Les Nouvelles d Âme
68 pages
Français

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Les Nouvelles d'Âme , livre ebook

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Description

Recueil de poésie exutoire qui permit la survie d'un jeune homme puis l'ascension d'un homme.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 21 novembre 2014
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332859440
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-85942-6

© Edilivre, 2014
L’Écrivain
Page après page, la plume s’élance
Écrire, écrire, des mots, des phrases,
Pour raconter tout ce que l’on pense,
Romance ou pas, vérité ou pas. Frasque.
Tout commence par une préface,
Une simple invitation à la lecture,
Rythmés par des chapitres qui s’effacent,
Sous nos yeux, avides de connaissance sûre.
Livre dont le sujet nous passionne,
Plus rien n’existe autour de soi,
Nous imaginer, les phrases fusionnent,
Nous sommes les héros de cette histoire.
Cet écrivain, qui pense, qui cherche à nous conter,
Regard indéniable sur la vie, tout en observation,
Il décrit ce qu’il voit, entend, comme pour nous toucher,
Et couche les mots comme des notes sur une partition.
Alors que nous raconte ce livre ?
Un chevalier ou une reine ?
Un château ou une pyramide ?
Une histoire d’une personne en peine ?
Le tout pour comprendre, nous faire rêver,
Lire sans relâche, avalant les paragraphes,
Vivre et se dire que nous aimerions avancer,
Dans ces pages, savoir la suite au-delà des agrafes.
Tristesse
Que la vie est dure
Quand on veut jouer les grands,
Quand on n’est pas mature,
Et que l’amour vous prend.
Moral, il n’a pas,
Quelle tristesse !
À l’heure du trépas,
Aimer est une faiblesse.
Il n’y a pas de place
Pour la sincérité, vérité,
Que remplace
Les excès de la médiocrité.
Et quand sonne le glas,
Sentiments de liberté
Prennent le pas
Sur son envie de vivacité.
Au pied du mur,
Passant par la souffrance,
Se révèlent les hommes purs,
Que le mal bat à outrance.
Si la vie est ainsi,
Alors la peur
De connaître le paradis
Devient une lueur.
Que veux-tu qu’il te dise ?
Quand le mal est fait
Le bonheur n’est plus de mise,
Car le malheur, c’est d’aimer.
Le monde s’effondre encore une fois
Autour de vous-même.
Comme un hérétique ayant perdu la foi,
Il lui dira : « Et quand bien même ? »
Un jour, l’espoir
Renaît de ses cendres,
Comme la lumière dans le noir,
Mais aussitôt se fait descendre.
La Carapace se durcit,
Car il a mal,
Ainsi va la vie,
Ce n’était pourtant pas une histoire banale.
Histoire d’un garçon
C’est l’histoire d’un garçon,
Il ne savait pas qu’aimer.
À tort ou à raison,
Il ne savait plus à quel saint se vouer.
Il décida, un jour,
Sans rien y comprendre,
De faire l’amour,
Mais il ne savait s’y prendre.
Il rencontra un idéal,
Cela le rendit poète,
Son histoire n’est pas banale,
Et pour lui, c’était la fête.
Elle devint la source de sa vie,
Sa raison de Vivre.
Elle devint sa chérie,
De son amour il en était ivre.
Mais sa déception fut de taille,
Quand il sut
Que son idéal était un feu de paille.
Et à tout jamais, il se tut.
Humeur
Que ce week-end va être long,
Parce que sa tendresse n’est pas avec lui.
Il la revoit dans trois jours, mais bon,
Il avait envie de la serrer fort contre lui.
Sa tristesse est à son paroxysme,
Que la vie est dure.
Dans sa tête, c’est un séisme,
Parce que leur relation est pure.
La vie est ainsi faite
D’amour et d’épreuves.
Il ne faut pas être bête,
Parce que ces moments-là sont aussi des preuves.
L’aimer est devenu un réflexe,
Avec elle, il se croit au paradis.
Certains en sont perplexes,
Et ils en parlent comme des pies.
Que voulez-vous y faire ?
Leur vie n’est pas intéressante.
Ils veulent la guerre,
Ils vont la leur faire, façon stressante.
Leur amour vaincra,
Grâce à leur Cupidon et ses flèches.
Seule, la sincérité restera,
Et cela lui a donné la pêche.
Aimer ?
Il l’aime tant,
Mais s’en rend-elle compte ?
Quelle perte de temps,
Avant que la lassitude ne monte.
L’aime-t-elle ?
Sûrement, sans le lui démontrer.
Lui dit-elle ?
Non, par peur d’être trompée.
Alors, que faire ?
Avant que le désespoir le gagne,
Battre le fer ?
Pour lui ouvrir les portes de son bagne.
Alors, le cœur fatigué,
Usé par tant de batailles,
À jouer le chevalier,
Qui n’est plus de taille.
Qui a les clés de son cœur ?
Qu’on lui donne de la voix !
Pour un peu de bonheur,
Dans son cœur pour une fois.
Il est si triste,
De cet amour sans flamme,
De déclarations sans risques,
D’être un homme sans femme.
La mie du traître
Pourquoi tant de mépris ?
Après tant de joies partagées,
Soi-disant une amitié de rire,
Pour le bonheur sacrifié.
Que de peines vécues ensemble,
Pour mener finalement à une trahison,
Pour avoir le cœur déchiré, il me semble,
Est-ce de raison ou de passion ?
À tort ou à travers,
L’égoïsme de notre temps
Fait, d’une vie à l’envers,
Les maux du monde si tentant.
À vivre seul ou accompagné
De la fidélité loyale,
Qui n’est que de paille flambée,
Pire que la torture féodale.
La tristesse de l’homme,
Dans un puits sans fond,
Entraînant, comme une certaine pomme,
La pénombre d’un paradis terrestre sans pont.
Ainsi va la triste vie
D’une amitié sans sincérité,
Comme le pourrissement d’un fruit,
Que l’on a refusé d’arroser !
Pourquoi tant de mépris ?
Dans de vraies valeurs,
Qui font de nous des repris
De justice comme des voleurs.
Les instincts primaires
De gens sans foi ni Loi,
Bien pire que des sectaires,
Avec, dans la tête, un petit pois.
La morale de tout ça,
C’est que la confiance
N’exclut pas
Désormais la méfiance.
Aussi paradoxal que ce soit,
La passion passe aussi,
À ce que l’on voit,
Par la dénonciation de l’ami.

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