Luminosité de l'obscurité

Aurélie Zanelli

Description

De la poésie au jour le jour qui débute des années lycées jusqu'à mes 40 ans. Poèmes, récits de mes états d'âme, inspirés de la vie.

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 31 janvier 2020
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414426546
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 5 Mo

Extrait

Couverture
Copyright
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-414-41040-8
 
© Edilivre, 2020
Exergue
 
L’écriture est un art et un exutoire,
De ma plume, je vous livre dans ces pages Quelques rimes peintes avec des teintes noires, Mais la lumière est derrière les nuages…
Avec mes remerciements de lire mes vers,
Vous souhaite un beau voyage dans mon Univers.
Aurélie
 
Le silence
Inverse du bruit,
Absence de parole.
Est appréciable,
Est détestable.
Comme une farandole il hante ton esprit
D’incompréhension
Et de confusion
Quand la personne que tu attends
Reste muette comme le temps…
 
 
Sous un ciel étoilé,
Je suis seule pour rêver…
Dans cette nuit silencieuse,
Mes idées sont lumineuses.
Dans cet autre univers,
Je suis mieux que sur terre
Car les songes sont plus forts,
Et tout le concret a tort…
L’obscurité est divinité,
Le noir m’a envoûtée,
L’étrange entre en moi
Pour qu’enfin je sois…
 
 
Ton prénom dans ma tête se fredonne,
Par la porte de mon cœur résonne.
Comme ce manège de chevaux de bois,
Il tourne dans ma seule pensée : Toi.
L’état pour lequel je m’abandonne,
N’est autre que le manque de ta personne.
Dehors, neige et vent jettent un froid,
Pareil à ton absence auprès de moi…
 
 
Tes lèvres ensorcelées
M’attirent pour t’embrasser.
Mon rêve désespéré
Chavire mon cœur blessé.
L’horreur des nuits passées
N’est plus que conte de fées,
La peur du matin né
N’est plus que jour aimé.
Mon Amour, désormais,
Tu erres dans mes pensées…
 
 
Tout n’est que joie et sérénité
Tout n’est que tristesse et amertume
Les choses sont rayonnantes et gaies
Les choses m’attirent dans la brume
D’un matin pluvieux et angoissant Où,
seule, je me demande pourquoi,
Sur ma tête, un diable si pesant
Me demande ce qui règne en moi…
Les nerfs amorphes, les yeux rougis,
Mon esprit lui jette un cri meurtri
Pour que son âme veuille bien m’aider,
Lui, la sève de ma cruauté.
Il sait ce que je rêve et désir.
Il sait que mon cœur est un menteur
Qui me cache le goût du plaisir
Avec son œil et son air moqueur.
 
 
Elles peuvent faire la moue,
Mais à toi te sourient.
Même sans être bijou,
Ont la force du rubis :
Cette sorte de mystère
Fixé par sa lumière,
Aussi par sa couleur
Symbole dans nos cœurs,
De la rose rouge
Qui caractérise
Un sentiment qui bouge
Et qui n’est que surprises… …
 
 
La colombe se pose sur un toit,
Cupidon envahit mes sentiments.
Le printemps fait renaître la nature,
Tu as éveillé ce qui dort en moi…
...