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Description
En confidence avec son ami lapin, Jean-Marc BUTTIN expose les colères confinées de tendres entrevues. La République demeure pour lui le seul vaccin capable de lever les voiles du temps, comme Lune en ciel bleu nuit.
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 21 septembre 2021 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782414547685 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald 75019 Paris
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-414-54769-2
© Edilivre, 2021
Du même auteur
Du même auteur :
Aux éditions Hubert LAPORTE
Angèle, sang d’amour, roman 1993
Aux éditions mille poètes (Canada) 2000-2008
Jonquille et Lazuli
Frousse Chagrin Lazuli
Source Lazuli
Ermitage Lazuli
Houle lazuli
Aux éditions BAUDELAIRE
Marée Maline, poèmes (2009)
A cherche peur, poèmes (2011)
Parloir, refrain d’exorcisme, poèmes (2013)
Aux éditions DEDICACES (Canada)
Temps nu lazuli, poèmes (2012)
Cristaux de foudre, poèmes (2012)
Quelle heure est-il dans le grimoire du temps, poèmes (2014)
Pas la peine de faire semblant d’y croire, poèmes (2015)
Vers, murmures écrits, poèmes (2017)
Eventaire, bleu d’écaille, poèmes (2019)
Ailleurs, peut-être…
Ce soir, la Lune jaune et ronde
De tous les secrets d’humanité,
Grosse, regarde notre monde,
Bleu des peurs d’un virus, confiné.
Les amours entre Lune et Terre
Filent leurs parfaites orbites,
Aux bruits d’orages, de tonnerre.
Leur soleil luit, lointain ermite.
Il n’est d’hommes que sur la Terre.
Ailleurs, peut-être, d’affreux virus,
Aux pouvoirs les plus délétères,
Rêvent de débarquer sur Vénus.
Ici, là, maintenant, cette nuit,
Notre satellite nous donne
Ce spectacle source d’infini,
Humain, en milliards de personnes.
Après-midi d’automne.
Comme si, comme ça, et puis s’en va.
Désir mêlé d’un frêle espoir,
Un jour de plus, couci-couça.
L’envie folle de se revoir.
Les amours mortes s’enivrent
Aux souvenirs chauds des regrets.
Une porte bleue s’entrouvre
Sur le chemin de nos secrets.
Je t’aime, ça vient ça s’en va,
Au cœur d’une incertitude,
Au corps à corps des aléas
De nos vies de solitude.
Embellie d’une caresse,
À fleur de peau de nos oublis,
Le temps absent de promesses,
Goûtons le miel de ce sursis.
Au décompte du temps.
Objet minuscule de nature vive,
...