ma formation. En 2019 je suis diplômée en socio coiffure pour accompagner les personnes atteintes de cancer et les personnes en fin de vie. J’accompagne aussi grâce à du coaching personnalisé.
« Dès que j’ai commencé à m’écouter véritablement, les choses se sont installées en moi pour m’emmener, petit à petit, à me redécouvrir. Mes croyances sont passées de limitantes à ouvertes. C’est en observant que des peurs, des refus et des jugements se sont atténués. » Nous avons tous la légitimité de la peur mais nous avons tous le choix de les franchir. C’est grâce aux expériences et à des histoires vécues que je m’appuie pour démontrer la possibilité d’évoluer. »J’aime transmettre mon énergie et voir les personnes dire que c’est possible alors qu’elles disaient le contraire au départ. » Je m’appelle Sandrine et aujourd’hui, je suis heureuse.
1. Dans la communication, s’adapter au rythme de l’autre va être super important.
J’ai longtemps remarqué, que lorsque nous avons un échange, nous ne sommes pas forcément à l’écoute total de l’autre. Aujourd’hui, je pense qu’il est plus important d’écouter, que de parler. Il s’agit de s’entraîner à entrer en relation.
À avoir une posture adaptée à l’autre. Mais surtout rester soi-même, fera que la communication sera authentique, pure, et porteuse ou deux parties. Plus nous serons honnêtes, plus nous pourrons être en accord avec nous-mêmes.
2. Il m’arrive, dans l’accompagnement, d’être bouleversée par la rencontre d’une autre personne avec qui je partage un instant de ma réalité.
Je ressens cette « chose » inexplicable qui nous rapproche soudainement, à tel point de nous indiquer et de ne plus savoir si nous sommes un ou deux. Penser à l’altérité, c’est s’interroger sur ce qu’est l’autre, sur notre relation à autrui. Comme l’enfant qui se découvre dans le miroir.
3. La loi de la responsabilité
Elle n’a rien à voir avec le mérite ou la punition, avec la chance ou la malchance, la justice ou l’injustice ou encore la culpabilité. Elle ne concerne qu’un enchaînement de cause à effet.
4. Généralement, les gens ont très peur des échecs, de l’erreur ou de l’imperfection.
Mais souvent, quand je leur demande de faire la liste de leurs réussites, ils réalisent que chacune d’elles a été possible grâce à des erreurs, des échecs, des imperfections, des critiques… Tu ne peux pas réussir sans passer par l’échec, tu ne peux pas te perfectionner sans passer par l’erreur. Chaque échec est une super expérience ! D’ailleurs, il n’y a pas d’échec, il n’y a que des expériences.
5. Je pense qu’il y a une confiance en soi qui est conditionnelle, que nous expérimentons avec la répétition.
Par exemple, si tu fais beaucoup de conférences, avec le temps ça devient de plus en plus facile. Tu es rodé, ton système nerveux possède un automatisme, des attitudes et une façon de fonctionner qui font qu’il y a moins d’inconnu pour toi. Tu es plus en confiance. Ce premier niveau tu l’acquiers en réduisant la dose d’inconnu. Ce n’est pas que tu n’as plus peur, c’est juste qu’il te faut aller plus loin pour avoir peur. L’inconvénient de cette confiance, c’est que si on nous met dans une situation que nous ne connaissons pas, nous nous retrouvons à la case départ.
Il y a un 2 e niveau de confiance, lui, qui s’acquiert durant toute notre vie, c’est un chemin. C’est la confiance inconditionnelle qui, pour moi, s’accompagne d’une confiance en quelque chose qui est supérieur à nous. L’important est de croire en quelque chose qui est plus grand que soi : la vie, l’univers, la science…
Ça permet d’aller chercher de l’énergie au-delà de soi, de se dire : « Je vais peut-être échouer, mais j’ai confiance que quelque chose qui est plus grand que moi me fait vivre exactement ce qui est juste et bon pour moi. Quoi qu’il arrive, ça me fera grandir. »
6. Tous les changements ne sont pas manifestes.
Tous ne relèvent pas de bouleversements, de révélations, de conversions, ou de métamorphoses. Certaines transformations sont silencieuses. Le changement est casi-imperceptible, parfois inconscient au début. Puis un jour, on mesure le chemin parcouru. C’est ce qui se passe avec mes soins. C’est un processus de transformation silencieuse nourrit par des ouvertures, des rencontres, une nouvelle ouverture d’esprit, des prises de consciences… C’est fait avec le cœur et en douceur.
7. Pour moi, le plus beau jour de notre vie c’est quand on réalise que les parents qu’on a eus, ou qu’on n’a pas eus, que le corps qu’on a, ou qu’on n’a pas, tout est parfait pour nous.
Quand nous nous levons le matin et que nous nous disons « mes parents, comme ils ont été, avec leurs présences et leurs absences, avec ce qu’ils ont dit ou pas dit, fait ou pas fait, ils ont été parfaits pour m’aider à faire de moi qui je suis aujourd’hui, ce qui me permet de faire ce que j’ai envie de faire ».
Quand vous touchez à ça, vous êtes invincible et vous arrêtez de vouloir être quelqu’un d’autre. Ça donne envie de mettre ça au service de l’humanité, d’en faire une fondation, un livre, un business, peu importe. Nous réalisons alors que tout a été et tout sera toujours parfait.
8. Dans la puissance de l’évidence, il y a quelque chose d’extraordinaire.
Nous passons nos vies à douter, mais certaines rencontres ont le pouvoir de nous délivrer.
Que réveillent t’-elles en nous qui ne laisse plus de place à l’incertitude ? Que rencontrons-nous alors ? Quelque chose probablement de la « vraie vie ». Nous acceptons d’être emporté malgré le danger.
Au cœur de cette prise de risque un sentiment de familiarité nous rassure. Nous sommes en confiance. Nous nous sentons chez nous dans l’inconnu c’est le signe que nous rencontrons quelqu’un. Lorsque cette évidence est là, c’est souvent une rencontre d’âme à âme.
9. La souffrance est un correctif qui met en lumière la leçon que nous n’aurions pas comprise par d’autres moyens et elle ne peut jamais être éliminée, tant que cette leçon n’a pas été apprise.
La loi des responsabilités constitue la condition de base à une véritable guérison.
10. Le jour où j’ai compris ça, ça a changé ma vision du couple et ma relation avec mon mari.
Je pense avoir appris la « vraie notion » de l’amour : J’aime ce qu’il est, j’aime sa beauté, j’aime ses valeurs… Mais le jour où j’ai compris que le but d’un couple n’était pas de vivre uniquement du confort, mais aussi de l’inconfort, ça a cassé mon fantasme du couple. Ma croyance est que le but d’un couple c’est de faire grandir, d’apprendre à aimer en nous ce que nous n’aimons pas encore.
Parfois, je jugeais mon mari parce que je le trouvais « tire au flan », mais en fait il ne l’était pas.