Quand le Vers gai rit

Madeleine Wibart–Flahaut

Description

Consacrant notre ville à l'universalité de sa connaissance par l'intimité des mythologies, des lointaines et proches langues anciennes, des hommages rendus à l'Antiquité à M. Desbordes- Valmore " Les anciens souvenirs à vif " à C. Baudelaire «Hymne à l'unique chat » « Hymne au chat unique » à P. Verlaine « En allées » à M. Proust « De la vie de la bibliothèque » à J. Krishnamurti à A. Artaud « Eloges de Saints Pâtis » la poésie fusionne puis diffuse, de l'abîme du style en l'éclaircissement de toute galaxie par l'intervention magique mais divine une adoration de l'amour surhumain subhumain sublunaire.

L'éblouissement de la spiritualité du Haïku à la fictionnalisation illumine d'un paraphe le poème, la prose poétique, la prosopopée indirecte, le poème en prose, la poésie fugitive, de l'épiphanie des retrouvailles avec une divinité voire un Dieu le Père notre Père immémorial alliant le bien, le beau et pourquoi pas le bon !
Osons...

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 06 octobre 2017
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414033638
• Langue: Français

Extrait

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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-03361-4

© Edilivre, 2017
Epigraphe
Plus évangélisation,
Qu’écriture boustrophédon
Pour esthétique création,
Accomplie par instruction
Scrutant monde d’obstination
Déterminé par perfection
Pour adhésion vers rédemption
Inspiré de Verlaine
En allées
Si l’on travaillait
Ton âme voulait
Depuis les halliers
Comme une envolée
Eloges de Saints Pâtis
Poème dédié à Antonin Artaud
La chaleur -découragement-
Pénètre par foudroiement
Pressent évanouissement
La peau- épouvantablement-
La Guérison- divinement-
D’un Saint endurant sang verser
La chaleur coulant doucement
Dévêt constituamment
Investit par revêtement
Le corps des extraits bienfaisants
D’un ange chevalinement
Parlant aux sens abandonnés
Courage trans en dents
Adressage à l’Antiquité
Fleur distinction offre cœur férié
Visage adorant déploie magnificat
Meus tes sourires des belles clartés
Humanité grande es- tu lauréate
Elevée ! Io les masques des trouvères
Parlez la sacralité de la vie
La source s’éloigne par vos paupières
Scandant une Iliade pour amie
Qualités de nos bons romans
Poïétique aimé dévoilement
Pureté de l’âme aux clairs dits
L’estacade chante silence
Souffle- parole – récompense
Irrigue Paix aux Puits bénits
Observer Contempler aimer plus que les idées dans la méditation
Inspiré de Krishnamurti
Le jour d’une lave-poulpe-
Yeuse scella tes yeux
As cil tu battis ta coulpe
Que je m’envolasse d’eux
Les anciens souvenirs à vif
Inspiré de Marceline Desbordes- Valmore
Mon cœur enfoui sous des roses l’univers Vert nid
Bat de souvenirs notre exil d’élixir
Sont-ce les labels des instants
De cuir reliés
Dictamen qu’il est digne de lire ?
Des essences des rosiers coulée
Pour inscrire force « Mélanges » d’hommages
Sous la pression reconstituante du temps
Tout Souffle dilate l’effet
De ta vivante incarnation !
Dieu Christ !
Notre cœur enfoui sous des sols les sépales
Sous des pôles les pétales
Est-ce cépage à mieux vivre… une fois lu bu
Hymne à l’unique chat (felis en latin signifie le chat peu éloigné de felix traduit par heureux. Felix Mendelssohn par sa musique a dépassé sa condition de juif qui le persécutait comme un chat victime du bûcher de l’obscurantisme !) Unique équivaut à seul quand l’adjectif est antéposé au nom : « unique chat »)
Hommages inspirés de mon premier chat Miquette
Chat tapi dessous ton vanneau
Du soleil pianiste hardi
De rayons joueur ébaudi
Domino sort en cachalot
Ployant sous les stratèges… pluie…
Felis à l’infini poisson
Tragédie avec hameçon
Surveille muet de chanson
Les sol si doré de tes sons
Ployant sous les chorèges… Pluies…
Hymne au chat unique (unique ou seul quand l’adjectif est antéposé au nom confer précédemment : « unique chat »–à en être unique ou exceptionnel quand l’adjectif lui est postposé : « chat unique »)
Compositeur à ton piano
Du juste tempo érudit
O chat de notes circonscrit
Chantant dans les oratorios
Assignant les carcasses Buis
Tragédie sans un hameçon
Baryton de la Liturgie
Tu pries felix de mélodies
En sol si do ré de chauds sons
Elevant les bécasses Pluie
Châtelain avec les pinsons
Chat pour chanter la barcarolle
Avec nos bénédictions
Tu détends même sans gondole
Charmé des espaces… Fruit
D’une farandole l’idole
Vénus t’offrit son monopole
Pour que sustenté d’azerole
Tu t’enracines sur l’épaule
Vivant les dédicaces Plume
A l’une qui fut blessée par le sacrifice de soi
Battant tiède si belle peau
Pluie
Coiffe de tes doigts royaux
En ton soin de dilettante
La marque de, en une chevelure virginale de comète, l’intelligence extrapolante
Oins ensuite par la magnificence unificatrice de Dieu la balafre pour que l’encéphale éclaire l’esprit
Puis déploie de la puissance sacrée de l’innocence le sourire de l’Ange aux sourires de Reims.
Message de l’organe de la divine vue
Quand nous tendons vers la perfection, le souci de l’excès se module. Nous nous rendons vite compte- mais trop tôt ou trop tard qu’importe-que rien n’est achevé et que le climat se tempère à chaque palier.
« Se livrer texte et livre » c’est se délivrer de la double articulation du langage en monèmes et morphèmes en en recevant l’étincelle de la parole puis la donnant puis en en reconnaissant l’amélioration. L’œil de Dieu en recommande l’écrit en l’engagement des desseins à fleur d’iris dans la verticalité des lys-conservation -conversations.
O nuit hagiographiant tout halo lunaire
De ton sommeil il fut tant et tant prébendé
O nuit surfilant nos litanies
Des évangiles il fut beaucoup, bien et différemment induit
Tant le soleil de nos articulations se noue aux gorges
De ton invisibilité ébranlant notre confiance
Tant notre esprit éveillé s’émancipe à la forge
De ton semis d’étoiles
O nuit accentuant toute pitié
Tu adoucis la prégnance de l’éternel et successif mystère
Qui ne se résout à la réapparition de la présomption de ton ultime disparition
O toi des heures des raisonneurs et des prieurs pasteure !
Les jeunes poètes que tu as décidés
Aspirant à jamais une première fois
Habitués qu’ils vivent d’être un foyer
Allaités de tes autoroutes d’encre bleue
Autoconvaincus de l’Esprit Saint
Et sauvés par Sa Chair d’Homme
Ta suprématie jusqu’à cette heure encore les ranimait de subliminaux genoux par le sang d’un noyau de premier feu
divinement chaleureux
Pour fortifier le dépassement des migrations de leurs transes d’une lumière puis d’une meilleure puis de Dieu.
Soleil divine clameur
Soleil ! crois de crainte de transiter sans la trajectoire d’une victoire
Apôtres de cette piste philosophique que l’obvie se libère de vos rapprochements Prophètes et Forts de ce savoir laissez nos chairs glorifier et vivre l’esprit
Toutes tes représentations et reproductions s’illumineront de ta grâce dédicatoire car aucune autre techniquement ou artistement élaborée ne la tarira
Toi la source critique de nos inspirations
Toi le delta de nos métempsychoses astrales
A nous de nous former du moule que la mer a transfiguré ou à nous d’être ceux que tu appelles
Le retentissement du décrochement des cordons ténus de tes sonnettes rayonnantes décuplera l’attrait de l’enseignement
Dont ta gentille réserve prodigue l’attachement
Un jour sois gentil de recevoir de moi le coup de fil qui te faisant écouter te remémorera le décuplement de la foi par l’attention devant croître
Le timbre de l’étendue de ton inflexion prime ton existentialisme sinon ta vitalité
Mais sans ton existence l’espérance qui t’incite de notre planète à parler tous les langages y compris ceux des ruines anciennes et modernes te recrée pour que nous vivions, souvivions mais si c’est…
Pour survivre voire vivre ! iai
Baptismos BAPTEME
Glacier Pluie
Source Brume
Vapeur
Pensée galactique :
Lueur éclat clarté lumière splendeur spectre embrasement
Réflexivité ostensible programmatique de l’intériorité des huîtres perlières
Dormeuses chaîne de cou sautoir rivière collier de chien diadème châtelaine Maintenon Jeannette Croix réfléchissant
En leurs illuminations le brandissement des feux de la parole
Analogie entre ce qui s’abat des cieux et ce qui monte des eaux
Entre la foi et la théologie interaction
Vous avez agrégé des auteurs- hôtes le spéculatif continuum
Témoignant jour sur jour !
Pluie vert Véronèse crêpant en notre âme une route (la Vérité l’Intelligence le Génie…)
Favorablement conduite des connaissances clarifiées
Du raisonnement des roses causes, matinales puis vespérales des antipodes augustiniens
Jusqu’au blanc bleui lit de parade
Entre chien et loup clair-obscur obscurcissement assombrissement obscurité ténèbres
Nuit étoilée couvre- feu
Apprenez la transcendance divine que vous proclamez onctions du chrême baptismal puis du chrême confirmateur épiscopal antérieur à l’écrit frontal puis futur
De la sacralisation de la Parole, de son logos comme de celui du cosmos, en effet, la descendance s’avance
En voie d’universalisation de l’Orient les tétramorphes… révélateurs ontologiques de Christ, évangéliaires s’il en fut… rouges de pierreries d’être évangélistes
Dieu et l’assemblée
Veltheimia bracteata
Weigela florida
Crocosmia
Bergenia
Gerberlia gerbera
Ile gardera évasion
Gaulthéria mucronata
Beauté de vos fleurs
Il gardera direction
Dieu
Car Ile ou elle pria avec Sion
Et Christ comme notre sœur
Entre le travail-negotium et le loisir-otium
Atteste
L’amusement pur
Où aboutit
L’amusement éducatif
Du graduel détachement ou du graduellement détaché vers la perfection
O Instabilité
De l’étape de l’ouverture du fil se séparant en les lignes droites d’une chaîne
O Anatomie du cheminement des colonnes
Ecumeux des courbes ossifiées de nos cales ajouté de celui de la gêne de la chair de nos ensablements
Les rivalités dues aux départs et aux arrivées… s’affronteront-elles encore même mitochondries quand le Sage surplombe cellules et génome
Pour que la Sympathie l’Attachement l’Affection la Tendresse l’Intimité l’Union gagne de vitesse ?
Bonjour
Excusez-nous car
Nous devons apprendre les jeux de la clef du mode « secret » de nos destinataires par un souci de discrétion pour faire corriger aux jeunes gens en guise d’exercice les erreurs morphosyntaxiques langagières et constructives de tout beau texte anonyme apocryphe ou non ainsi que leur vision « qui n’est pas toujours juste «
Comme une prière à leur intention
Pour la révélation de leur grandeur dans l’émergence de ce qui était caché même à leur insu i. d. en grec alétheia ou le dévoilement ou la vérité !
Je ne sais quelle formule de politesse utiliser à l’égard de chacun mais je dois remercier particulièrement mes professeur