La Rosée

Christian Silvano Tshamala

Description

La rosée est un type de précipitations d'eau résultant de la liquéfaction de la vapeur d'eau de l'air, qui se déposent généralement le soir et parfois le matin sur les végétaux et autres corps exposés à l'air libre. La rosée peut suffire aux plantes pour passer le cap difficile des mois d’été dont de nombreux insectes s'abreuvent et pouvant même apporter des éléments nutritifs dissous, elle (avec la pluie) contribue à supprimer la poussière des feuillages, permettant à la plante de mieux respirer.

Pareil, l’anthologie La Rosée est au même moment l’expression d’espoir de la vie, ce recueil de poèmes joint plusieurs thèmes, de l’amertume à l'espoir de la vie quotidienne, inspirée de la nature et de la vie de chaque jour tant dans les habitudes humaines qu'africaines.

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 29 mars 2019
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414339013
• Langue: Français

Extrait

Christian Silvano Tshamala

La Rosée

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Souris, souriceau

Ô « souris, souriceau » Galopant dans mes assiettes Même à l’heure de ma sieste Aux yeux ronds et noirs du pruneau Ô sieur pique-assiette Croquant mes données tellement Sous mes pieds sautillant çà et là bellement En portant ces miettes. Même si tu dirais : Oui nous vous dirons chaque matin salut : Sava ! Au lit, le conte somnolent sera lu Mon très cher bon monsieur Va, cours et saute au cirque La gent trotte-menu va au bois Aller ! Allons ! à la forêt, au menu de marque.

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« Cher barra khoule »

Bonjour Cher barra khoule, Ahurissant est mon émoi de votre aperçu Rien de volonté pourrait me retenir d’honorer à cette somme Rien est ma possession de vie modeste dite pauvre pour en honorer. Aide ! Svp je serais reconnaissant.

Kiffant cet offre Hache ! Aidez auprès de vos connaissances à la publication Ou pauvre petit rémunération de retour au contrat Usez ainsi j’accept’rai Lu et imagine mon inspiration d’acrostiche Est fait de votre nom.

4

J’y prends et bien je l’amène Je m’en vais et je reviens à l’aubaine J’y pense en me réjouissant Certes réfléchissant,

« Si je savais »

5

D’effroi ne pas fouler le bourg « Si je savais »

Certes réfléchissant, J’y cogite et je m’allègres Je circule et en réintégrant J’empoigne et oh ! bigre !

Violette (chant)

Elle, à la beauté fabuleuse et allant Elle, Même se faisant beau, elle les endure Du falbala est leurs enjolivures, Parer l’attrait de sa beauté Il ne faudra qu’être un aveugle à l’amour écarté Mais aucun espoir en le palpant. Elle, au propos vibrant et sage Veuve recherchée à la cage Fille de la vertu, antidote du vice.

Vice-consul du bien jadis Modeste violette du paradis. Le sous-le-soleil pousse de vif joyeux vivat à son charme « Vive l’emblème de la beauté », crient les virils âmes.

(Refrain) Fille du beau langage La mam’zelle à la belle conduite sage Elle est belle comme l’amour Si jolie comme le jour.

Elle, à l’éclat légendaire et camériste Elle les supportent, en eux tout triste Analogue s’exécutant admirable, L’extravagance est leurs garnitures horrible, Parer l’appétit de son charme Requière de qui à l’affection désarme Net et nul attente en le tâtant joli. Elle, au verbe enflammé et poli Paradisier courue de la cage Demoiselle de l’essence et remède du loge

Vice-consul du bien jadis

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