La Parade des anges , livre ebook

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La vie, la mort, et toutes les dérives peuplant le chemin menant de l’une à l’autre: conciliant philosophie, humour, sagesse et lucidité, c’est la condition humaine qu’explore ce recueil de réflexions. Avec "La Parade des anges", Elie Gourion arme l’homme pour se voir tel qu’il est, et tel qu’il pourrait être. Cocasses, graves, originales ou pleines de bon sens, plus de 4000 aphorismes et autres pensées pour poser un regard neuf sur le monde.
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Nombre de lectures

31

EAN13

9782748351873

Langue

Français

La Parade des anges
Élie Gourion La Parade des anges
Publibook
Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55 IDDN.FR.010.0114705.000.R.P.2010.030.40000 Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2010
À Ariel, mon filleul
Le ciel est toujours un spectacle ; il peut être de toutes les cou-leurs ; l’arc-en-ciel est unmust.
Dieu veut me former, les autres souhaitent me détruire ; qui gagnera ? Moi.
Le propre de l’homme est l’amour et il en a fait l’amour-propre.
Déjà que vivre avec soi emballe, alors le reste, c’est du rab !
L’amour est une rencontre tellement inespérée que face au fait, on est si étonné qu’on en devient amoureux, vraiment !
Qui s’applique, s’implique.
Aimer, c’est s’accepter soi ; quel envol !
Il en est une seconde épreuve à entrapercevoir le visage satisfait de ton prochain lorsqu’une épreuve t’est envoyée.
Un bonheur est de comprendre que la volonté des hommes n’est pas celle de la Divinité, mais pour beaucoup ce fût un malheur.
Ne penser qu’à soi lasse et tout l’humain est là puisqu’on cher-che un objet à aimer.
Que les autres se désillusionnent, on acte devant Dieu.
Comme si en détruisant, ils se construisaient.
Pas plus gonzesse que le peuple.
Que l’achat, sous une robe à vouloir dominer n’est au fond, qu’un abandon.
Pourquoitravaillons? Ils sont un-nous à accepter les autres idéal tapi à nos portes.
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Si nous n’avions plus de doutes, nous resterait cette envie de douter des autres, tout de même.
La patience est inhumaine mais elle seule façonne l’humain.
Il n’y a de mal qu’en les hommes mais non en l’homme ?
Plus personne ne se bat dorénavant contre le puissant ; mais tous se débattent !
Le bien est inexistant en ce monde ; comme lui !
Nous avons idée de l’Infini par le biais de la beauté d’une femme.
Nous avons plus d’un caractère ; nous sommes très riches ; et le resterons ; bien qu’on dilapide.
Quoiqu’il se passe, on aura été soi. Voilà le fatalisme.
L’instinct le plus féroce de l’homme est de vouloir croire.
Le sentiment est à la vie ce que le parfum est à la fleur.
La solitude : c’en est assez. Mais à qui le dire ?
Croire c’est vouloir croire.
Les intelligents peuvent faire des conneries mais ne les refont jamais.
Mais, cher ami ; c’est que l’inconscient est consciencieux.
Le spirituel c’est cette dimension qui se trouve entre le physi-que et l’idéal.
Chez certains, le meilleur des somnifères c’est d’avoir quelque chose à faire. C’est certain.
La bêtise, je dirais que c’est ne pas être habitué à la vie.
Un imbécile se sachant tel, le reste-t-il ?
Je connais le bonheur mais ne sais pas ce que c’est.
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