La Vie rêvée des mal-aimés
196 pages
Français

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La Vie rêvée des mal-aimés , livre ebook

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Description

Que ne ferait-on pas pour un peu de douceur de vivre, une légère insouciance et un peu de paix d'esprit ? Il y a beaucoup plus d'écrivains qui cherchent à vous faire sourire que vous ne le pensez communément... mais la véritable tragédie est dans le mot écrivain et son étymologie. Comme il le confie lui-même avec la dérision qui le caractérise, Christophe Bonnet est son seul et véritable problème : l'histoire classique d'un humoriste qui finit un jour ou l'autre par des considérations très sérieuses... Suite logique de "Jojo, El Fantastico", le recueil à double tranchant de "La Vie rêvée des mal-aimés..." pioche ainsi dans le quotidien pour saisir confessions, envolées humoristiques ou autres réflexions sur le sort qui est le nôtre.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 25 juillet 2014
Nombre de lectures 1
EAN13 9782342025545
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0071€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

La Vie rêvée des mal-aimés
Christophe Bonnet
Société des écrivains

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Société des écrivains
14, rue des Volontaires
75015 PARIS – France
Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55
La Vie rêvée des mal-aimés
 
 
 
« Je suis mon seul et véritable problème, l’histoire d’un humoriste qui finit un jour ou l’autre par des considérations très sérieuses, on ne peut toujours rire dans la vie, le sérieux reprend le dessus et c’est la dépression de l’artiste… »
 
 
 
 
 
 
Je vous salue Marie pleine de grâce… Mais bon, je n’y suis jamais pour grand-chose tout de même…
*
On prend vite des habitudes et le gars qui a fait l’armée jusqu’à vingt-quatre ans, ce n’est pas courir après le jupon qui l’a fait marcher…
*
Mais enfin, je suppose tout de même que les briques rouges…
*
Même si ton saint patron se résume à ton prénom, tu es obligé de faire avec…
*
Moi, j’aime bien l’histoire du gars qui travaille tous le temps et qui fait des nuits de huit heures…
*
C’est vrai… Acquisition de langues non-spécialiste…
*
Mais enfin bon, rien qu’à considérer l’année de ma naissance et la présidence de l’époque, mon lieu de naissance et mes états de service validés par un ingénieur, ils peuvent je pense me rappeler à mes obligations militaires jusqu’à un certain âge…
*
Je le dois, que vous le vouliez ou non, ne serait-ce que par respect du président qui était situé à 2 km de mon lieu de naissance…
*
Mon fromage pour moi, cela a toujours été le Carré de l’Est… Après mes infidélités avec la Belle des champs…
*
Te pose plus de question, c’est parce que le homard avait du poil aux pattes…
*
Pense aux 508 millions de Chinois…
*
Quand tu es écrivain… Tu n’as plus qu’à déclarer ton métier pour les droits d’auteur…
*
Mais bon avec une ceinture orange… À part une limonade…
*
Et la Finlande… Ça vous tente la Finlande…
*
Un jour je serai chauve, mais l’important c’est de participer…
*
Pour faire du ski… pour faire du ski… mais avec deux flocons c’est comme pour le patinage… On fait ce qu’on peut…
*
N’hésite pas à être lourd, il nous faut des miracles…
*
Mais c’est juste parce que je n’ai pas trop envie de me casser le cul comme on dit…
*
Pour ce qui est de mon petit popotin… Tu ne vas pas me dire que le gars a du mal à comprendre une paillarde de romance…
*
C’est un peu pareil pour les Tortues Ninja, dernier souvenir d’enfance…
*
C’est ça qui est bien avec un gars comme moi… Vous ne courez pas le risque…
*
Non, non j’apprécie… Un type comme moi… En faire une sorte de sex-symbol…
*
Putain, mais faut quand même que tu essayes d’imaginer un père muet comme une tombe…
*
Moi, pour ce que j’en pense, essayer de faire pousser un arbre sans tuteur… Vous voyez si c’est possible…
*
Mon père est top cool : roi de la déconne, champion de la gaudriole ; peut-être me pardonnera-t-il cette petite fantaisie vestimentaire…
*
Essayer de faire du neuf avec de l’ancien… C’est un métier assez compliqué…
*
Tout dans l’impro… Je ne lis jamais le scénario…
*
Enfin, tout ce que je peux dire… c’est que les soirées cabaret après une première attaque cardiaque… c’est plus vraiment raisonnable…
*
On recherche tout de même un ou deux bons enseignants en chinois…
*
N’oubliez pas de goûter la cuisine asiatique…
*
Il n’y a pas à dire… Le jour de la « marmotte » c’est vraiment bien…
*
La liberté est si grande que l’on perd vite le goût des choses simples et on sacrifie souvent son bonheur à la réussite…
*
Un peu comme un concert le cul à Saint-Nazaire…
*
Ils voulaient me soigner de quoi au juste, des illusions sur la vie que je pouvais avoir ?
*
Un train entre dans une gare…
*
Faites comme vous pouvez… mais pour les idées vous avez intérêt à essayer de faire dans l’original…
*
On me le demande souvent, mais à vrai dire cela n’a malheureusement jamais été dans les préoccupations de mon père que de me porter la moindre estime, ni même une quelconque forme d’intérêt…
*
Charlie Chaplin… Ce n’est pas du luxe Valentino…
*
Dix-huit bouteilles d’eau en cas de sécheresse… Mais toujours dire plus de bien des Britanniques…
*
Que dire de plus comme bien sûr les Britanniques, soyez un peu honnête…
*
Bach tu vois, moi pour dire plus de bien… j’ai un peu peur… Alors… que faire ???
*
Je sais, je sais et dire que c’était la ville de mon premier amour…
*
Faites du yoga…
*
À 100 euros de la demi-heure, c’est bien le bout du monde si vous ne trouvez pas un psy pour vous trouver intelligent…
*
Que vous preniez un traitement léger ou un traitement lourd, c’est le sentiment d’être malade qui est le plus dur à supporter…
*
En même temps essayer d’expliquer un coma à la bière sans alcool…
*
Les jeux d’argent me sont formellement interdits formellement… Devinez par qui…
*
Un paquet de cigarettes par jour, du café San Marco et de la vodka pamplemousse pour la Fête de la Musique…
*
Oui, bien sûr jeune homme, c’est moi, poids de forme…
*
Enfin, il fallait finir une bière de plus de vingt ans…
*
Moi, je suis monsieur Legrand Alexandre… 1 m 70… 69 kilos poids de forme et de belle urine… N’auriez pas vu un cheval parce que le poney club…
*
Je dois bien avouer que tous mes efforts pour réussir ma vie n’ont contribué qu’à me rendre malade…
*
Il disait souvent : « on peut plaisanter de tout mais pas avec tout le monde… ».
*
Bien sûr, bien sûr… Mais après ça vous êtes libre de tirer vos conclusions vous-même…
*
Les problèmes cardiaques… Mais bon le seul plaisir que je peux m’offrir sans me faire souffrir, c’est café et cigarettes, et encore pas trop de sucre dans le café…
*
Pour les cheveux secs… L’huile d’olive reste optionnelle…
*
Je ne sais pas si c’est ce qu’on appelle faire de la résistance à la réalité, triste constat d’échec quotidien, mais il arrive un âge où on n’arrive plus à savoir quelle était la logique qui a guidé votre existence, votre cheminement intérieur…
*
Tu es bien gentille, Dalida… Mais c’est mon chat qui s’appelle comme cela…
*
Un rythme de président… Un coma tous les dix ans…
*
Daniel Balavoine est devenu l’égal d’un Claude François…
*
Je suis bien d’accord, mais le ressort psychologique se trouve ailleurs : je n’arrive pas à croire que l’on puisse m’aimer…
*
Il faut « casser le cou » aux idées reçues : la Pologne est un très joli pays…
*
Je sais, mais que ne ferait-on pas pour un peu de douceur de vivre, une légère insouciance et un peu de tranquillité d’esprit…
*
Pour moi la véritable tragédie est dans le mot écrivain et son étymologie…
*
Autant j’aime beaucoup l’anglais, autant Shakespeare n’a jamais été ma grande passion, pour lire Shakespeare, il faut vraiment faire de gros efforts de compréhension…
*
Il n’y a pas de raison pour que la culture française, cette culture qui fait la France et qui tient le pays debout, soit plus facile à aborder que d’autres cultures. Il faut laisser le temps au temps…
*
Bien sûr la politique se trompe en pensant qu’un homme seul puisse être tenu pour responsable de ce qui va bien pour certains et de ce qui va mal pour d’autres…
*
L’amour d’une mère est quelque chose dont la force reste insoupçonnée…
*
La maladie d’un proche peut faire souffrir son entourage, c’est quelque chose de très dur que d’être confronté à la souffrance…
*
Je sais bien, mais certaines légendes ont la vie plus dure que la réalité, de plus cela serait dommage de salir la réputation de tant de personnes… Je ne sais pas, je ne pense pas que j’eusse à m’en plaindre…
*
Oui, mais ce qui serait le plus triste serait que l’on ne puisse vivre sans vous… Moi, cela me rassure plus qu’autre chose… La vie continue, la vie est plus forte que tout avec ou sans moi…
*
Bien sûr, mais un couple harmonieux doit s’accorder sur beaucoup de choses, il est donc assez aventureux de se mettre en couple certaines fois…
*
En fait, tout se passe comme si nous avions un peu d’importance, mais il faut bien savoir que plus on semble vouloir vous donner de l’importance, moins vous en avez…
*
C’est-à-dire qu’ils te tombent dessus depuis tellement longtemps qu’on ne se préoccupe plus vraiment de savoir pourquoi… Mais c’est tout à fait systématique alors on ne se pose plus de questions…
*
Tant qu’un garçon honnête mais sans le sou n’intéresse absolument personne, je pense que l’on peut faire preuve de tolérance…
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C’est quelque chose de tout à fait triste et destructeur, le rejet amoureux…
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Oui mais ça sert à quoi d’y retourner pour dire : « Ah, je n’étais pas très doué et cela n’a pas changé ».
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Disons qu’après tous ces efforts, tu respectes ta part de pizza…
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Il y a des choses qui paraissent incroyables passé un certain âge, mais on a tous besoin de sa part de rêve…
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Tout est nuisible dans l’excès…
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En même temps on sent le grand Picasso… Pour quelqu’un qui a lu Shakespeare… Roméo et Juliette … Dix-neuf, vingt ans…
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D’ailleurs, heureusement qu’il y a plusieurs fois dix-huit mois…
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Je pense surtout qu’il ne faut pas penser que nous soyons irremplaçables…
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C’est tout à fait problématique, c’est la construction d’un raisonnement à partir du néant…
*
Je ne savais jamais quoi répondre et puis récemment je me suis rappelé que j’aime beaucoup ce genre de film que l’on appelait à l’époque le « western spaghetti ».
*
La vie, ça va, ça vient¸ c’est fait de petites joies et de gros chagrins…
*
J’étais assez superstitieux avec les chiffres, j’aimais me coucher à 22 h 22…
*
Un jeune homme de compagnie…
*
Même dans les chansons de variété internationale, tu es Américain, comme si cela était le rêve de tout un chacun…
*
Pour mes parents… Papa, Maman… I

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