Challenges

Massinissa Dahlal

Description

Une charnière événementielle , par où pivotent constats et critiques sur un ton lyrique.

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 06 novembre 2019
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414392490
• Langue: Français

Extrait

Couverture
Copyright
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
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Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-414-39405-0
 
© Edilivre, 2020
Préface
À la croisée des raisons multiples des circonstances, des événements qui prennent le dessus, on s’efforce de mettre au point nos défenses morales et intellectuelles pour subjuguer les imprévus et les contrecoups d’une vie aux facettes diverses, qu’on se remet à identifier nos capacités à leurs justes valeurs, en empoignant une traçabilité intelligente des parcours à emprunter.
On se noie dans les siècles
La rancœur d’un temps passé
S’imbibe dans le chagrin du futur
Nos existences et nos parcours
Dans le collimateur du temps
On se fait jauger par la raison
On se fait évaluer au cours de l’instant
Qu’un certain temps s’avère une limite qui passe à l’action
Pour passer à l’autre phase du temps
Et nous en travers, on se fait ausculter
Pour accéder à d’autres comptes et passions
Imagés résolument pour passer à d’autres camps
Ainsi d’un siècle à un autre
On porte notre inventaire de lots de vicissitudes et de compassions
Peu importerait alors sa quintessence
Dès lors qu’on s’y amène même à contre – courant
Pour y atteler d’autres regards
Jusqu’à y faire d’autres standards
Et d’autres virées en admission
Une vie au début ou à mi-chemin d’un temps
Qui continue à parler d’elle
Le temps qu’on comprenne la sécession.
L’incompatibilité hiérarchique
Quel doute, quelle frustration
Quel désenchantement providentiel pour toutes ces vives et archaïques couleurs
Quelle désolation de s’être fié à ces figures du mal et de la trahison
A ces fleurs de l’amertume
A ces scandales vivants de la désuétude
De la lâcheté arbitraire de la corruption
Qu’arbore fièrement les petits esprits malveillants
Qui ne doute pas un instant de l’ampleur des dégâts portés
Aux valeurs du destin qui pertinemment aura son droit
Sur tout ce qui va de travers
Et n’y va pas tout droit
Qu’importe en plus tous ces dépassements
Qui ne riment en rien en leur consistance
Que de faire semblant d’enseigner la loi
Alors qu’elle ne fait substantiellement pas foi.
La légende du mensonge
On a tous cru un moment à la réalité des choses
On a tous pris comme slogan le fin mot de la prose
Au fin fond du silence, on a tous cru à ce qu’on pense pour ne pas dire au mensonge
Qui prenait l’allure de toujours faire de son éponge
Qu’importait la vérité, puisqu’on s’enclenche
Les deux faisant commune chance, étaient pareils dans leurs rebords
Juste une infime secousse dans le remord
A discerner pour ne pas dire du tort
Pour un peu rester dans les normes
Comme il convient d’appeler les choses encore
Cerner la faute tant que cela ne change pas encore
Et rester fidèle au besoin de vivre encore
Et comment ne pas croire les deux
Puisque en tout cas, on fait mine d’expliquer l’accord
Qu’on a à concilier la stupeur à sa réponse
Comme si...