La lecture à portée de main
Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Je m'inscrisDécouvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Je m'inscrisVous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Description
Ce quelque chose en nous d’essentiel, que l’on ne voit pas !
Qui existe ou pas, mais qui transperce l’enveloppe de matière où on l’a confiné.
Cette énergie libre sous forme d’esprit, qui nous habite et nous fait penser le monde.
Après la formation de la terre en matière inanimée (géosphère), l’univers et ses forces créatives ont façonné la vie (biosphère).
La pensée est-elle née de la vie, ou bien attendait-elle depuis les origines de s’offrir un visage pour s’exprimer ?
Tout le vivant pense ! Mais la pensée humaine pourrait matérialiser toutes ces consciences dans une autre sphère : la noosphère
Grandioses découvertes de la science, qui nous décrivent l’incroyable histoire du monde.
Illustration de couverture : Le Libre arbitre de Annil.
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 24 août 2015 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782332971593 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-332-97157-9
© Edilivre, 2017
A mes « poussières d’étoiles chéries »,complices de nos voyages en poésie…
Merci pour ces beaux moments, avant d’éteindre la lampe.
Cherchez toujours qui se cache sous les cailloux !
Merveille, je m’émerveille !
Dans le mouvement perpétuel
La vie plante ses racines au ciel.
Et nous, géants de l’invisible
Aux attirances indicibles,
Découvrant la polarité des mondes,
Des territoires en longueur d’ondes,
Nous cherchons toujours et encore
Au clair-obscur des oxymores,
Un destin d’harmonie et de sens.
Ah ! Le sublime besoin de transcendance !
Mais comment parler de toi ?
A n’en pouvoir rien dire,
A m’étouffer la voix
Quand ton ciel se déchire…
L’amour infini ne peut être menace,
Les porteurs d’esprit ne laissent pas qu’une carcasse !
Sur la page…
J’écris une pensée,
Un sentiment, une idée,
Un élan de l’âme,
Comme une petite flamme,
Un désir, une fulgurance,
Un besoin d’innocence,
Quelque chose qui existe,
Gravé sur le disque
Mais que personne ne voit
Si je ne l’écris pas.
C’est comme au passage,
De mystérieux messages,
Un léger souffle, une odeur,
Une onde venue d’ailleurs,
Sur la fréquence radio,
Captée par mon cerveau.
La pensée est un langage
Messagère sans âge,
Une matrice si familière
Qui décrypte la matière.
Petite créature qui respire,
Qui t’a appris à écrire ?
Ton double est une image
Cachée au dos de la page.
D’où vient l’étrange musique,
Vieil écho du champ quantique ?
L’esprit qui baigne toute chose
Donne son sens à la rose,
Et la lumière se pose enfin
Sur la page des mots, sans fin.
Qui parle ?
Qui parle ainsi dans ma demeure
Au silence de mes voix intérieures ?
Tendue aux quatre points de l’espace
J’étire mon âme au toucher de la grâce.
J’appartiens à tout ce qui me dépasse
M’envahit parfois d’une fusion fugace,
Puis me laisse là, comme terre labourée
Qui attend assoiffée de se voir inondée.
Quand tu m’appelleras par mon nom,
Ma voix dépouillée n’émettra plus un son.
L’endroit semble vide mais ne dort pas,
Une épaisseur du temps qui ne se voit pas.
Je partirai diffuse sur un grain de lumière,
Eclairée pour renaître d’une belle manière.
Je saurai attendre cet instant d’harmonie
Où tu seras là, comme tu nous l’as promis.
A Pen Hir
Fringale de la magie des matins,
J’enfile, heureuse, mes rêves marins,
Vers le cap où s’ouvre le chemin,
Mer, falaises, me voici, je reviens !
Mes pas légers déroulent le sentier
Foulant du regard les terres du passé,
Criques écorchées racontant notre histoire,
Schistes rubanés en décor de mémoire.
Quand le temps voyage vers l’intérieur,
Il devient presque immobile, sans heure.
La vieille chaîne hercynienne toute rabotée,
Témoigne encore d’un passé composé.
Beauté des forces à l’assaut,
Réinventant de nouveaux scénarios,
Chaque vague libère en...