Éphémérité : l immortelle
112 pages
Français

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Éphémérité : l'immortelle , livre ebook

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Description

« Quelques mots sur un papier



Décrivant des sentiments froissés.



Quelques mots sur la simple idée



De vouloir partager... »



C'est un recueil de poésie traitant de maux, de joie, d'amour, et quelquefois de légèreté. Mais du bonheur aussi, de la peur, de la confiance en soi. Du temps également. Le caractère éphémère de la vie.



Laissez-vous donc plonger dans cette lecture qui vous animera et vous fera vibrer.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 09 avril 2020
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414448098
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cet ouvrage a été composér Edilivre
194 avenue du président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
 
Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-414-44808-1
 
© Edilivre, 2020
Enfin là :
“C’est la lumière, un coup d’éclair
On ne choisit pas d’avoir l’air
D’avoir. D’être sans être
Avec l’ombre d’un peut-être.”
I À l’entrée
À la vie que l’on se jure belle, maman,
Je me fais l’idée que demain ne saurait être décevant.
À la nuit que l’on injure sans conviction
Puisqu’elle reviendra, les jours sont tourbillons.
À l’amour que l’on voit partout, un peu trop partout,
Qui brille et qui aveugle de sa funeste bonté les misérables fous.
À la haine qui nous a été donné d’apprécier sa saveur sucrée,
Ces jours où plus rien de l’enfer ne saurait autant me réanimer.
À l’envie qui m’a attrapé tel le bout d’un rien du tout,
Qui enflamme les âmes, bouge les corps de par ses coups.
À la peine qui surgit des profondeurs abyssales des ténèbres,
Qui procure joies aux diaboliques gens rayés comme des zèbres.
À l’espérance qui nous enivre de croyances vraies ou fausses,
Qui nous pousse pour un plongeon d’air dans la fosse.
Et à l’abstinence qui apporte avec elle la satanique frustration,
Qui diablement fait paraître deux écarlates lumières rouges derrière nos fronts.
Je leur dédie tout mon être, qu’ils me fassent marionnette
À leurs affreuses volontés. N’est-ce pas le plaidoyer à l’entrée de la fête ?
II Poèmes du poète
C’est un poème ça n’engage que tes yeux.
C’est ce que tu crois comme tes mille dieux.
C’est un chemin d’amour trop creux,
Et puis seulement l’histoire d’un pauvre heureux.
Qu’il n’y ait pas les mots qui te feront vibrer
N’est pas au fond le problème à accuser.
Naît pas qu’un vide derrière les mots mélangés,
Ou alors le vide de la douce chute de l’être oublié.
Il y a des idées qui prennent de la hauteur,
Dans les constructions de l’anamour de l’auteur,
Des idées tendrement tordues peintes de noirceur.
Il y a l’ambiguïté du cœur, de l’histoire d’un soir,
De la fragilité déconvenue, le corps de l’espoir,
Une mise à nue comme tu ne peux la croire.
III Tedium
Donne-moi de quoi pouvoir danser.
Donne-moi de quoi pouvoir me lancer.
Rêver d’aimer, oups je viens de buller.
Comment ici-bas s’amuser ?
Que le ciel éclaire les doubles pas,
Qu’il ne tique pas sur un tac,
Que l’on ne marche pas sur une croix.
Le ciel gris, l’arc-en-ciel vient comme une claque.
J’aime mon univers parfois coloré,
La glace sur les doigts, dégouliner.
Rêver de beauté, oups je viens de buller.
Je crois m’être amusé.
Que le paradis me frigorifie,
Me donne d’avoir envie.
M’habiller en rose, bleu et jaune,
Ce n’est pas demander l’aumône.
Comme si j’étais drogué,
L’envie de tout éclater.
Rêver de gagner, oups je viens de buller.
C’est sûr j’en suis amusé.
IV Comme idée
Je me fais bien une idée
De ce qui pourrait être osé.
Allongé là, vois comme je suis posé.
J’ai dans la tête des formes de silhouettes,
Comme des envies de pirouettes.
L’idée en tête, têtue, casse-tête.
J’ai en fond de tête l’envie de fête,
D’amour, peut-être, vêtu de couette.
Dieu que cette idée est chouette.
Sexy l’idée est, reine de fête.
Je meurs sous la plaine d’idées.
Il n’y a pas eu assez de fessées
Aux erreurs du passé,
Mais le futur pourrait bien en apporter.
Et l’idée me fait là alors fantasmer,
Que peut-être j’irais me bander
Les yeux, au lit m’accrocher.
Petite mort, me faire voler.
C’est peut-être culotté
Et je me fais bien trop d’idées.
V Versus
Je sais, je n’irai pas…
À la main dans la main.
Au temps qui va-et-vient,
Du moderne à l’antique que je ne connaîtrai pas.
Des yeux dans les yeux encore,
Jusqu’au lit qui nous assomme.
Elle me cueillera comme une pomme,
Au beau milieu du moderne et de l’antique décor.
À l’idée de nos souvenirs
Que l’on se fait oublier,
Je reconnais ne pas savoir aimer
Le moderne comme l’antique trop bien ou bien pire.
… Jusqu’à la fin. Je sais,
Moi, jeune, je connaîtrais le chute, J’avancerai en haut. La flûte
Moderne et antique jusqu’en enfer qu’elle me conduirait.
Aimer-ça :
“L’univers est mystérieux,
Nos vies font des envieux… ”
VI Pas
Fais le premier pas, D’une grandiosité
Ou d’une inimitié.
Mais saute le pas.
Fais deux pas froid,
Ou chaud,
Et pas haut.
Deux, pas trois.
À reculons ; Oh non,
Pour nous Marchons.
La vie est devant.
À contre coup,
Gentil petit loup, Parfois trop mou.
Fais un premier pas.
Je ne te promets rien,
Ce sera sûrement moins bien.
Mais saute le pas.
Fait d’eux pas lumière,
Pas, ou plus de bonté.
Mais de la beauté, Manque le fer.
À...

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