Liquide des champignons aux squelettes génitifs
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Liquide des champignons aux squelettes génitifs , livre ebook

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Description

L’art de cette poésie vient de la liberté artistique de prendre les mots pour ce qu’ils sont d’une façon primaire, des sons, des lettres, un enchevêtrement bigarré qui une fois achevé, tente de faire vibrer les mots comme des cordes de l’âme. Réfringence analytique et con séquentielle. Vibration d’une musicalité grammaticale par structure de sels à complétude, comme une virtualité squelette et polynomiale. De simples tubes de peintures sont modifis, vidés de leur structure moléculaire, pour retrouver la structure moléculaire des mots abstraits esthétiquement, comme des bulles de savons ou les bulles deviennent des mots cellophanes, idéalisés d’abstraction corporelle, pore sens des mots...

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 06 janvier 2014
Nombre de lectures 1
EAN13 9782332663696
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-66367-2

© Edilivre, 2014
Manuscrit littéraire
Je m’appelle Clément Velluet. Je suis un jeune homme de 26 liquides violoncellistes, d’une musicalité charnelle où mon corps est tendu comme une araignée crispant ses toiles hormonales, et dont le secret de cet animal est une couverture végétative par abstraction « de verge citron »… Mon appartenance à un tissu de vibrisses « en race », est un homme où la musicalité est comme un corps physiologique, par posologie de pied… « Une race » de statistiques clown choir ; comme un verbe intransitif, ou le ventre des stomatologies « éoliennes ». Par tégument aquariophilie, des abricots vibrisses, à cheval avec une petite plante « génocide ». Des variétés topologiques par rire escompte des varices déchoir. Ô que suis-je ?!!! Ne suis-je qu’une hydre, à plastique, Platon homomorphisme des laits plastiques ? Des entomologies de bulles cuisines, de cuisine en trompette équilatérale, je veux dire que cette variété acouphène, ou plutôt génocidaire des lesbiennes œstrogènes est un pygmalion photographique par lueur de pieds circonflexes, des chevilles androgynes – des plasticités œuf. Ou, jalousie des sirènes, en cataracte morbide, zoologie des cheveux téléphoniques ! Je crois que les années de mon enfance ont été les plus douces, les plus juteuses par jumeaux haleines, par jumeaux pédérastes ; les plus logistiques, vers apesanteur, de cristaux aux yeux verticaux, comme des fontaines de cheveux grimpant sur les graphologies les plus animales, les plus orties, par jalousie des soleils crevant de leur « physicalité asymptotique », leur chaleur en pied « de négresse », par pédale, de baleine phalloïde… disons plutôt que tout est variété de zoologies agricoles, de fumées pétales en linguistique, de statue baleine. Les cheveux représentent pour moi une abstraction infantile, par dichotomie gériatrique, des calvities argent, des virgules stigmates, des yeux en polyandrie végétale, ou, si on peut dire, o o yeux en chrysanthèmes factices, par tauromachie des moustaches verbe. Je ne comprends pas la société, elle représente pour moi, une infinité de stigmates halogènes, une pellicule acouphène par pédiatrie gérontologique, une intertextualité monade, des réfléchissements de rivière otologique… enfin, une crucifixion de la chair, où la société est une tombée dans une allergologie anti-factice, anti-virtuelle, anti-phosphorescence des animaux chevelure, par principe de vomissement sensitif, par acuité ou ces déjections astrologues, ses miasmes de végétarismes caniculaires, coccinelle des vacuités, perméabilisées, en bijective syncope, des lunules plastiques, des singes programmatiques, comme des idéalités de rêve raisin, ermite des flagellations libellule, des ordinateurs, choie des intransitives libéralités citron, des abeilles proctologue… des odeurs acnés !
Je suis né sous une très belle étoile. Je suis le dernier de trois enfants, les deux premiers s’appellent Marie-Anne et Luce. J’ai donc le rôle du seul garçon avec deux sœurs d’un caractère très fort… Je ne développerai pas leur histoire, car ce n’est pas mon rôle de petit frère. J’aime mes sœurs et je souhaite rester privatif, de sociologie catharsis, en métaux physique… Donc, nous disions que ma venue dans « ce monde siamois », car on a tous une décoction animale, par fuseaux procréatifs des jambes haltérophiles. J’étais, dès mon plus jeune âge, un enfant normal, ou, en terme complexe, perforatrice des liquidités animales… Un enfant plutôt équilibré, avec des copains avec lesquels je « festoyais » comme « une pompe acrylique », comme un liquide dont les yeux, les cheveux, étaient des chrysalides bateau effacé, dans des permutations d’abeilles rire, comme une colonne vertébrale où toute la verticalité de chevaux primales était des fictives laryngologies prévaloir ; comme un cheveu liquide ou les concrétions logiques des bougies reflétant la signature sous forme de bougie dont la cire, prenant une sculpture, une forme identique à aucune autre, car les bougies sont comme des hommes, étant tous uniques, où chacun a son ADN ; l’enveloppe des œufs transitifs ; je veux dire que l’échange amical, l’affection que je portais à mes petits camarades, étaient des sourires dans les doigts de feu Phoenix ; car la flamme, le feu renaissait toujours de ses cendres, pour une répétitive syntaxe grammatologie où je respirais ce doux vieillissement de petit âge comme une climatisation de nénuphar. La bougie comme une sculpture de peau génocide, une sculpture de coccinelle avoir. La bougie est l’expressivité des regards pachydermiques. Revenons à mes petits camarades… Je me souviens que, lors d’un anniversaire, les cadeaux que m’avaient offerts mes amis étaient si attractifs, si désirables, et même délicieux, avaient un arrière-goût d’envie, de charme dont la douceur et la délicatesse de mes acolytes, laissaient, malgré eux, un petit moment de souffrance car les cadeaux dont ils m’avaient gratifiés, par amour d’enfants, désir de faire plaisir, les laissaient privatisés d’eux-mêmes, en prisonniers de soi, extériorisés, par privative exonération d’amour, bien léché et sacrificiel, comme étant une partie d’eux-mêmes, ingurgitée par vomitive complexion androgyne, je veux dire un aveuglement de bougie ordinateur ; une idéalité de processus de bois culturiste. Une animalité, excentrée par tumeur agrégative, des cristaux bougie. Lors d’une visite chez l’oculiste, enfant, je me souviens avoir fait semblant de mal lire, lors des tests oculaires… Pourquoi ? parce que mon petit âge avait quelque chose d’hilarant, je me croyais plus intelligent lorsque je portais des lunettes...

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