L'écriture comme un couteau

Yannick Taillefer

Description

Chacun doit vivre avec le poids de son passé.
Dans ce recueil de poèmes, à travers ses lignes, l’auteur nous laisse percevoir les difficultés qu’il a traversées.
Entre colère et mélancolie, déception et impuissance, il évoque ses blessures, ses désillusions et les rencontres éphémères, qui ont apporté un peu de bonheur à sa vie.
Dans certaines circonstances, le chemin de l'existence devient sinueux et il faut vivre avec les conséquences de ses actes. Il garde cependant confiance en espérant pouvoir aller de l’avant et retrouver une vie meilleure : la renaissance qui délivre des douleurs du passé.

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 05 mai 2017
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414064830
• Langue: Français

Extrait

Couverture
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Cet ouvrage a été composér Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-06481-6

© Edilivre, 2017
Dans l’opacité écarlate d’un verre de vin
je vois ton regard doux et aimant toujours posé sur moi.
S.M.S. en absence
Femme enfant au regard étoilé,
Déploie les ailes de la liberté.
Ecrin tendre et fragile,
Qu’elle a su forger, unique en son être, habile.
Une soirée de plus avec ton souvenir,
Dans mes bras ta douceur, ton désir.
Il ne me reste plus que les plaisirs diaboliques,
Paradis mortels havaniques.
Fraicheur des flocons, en ce calme nocturne,
Dévalant sur sa peau brune de dunes.
Que ne suis-je en elle ? Poussière du ciel,
De l’autre côté me suivra-t-elle ?
Mes mains, ton regard, ton audace, ta présence,
Tu m’as fait aimer ce silence.
Ton image tourne, tourne, tourne toujours,
Bouleversant, renversant, mes jours, mes jours.
Les notes d’octobre de notre mélodie :
Douceur d’être, écrin d’envies.
Ta chaleur sereine alors m’envahit
Dans mes bras blottie, havre ivre de vie.
Fraicheur des flocons en ce calme nocturne
Dévalant sur sa peau brune de dunes.
Que ne suis-je en elle ? Poussière du ciel.
Possibles accessibles enfin avec elle.
B. comme devenir
Jardin secret, nos actes,
Nous trahissons le pacte.
En vérité je suis,
Le paraitre tu fuis.
En libérés vos draps,
Ici ou là mes bras.
A leur mépris caché,
Eternités volées.
Sur ma portée, couchée,
Nos corps accords, livrés.
Votre fragrance ancrée,
Votre élégance lovée.
Leur apathie tenace,
Leur morale trépasse.
L’ivresse, la vie,
Pécheresse, leurs cris.
So, I wanna be comme devenir
To the other side devenir – nous –
De son imaginaire, de sa passion est né le vertige du bonheur possible.
Moi, l’autre
Perdue dans le mirage
D’une vie qui fait naufrage.
Cherche en l’autre un présage,
Elle se trouve davantage
Dans le viol, en sauvage,
Il...