Du cœur à la plume
72 pages
Français

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Du cœur à la plume , livre ebook

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Description

Du cœur à la plume n'est pas simplement un recueil mariant quelques belles tournures de phrases, mais bien les pensées les plus profondes d'une âme qui, n'ayant pu au travers du verbe exprimer la force de ses émotions, a pu le faire grâce à la plume. C'est un cœur tourmenté qui parle... Et si vous l'écoutiez ?

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 30 janvier 2018
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414194506
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-19448-3

© Edilivre, 2018
A elle
Et tu danses dans ma tête,
Comme une ballerine, divine
Etoile, oh grande prophétesse
Danse danse et câline moi,
Je t’aime comme jamais ;
Je t’aime comme je ne le devrais.
Ta beauté semblable à celle d’une fée ;
Fait chavirer mon cœur de mille pensées ;
Fait glisser doucement mon esprit
Sain vers la folie.
Oui ! Mais folle de tes yeux
De tes lèvres de ton corps de ton cœur
Toi tout entière dans la douceur
Et t’aimer jusqu’aux plus haut des ciels.
Crois-moi, si je te dis
Que quoi qu’il arrivera
Tu passeras, au moins toute une Vie,
Bien au chaud dans mes bras.
Lève les yeux au ciel
Et observe les étoiles
Allumées pour toi.
A vous
Calme tempête,
Qui rode dans ma tête,
Qui dort au coin de ma bouche,
Mais qui jamais ne me touche.
Et vos langues, chères
Vipères,
Ne m’atteignent que dans vos chimères,
Vos paroles dites amères
Ont pour moi un goût d’éphémère.
Vous voir avec tant d’efforts
Essayer de me rendre mes torts
Vaut pour moi beaucoup d’or.
Et ! Car si vous m’aimez,
Je ne peux que vous Embrasser,
Jamais je ne quitterai vos douces pensées.
A vous également,
Si vous me haïssez,
Je ne peux qu’élégamment
Vous remercier ; car jamais
Je ne quitterai vos pensées.
A vous, oui,
Vous qui chérissez le temps,
Vous venez de passer quelques instants,
En compagnie de mes écrits,
Alors à vous,
Et à votre mépris,
Chers petits fous,
Merci
Descends
Toi,
Vieille légende,
Perchée là-haut sur ton nuage,
Bâtissant ton royaume dans le ciel
Au-dessus de nous.
Toi,
Hypothétique figure,
Dont les noms sont si nombreux,
Avec toutes tes maisons secondaires, ici sur Terre,
Qu’attends-tu ?
Toi,
Dont tant de gens parlent,
Si vraiment tu existes
Cesse de lire par-dessus mon Epaule,
Et descends.
Oui, toi,
Descends de tes nuages dorés,
Cesse de nous prendre de si haut.
Assieds-toi à coté de nous,
Viens prendre un verre,
Viens, il faut que l’on discute.
Toi et moi,
Nous avons à parler,
Je ne crois que ce que je vois ; tu le sais.
Mais il parait que l’on t’a vu,
Quelque part entre deux averses et un arc en ciel.
Toi,
Qui habites dans le cœur de tes fidèles,
Pourquoi ne transmets-tu donc pas cet Amour,
A ces ignorants qui chaque jour
Tournent le dos à leur propre reflet,
Sans savoir que quand il frappe, c’est lui-même qui saigne.
Je voudrais bien croire en toi,
Mais je ne peux concevoir
Qu’un grand père assis si haut,
Préfère fermer les yeux
Face au trop plein de malheurs.
Alors oui, toi,
Petit marionnettiste,
Si tu existes, fais-nous donc un signe,
Relève la tête
Et bas toi.
Si j’avais eu des ailes
Si j’avais eu des ailes, j’aurais été, plus haut que l’Olympe, te bâtir dans les nuages un palais, dont les Dieux eux-mêmes seraient jaloux.
Mais je n’en ai pas.
Si j’avais eu des ailes, je t’aurais offert la Lune. Nous aurions été dormir le nez dans les étoiles, glisser sur la voie Lactée, naviguer d’Andromède à Cassiopée à bord d’un vaisseau de verre blanc.
Mais je n’en ai pas.
Si j’avais eu des ailes, j’aurais, à l’aide d’une épée, gravé ton nom dans la pierre, afin que tu traverses les siècles, tel Apollinaire, Hugo ou Rimbaud.
Mais je n’en ai pas.
Si j’avais eu des ailes, je t’aurais emmené loin, très loin ; dans un monde où la guerre n’a pas été inventée, où la religion se vit sans crainte, où les hommes ne s’entretuent pas comme des animaux.
Mais je n’en ai pas.
Si j’avais eu des ailes, ô grand Dieu, si j’en avais eu !
Mais je n’en ai pas.
Seul mon cœur au tien peut s’allier. A deux nous sommes plus fort, pour se battre contre le monde, s’élever contre les amalgames, la tyrannie, la haine, le racisme.
Avec ma plume
Avec ma plume, j’irais jusqu’au bout du monde. Je gravirais les montagnes de l’indifférence, j’irais, plus haut qu’Icare, brûler les ailes de la colère.
Avec ma plume, je graverais dans le marbre mes rêves les plus fous, mes sentiments les plus instables, et, comme un funambule, j’irais me balader dans les airs, regardant les monstres d’en bas, eux, qui éternellement vivront rongés dans le noir, par leur bêtise et leur haine.
Avec ma plume, je transformerais ces océans déchaînés en douces vagues qui, te caressant la peau, ne te voudront jamais autre chose que du bien.
Avec ma plume, je dompterais les nuages fougueux, les tornades hystériques pour en faire de tendres brises.
Ma plume est mon arme, mes mots, ennemis du Mal, et mon papier, témoin de la passion qui m’anime à jamais.
Tu sais, avec ma plume, je ferais bien des choses. Mes mots protégeraient à jamais Les Miens, ces exceptionnelles créatures valant bien plus que les autres noms que l’on peut leur donner.

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