Any Minute Now
46 pages
Français

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Description

« Les étoiles sont parfois les yeux
de ceux qui ne dorment pas,
des yeux qui voient en haut,
des yeux qui voient en bas ! »

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 10 mai 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414048366
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-04834-2

© Edilivre, 2017
Lundi
Sans réelles nouvelles,
de mes ami(e) s « dailleurs »,
c était lundi disais je,
la semaine commençait…
Drôle d’époque, drôle d’année,
drôle de gens, drôle de vie…
M’aimes tu ? M’aimes tu ?
Commençait la semaine.
Cette fameuse question
était dans toutes les têtes…
Y répondrais je, un jour ?
Peut être a la fin de la semaine…
De reproches en débords,
de débords en travers,
on se renvoi la balle
sous formes de reparties
et donc chaque lundi,
la vie commence ainsi :
A savoir, si tu m aimes
Comme moi j aimerais ?
A savoir si je t’aime
Comme tu dis mériter ?
Si l’amour est mutant
Est-ce que je t aime autant ?
Les mots comme les fleurs
Fanent ils aussi vite ?
Ce merveilleux bouquet
Que la vie fait a l amour,
N est il une illusion,
Qui ne dure qu’un jour ?
Lundi, tu restes sourd,
Tu entendras Mardi,
A moins que mercredi
Tu ne parles de pluie.
Que Jeudi, tu oublies.
Vendredi tu souris,
En pensant à Samedi…
Dimanche sera-t-il beau ?
Un amour sans nuages ?
Douce nuit
Les étoiles sont parfois les yeux
de ceux qui ne dorment pas,
des yeux qui voient en haut,
des yeux qui voient en bas !
Ils dormiront debout,
Demain et après coup.
C est de pauvres coucous,
nous chantes le hibou.
Et de gros baillements
les tiendront éveilles,
qui nous rappeleront
que la lune brillait,
qu’aujourd hui est un jour,
qu’il ne faut pas gaspiller,
car en même temps que le temps
l’amour est egrene…
Je vous aime, je vous aime…
Oh ! comme je vous aime.
Il me faudrait ma chère,
Pour vous prouver mes dires,
Pouvoir courber l’echine
Et pouvoir vous fléchir…
Je vous aime
Je vous aime…
Oh ! combien je vous aime.
De toute mon essence,
A en perdre les sens.
Je n en dors plus ma chère.
Je suis à la lisière
de l a mort ma toute belle.
Je vous aime
Je vous aime…
Oh ! ne soyez pas cruelle
Ayez pitié de l’hetre.
Un peuplier ou un charme peut être
Vous auriez préfère
Pour vous tourner la tête !
Et je ne suis qu’un hetre
et non un chêne liège.
Mais voyez donc ma chère
Comme je peux plier.
Et par amour pour vous,
rester des siècles ainsi
un genoux a vos pieds,
avoir pour seul bonheur,
d’être sur cette terre,
l’hêtre que vous aimez.
Mardi
Seras-tu toi aussi
un tout pauvre Mardi ?
Un de ceux qui, auront
souffert tout un Lundi !
A compter bout de ça !
A compter bout de çi !
Et à faire addition
de miettes et de leçons…
Faudrat il donc Mardi,
Te déguiser aussi,
Pour le grand carnaval ?
J entends, celui de la vie !
Attendre Jeudi
Et non plus Mercredi.
Pour qu’après la croute,
tu attaques la mie,
et que le pain soit noir
sans glutten ou de mie.
Que t importe le son
De tout ce qui se dit.
Quand l estomac est plein,
Il devient sourd aussi !
Mais ce qui serait bien,
C est qu’ils en aient aussi,
Tous ces pauvres petits,
Et du pain et de la mie.
Et si c est pour Jeudi,
Hâtes toi Mercredi !
Combien…
Combien de fois par jour,
Je murmures ton nom,
Combien de fois par jour ;
Comme une incantation.
En ma tête ton nom,
ecchote et se répète,
comme trop nécessaire.
Tu ne sauras jamais
Que parmi les bienfaits,
Je t avais classifie
et tu le resteras,
aussi longtemps crois moi
que ma bouche s ouvrira.
Et ce jusqu’au trépas.
Tu ne sauras jamais,
Par quel jeu du destin,
Le tiens croisa le mien
Et combien de follie
Et combien de chagrin,
Tu devais m’ammener
Au gré de tes envies.
Prisonnier de ta vie.
Tu ne sauras jamais,
Combien j ai ressenti
cet ordre silencieux
et pourtant impérieux,
qui me suis et me dit :
« jusqu’à la fin de ta vie,
Prends toujours soin de...

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