Le Jardin de mes poésies

Michel Aumont Kepler

Description

Dans ce petit jardin de mes poésies, venez voyager, venez rêver en toute quiétude sur des vers, aux arômes relaxants, sur des textes aux couleurs nature. En vous promenant tout au long de mes allées imaginaires, découvrez ces parterres de rêves magiques, où naissent mes textes venus de tous les horizons de la vie, de ses couleurs, et de ses parfums, sans oublier les réalités de ce monde et notre passage sur terre. Vous y croiserez aussi de temps à autre une femme exceptionnelle, mon épouse Chantal, qui sera ma muse. Elle vous entraînera, souriante, au cœur de beaucoup de mes poésies romantiques, avec parfois quelques légères touches d’érotisme.

Sujets

• Érotisme
• Littérature
• Poésie
• Poetry

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 27 septembre 2019
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414351466
• Langue: Français

Extrait

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ISBN numérique : 978-2-414-35147-3

© Edilivre, 2019
Dans ce petit jardin de mes poésies, venez voyager, venez rêver en toute quiétude sur des vers, aux arômes relaxants, sur des textes aux couleurs nature.
Comme disait si bien Jean de la Fontaine, je vous invite à découvrir l’innocente beauté de mes jardins et de mes jours qui forment à jamais le charme de ma vie.
En vous promenant tout au long de mes allées imaginaires, vous découvrirez ces parterres de rêves magiques où naissent mes images et mes textes venus de tous les horizons de la vie, de ses couleurs, et de ses parfums, sans oublier les réalités de ce monde et notre passage sur terre.
Vous y croiserez aussi de temps à autre une femme exceptionnelle, mon épouse Chantal, qui sera ma muse. Elle vous entraînera, souriante, au cœur de beaucoup de mes poésies romantiques, avec parfois une légère touche d’érotisme.
Beaucoup de mes poèmes sont écrits à partir d’un réel vécu, d’un évènement ayant existé que bien sûr j’ai transformé à ma façon. Plusieurs d’entre eux sont aussi nourris d’une inspiration venue à partir de photos de ma muse, que j’ai réalisées au fil des années.
Elle vous donnera peut-être l’autorisation de la caresser… des yeux… et vous dira : « Entrez les amis… … et belle balade en ma compagnie. »
Michel AUMONT-KEPLER
A Cécile Turgis
S’il est une femme pour laquelle j’ai beaucoup de respect,
S’il est une femme que du fond du cœur je dois remercier,
C’est vous Cécile .
Sage et discrète, mais… Ô ! Combien vous m’avez aidé,
Corrigeant mes fautes, me proposant vos suggestions,
Pour vous, aujourd’hui j’exprime toute mon admiration.
Exceptionnelle Cécile.
Dans vos corrections, j’ai découvert votre sagesse,
La richesse de votre savoir, et toute votre gentillesse,
Car de tous mes écrits vous avez corrigé mes faiblesses.
Encore merci Cécile.
Lorsque le jour se lève N’oublions pas nos rêves.
Je te dessine mes rêves
Du soir au matin, je te dessine mes rêves.
Au creux du silence se dévoilent quelques idées,
Je les fais, les défais jusqu’à l’aube qui se lève.
Quand l’esprit endormi commence à les écrire,
Je deviens prisonnier de mes mots enlacés.
Ne voulant pas les laisser lentement s’enfuir,
Contraint de me lever, je m’en vais les classer.
Lorsque palpite le clavier de l’ordinateur,
Je l’entends me dire « mélange le tout, n’aie pas peur ».
Alors sourient les mots, éclosent mes idées.
Je fais ce qu’ils me disent, alors une tragédie
Se transforme et devient belle mélancolie.
Les touches du clavier, ce sont tes doigts de fée,
De tes lèvres si douces, tu me souffles des mots.
Je les ajuste à mes rêves, le matin très tôt,
Drapés de mes pensées, de tendresse animées,
Sur l’écran je te vois, et mes mots se promènent,
C’est ainsi que je t’écris mes plus beaux poèmes.
J’ai dû rêver
Après qu’elle se soit baignée nue,
Heureuse d’avoir pris son bain,
Nonchalante elle est revenue.
Elle s’allongea frissonnante
Sur un tapis de sable fin
Où la lumière forte et ardente
De l’astre solaire sévissait
Sur sa peau lisse qui scintillait.
Admirant cette femme allongée,
A cet instant, j’ai dû rêver
Que mes yeux caressaient sa peau,
Belle musique, doux concerto.
Le bateau blanc
Il est des moments où l’amour est bien plus fort,
Celui-ci nous entraîne pour une longue vie,
Comme il y a cinquante ans, lorsque l’on s’est dit oui.
Voici qu’aujourd’hui nous fêtons nos Noces d’Or.
Alors pour toi, j’ai prévu le plus beau voyage ;
J’ai choisi le plus beau rêve, suivons son sillage.
Oui, pour nous, j’ai réservé deux places en première,
Deux places du nom « Amour » sur un beau bateau blanc
Qui nous emmènera vers les plus beaux printemps.
Partons pour un voyage au-delà des frontières.
Nous allons voguer sous le ciel de nos vingt ans,
La mer sera faite de pétales de roses.
Nous pourrons y plonger et nous baigner dedans,
Et nous y nagerons tout comme des virtuoses.
Et les poèmes d’amour que je te conterai,
Dirons combien je t’aime, combien je t’aimerai.
Puis ce bateau blanc continuera de voguer
Vers des îles de rêve, où chaque jour c’est l’été.
Alors nous arriverons dans un beau paradis
Où moi j’aurai vingt ans et toi tes dix-sept ans.
Je te dirai chérie, je t’aime pour la vie,
Et nous nous offrirons nos corps d’adolescents.
Mais Dieu, qu’elle sera belle cette fête nuptiale !
Une lyre jouera de belles mélodies d’amour,
Et pendant que chanteront de beaux troubadours,
Nous nous aimerons sous une couette impériale.
Oui, c’est bien un rêve que je viens de te conter.
Si de mes mots, j’ai réussi à t’enchanter,
C’est que notre voyage était un conte de fées,
Tout comme notre amour est une réalité.
L’esprit dans les étoiles
Qu’il est bon de rêver sous un ciel d’étoiles,
Lorsqu’en souriant, la nuit étend son grand voile.
Dans cette galaxie, mon cœur aime s’évader,
Tout comme un voyageur au loin, dans ses pensées.
Avec le cœur tendre, partir à la dérive
D’un merveilleux sillage, qu’il me suffit de suivre
Pour visiter ce grand champ d’étoiles blondes,
Et flâner au milieu de leurs ondes si fécondes.
Etoiles, mes confidentes, j’vous parle dans les yeux,
Entendez-vous là-bas mes vœux silencieux ?
Dans ce ciel lointain, au centre de l’univers,
Ma main écrit des mots, mon cœur écrit des vers.
Et je rêve là-haut, et je rêve hors du temps.
Oh ! Pourvu que ce temps s’égare un long moment,
Et me laisse glisser dans un sommeil émerveillé,
Au cœur de cette douce nuit enténébrée.
Au petit matin, le jour lèvera le voile,
Je me réveillerai près de ma plus belle étoile.
Tellement belle
Cette fille est tellement belle, tellement belle,
Que mes yeux éblouis ne voient plus que par elle.
Je la regarde, je l’observe sans faire de bruit,
Avec elle je m’imagine déjà au Paradis.
Pour elle, mon temps semble s’arrêter,
Je ne vois qu’elle, mes yeux pétillent,
Lui dire je t’aime, je le voudrais,
Mais comment lui dire que pour elle
Mon cœur s’enflamme et vacille,
Puis il m’entraîne vers l’irréel ?
J’aimerais
J’aimerais être une de tes larmes
Pour naître dans tes jolis yeux,
Vivre sur la peau douce de tes joues,
Et mourir heureux sur tes lèvres.
J’aimerais être ton soutien-gorge
Pour protéger tes jolis seins,
Tout en douceur les caresser
Et pouvoir lire leurs secrets.
J’aimerais être un string malin
Qui cacherait ta toison d’or
Sous laquelle est blotti un trésor,
Frêle et fragile bouton coquin.
J’aimerais être ton bas nylon,
Que tu enfiles quand il fait froid
Pour caresser ta douce peau,
Comme le ferait un bel amant.
J’aimerais être le chaud soleil
Sur cette plage où tu vas nue,
Caresser ta peau de mes rayons
Et t’envahir de ma chaleur.
J’aimerais être un de tes secrets
Que tu gardes précieusement.
Je te dirais réchauffe-moi
Tout au fond de ton cœur.
Je voudrais être un brin douceur,
De mon doigt caresser tes lèvres,
Et tendrement te faire sourire
Quand dans ta vie y’a du chagrin.
Sur cette plage (Chantal)
Allongée nue sur cette plage,
Au soleil du midi,
Le ciel était sans nuage,
Et je rêvais de paradis.
Quelques oiseaux exotiques
Me fredonnaient leurs refrains.
Femme heureuse et romantique,
Je rêvais de lendemains.
Soleil brûlant et sable chaud,
Mon rêve m’entraîne loin d’ici,
Une main caresse ma peau,
Je le regarde il me sourit.
Viens près de moi, serre-moi fort,
Sous ce soleil du midi,
Je suis à toi, prends donc mon corps,
Emmène-moi au paradis.
Mais je suis seule sur cette plage,
Un homme s’en va, au loin là-bas.
Mon homme était-il un mirage ?
Mais j’ai rêvé ! Reviens à toi !
Quelques oiseaux exotiques
Me fredonnaient d’un air malin,
Toi belle femme romantique,
Oui, tu rêvais, rêve coquin,
Oui tu rêvais de lendemains.
Mes yeux en pleurs
Je l’imagine, elle revient, je l’entends,
Elle, que mes yeux en pleurs cherchent sans trêve,
Flânant lentement, tout comme au firmament
Sur le chemin si lointain où planent tous mes rêves.
Je rêve (Chantal)
Vivre nue sur la plage, au soleil du midi,
Un ciel bleu sans nuage, le paradis,
Juste le bruit des vagues, mon corps s’est assoupi,
Je rêve, et c’est ma vie.
Soleil et sable chaud pour vivre nue ainsi.
Au loin quelques oiseaux chantent la paix,
Mon corps se laisse aller sous des caresses ensoleillées,
Je rêve, et c’est ma vie.
Et faire l’amour avec les rayons du soleil,
Des mots d’amour chantent dans mes oreilles,
C’est ça ma vie, amour, soleil et sable chaud,
Vivre ma vie, courir nue sur les flots,
Je rêve.
Et je vole dans les airs, aux côtés de l’oiseau,
Je survole la mer, et c’est si beau,
Suivre le cormoran et planer tout là-haut,
Je rêve, et c’est ma vie.
Sous le ciel bleu d’une clarté azurée,
Mon habit, c’est ma peau douce et dorée,
Ma musique, celle des vagues sur les galets,
Je rêve, et c’est ma vie.
Et faire l’amour avec les rayons du soleil,
Des mots d’amour chantent dans mes oreilles,
C’est ça ma vie, amour, soleil et sable chaud,
Vivre ma vie, courir nue sur les flots,
Je rêve.
Le temps d’y croire
S’il était possible, au moins le temps d’y croire,
De repeindre mon corps d’une belle couleur,
Je le peindrais de la transparence d’un miroir
Pour qu’il reflète ta beauté, la mette en valeur.
Alors, je peindrai la pluie aux couleurs arc-en-ciel,
Et la couleur de tes lèvres sera pour l’horizon.
Le parfum de ton corps aura un goût de miel,
Je m’y délecterai toujours avec passion.
Je peindrai notre amour d’une couleur écarlate,
Afin que celui-ci reste toujours plus fort.
Je le parfumerai des meilleurs aromates,
Pour que ce tendre parfum pénètre nos corps.
Je t’emmènerai visiter le cœur des roses,
Dans un avion blanc guidé par une colombe.
Alors mon cœur t