Mon double moi
104 pages
Français

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Mon double moi , livre ebook

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Description

« Mourir pour ne plus penser,

Mourir pour ne plus t'aimer,

Même si j'ai beaucoup regretté,

C'est trop tard, maintenant, c'est fait,



Je t'ai perdu, toi ma moitié,

Tu n'es plus à mes côtés,

J'ai eu tort et je le sais,

On se comprenait et on s'aimait,



Sans toi, je ne suis pas bien,

Sans toi, je ne suis plus rien,

Un corps sans vie et sans envie,

Une femme qui pleure et qu'on oublie... »

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 11 juillet 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414365616
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-36562-3

© Edilivre, 2019
Plus rien n’est pareil,
Sans toi plus rien n’est pareil,
L’envie, l’ennui et la nuit,
Peut être la cause de mes soucis de sommeil ?
Tu n’es plus là et cela me nuit,
Je ne sais plus quoi faire depuis ton départ,
Je ne sais plus non plus qui je suis,
Pour te dire que je t’aime il est trop tard,
Et mes larmes coulent cachées par la pluie,
Maman si tu savais comme je m’en veux…
Je culpabilise que tu ne sois plus là,
Rien que de penser à toi me fait briller les yeux,
Oh j’aurais tant aimé que tu sois là !
Mon cœur pleure,
Mon cœur pleure,
Mais ma bouche sourit,
Je me meurs,
Petit à petit,
Ma blessure saigne de t’avoir perdu,
Et je me baigne dans notre vécu,
Il ne me reste que nos enfants,
Pour m’aider à passer le temps,
C’est très dur de continuer,
De faire mine de bien aller,
Partagée entre vivre ou mourir,
Je me laisse donc aller à souffrir,
Je n’ai plus envie de me battre,
Ni de me plier en quatre,
J’ai perdu mes ailes,
Même si cela parait irrationnel…
Le jour où je t’ai quitté,
Ma vie s’est arrêtée,
Je regrette si tu savais,
Mais maintenant il est trop tard le mal est fait !
Mourir pour ne plus penser,
Mourir pour ne plus penser,
Mourir pour ne plus t’aimer,
Même si j’ai beaucoup regretté,
C’est trop tard maintenant c’est fait,
Je t’ai perdu, toi ma moitié,
Tu n’es plus à mes cotés,
J’ai eu tort et je le sais,
On se comprenait et on s’aimait,
Sans toi je ne suis pas bien,
Sans toi je ne suis plus rien,
Un corps sans vie et sans envie,
Une femme qui pleure et qu’on oublie…
Je ne suis qu’une petite fille perdue,
Seule dans l’arène, mon cœur à nu,
Je ne suis pas forte,
Mais je vais faire en sorte…
L’automne,
Tout est monotone,
Et mon téléphone sonne,
Mais au bout du fil personne,
Et je répète allo comme une conne,
L’été est ma saison préférée,
La chaleur du soleil,
Elle me rend toute gaie,
La vie n’a pas son pareil,
L’hiver il fait trop froid,
Et ma couette je déploie,
Le jour peine à se lever,
Et j’admire mes enfants se réveiller,
Le printemps en attendant,
Fait passer le temps,
Possibilité de faire une balade en bord de mer,
Juste histoire de prendre l’air,
Et voilà c’est fini,
Je retourne dans mon lit,
Dehors il fait tout gris,
En fait tout a un prix…
L’horloge,
Il est tard, il est tôt,
Je n’arrive plus à faire dodo,
Pourquoi je ne sais pas,
Mais marre de faire les 100 pas,
Les minutes passent,
Les heures sont si longues,
Partir loin voir ce qui se passe,
Avec juste une paire de tongs,
Sommeil pourquoi m’as tu abandonné ?
J’ai besoin de dormir pour être bien dans ma tête,
Fermer les yeux pour qu’enfin tout s’arrête,
Cloitre mes paupières pour enfin rêver.
Les plaisirs de la vie,
De quoi sont faits nos petits plaisirs,
De voir tous ceux qu’on aime rire,
Nos enfants, notre chair et notre sang,
Qui grandissent évidemment,
D’une bonne bouffe entre potes,
Une tarte aux pommes, un sorbet au citron,
Tenir malgré tout les pieds dans ses bottes,
D’une main serrée, d’un baiser sur le front,
Le soleil se levant sur la mer,
Un bonbon sucré de grand mère,
Le sourire d’un inconnu,
Que l’on pourrait imaginer nu,
Bref des petits détails,
Qui font toute la différence,
Qui nous plonge dans l’ignorance
Pour vous un cure-dent mais pour nous une paille.
Ivresse,
Ivre d’aimer,
Ivre de bonheur,
Ivre de splendeur,
Ivre de baisers,
Vivre pour le plaisir,
Vivre à fond,
Ne pas avoir peur de se bâtir,
Pour enfin sortir et faire un bond,
Se battre contre les autres,
Se sentir toujours en faute,
S’inventer une vie d’apôtre,
Avoir l’impression d’être une bonne hôte.
Espoir,
Au coucher de soleil, tristement je m’assieds,
Comme un tableau changeant sous mes pieds,
Le crépuscule encore jette un dernier rayon,
Monte et blanchi déjà les bords de l’horizon,
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé,
Bien des personnes dont pour moi le charme s’est envolé,
Lieu ou le vrai soleil éclaire d’autres cieux,
Ce dont j’ai tant rêvé paraitra à mes yeux,
Là, je m’enivrerais à la source ou j’aspire,
Là, je retrouverais l’espoir et l’amour,
Et le bien idéal que toutes âmes désirent,
Et qui n’a pas de nom au terrestre séjour.
J’me traine,
Comme souvent je me freine,
Je recule avec mes chaines,
Pourquoi ai-je tant de peine ?
Et pourquoi ma tête est pleine…
Tout cela est un problème,
Mon cerveau tourne sur lui même,
Alors j’écris des poèmes,
Comme une enfant blême,
Je fuis, je m’arrête et j’enchaine,
Faire des choses je dois mais j’ai la flemme,
Je reste accrochée à ce chêne,
Qui se meurt et m’entraine…
Terreurs diurnes,
Pire que des terreurs nocturnes,
Elles me prennent et m’empêchent de respirer,
Comme un coup de pieds dans les burnes,
Je ne peux rien y faire pour y remédier,
Je sanglote et m’étouffe avec mes larmes,
J’aimerais tellement être plus forte,
L’impression que se referment toutes les portes,
Je me bats avec moi même à sang et sans armes,
Les preuves de ma captivité,
Durant les années passées,
A être si longuement hospitalisée,
Mais malheureusement pas stabilisée,
Je suis pourtant une personne chaleureuse,
Alors pourquoi en moi je sens cette froideur ?
Comme si je...

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