Oraisons printanières

Florent Ploquin

Description

La saison du printemps est à la fois universelle et éternelle, car sa douceur caractéristique ne laisse personne indifférent, après les rigueurs de l’hiver. Cet ouvrage fait donc la louange de cette saison particulière, symbolisant l’espérance et la foi dans l’avenir pour de nombreux peuples de la Terre.
De plus, le parc situé près de la maison de l’auteur est à l’origine de l’inspiration de ce recueil. Le message permanent de la nature a donc servi de modèle pour ces méditations d’un genre très spécial...

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 10 juillet 2018
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414255283
• Langue: Français

Extrait

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ISBN numérique : 978-2-414-25529-0

© Edilivre, 2019
Bibliographie de Florent Ploquin

Bibliographie de Florent Ploquin

Aux éditions Edilivre :
Le Testament Olographe
roman 2010
La Rançon du Bonheur
roman 2010
Le Jardinier Apostolique
roman 2013
Une Destinée Tourangelle
récit 2016
Itinéraire d’un Penseur Atypique
poésies et contes 2011
7 Contes Dialectiques
2015
Croquis Intérieurs
poésies 2014
Suggestions Automnales
poésies 2015
3 Légendes Normandes
poésies 2016
La Renaissance de la Mémoire
poésies 2016
Petit Bréviaire de Sémantique Arboricole
poésies 2018
Oraisons Printanières
poésies 2018
Le Piano et ses Perspectives
essai 2015


Aux éditions Publibook :

Le Miroir Récurrent
nouvelles 2010
Bagatelles Contemplatives
poésies 2010
Aux éditions du Menhir :

La Légende du piano de Sienne
récit historique 2017
1 Renouveau Bienfaiteur
Le printemps est un perpétuel renouvellement
Car il est la fontaine de l’âme du peuple végétal
Et un signal permanent en direction de l’azur
Voici pourquoi ses variations chromatiques
Et ses effluves sensoriels conditionnent le regard de la faune
En délimitant ses aspirations ;
Ainsi la foule des volatiles perdure chaque année
Parce que la clémence printanière
Légifère à son sujet.
Abordons donc cette saison unanime
Que désespère d’atteindre le froid ancestral qui décline
Et souvenons-nous de la clameur
Qui régentait ce lieu ici même l’année dernière
Car déjà la quiétude de ce germinal de l’esprit
Génère en secret des cantilènes qui partiront vers les cieux
Tandis que la candeur de floréal suscitera des émules
Jusqu’aux lointaines aurores,
En concertation avec la végétation prometteuse
Puis la brise amicale côtoyant notre prairial judicieux
Définira l’essence de cette évanescence climatique.
Dès lors, le printemps débonnaire
Aura beau jeu de pacifier l’atmosphère
Pour que le rêve demeure,
En filigrane des instants évanouis
Que la mémoire goûte encore.
2 Dans la Douceur des Ombres
Il arrive parfois que l’on médite
A l’ombre des auréoles du jour
Lorsque le soleil à son zénith
Rassasie l’orpailleur des idées
Et que le feu du ciel fait crépiter le bronze
Sur la forge d’un renouveau...