Recueil d une âme rebelle
96 pages
Français

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Recueil d'une âme rebelle , livre ebook

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Description

Ce recueil décrit différents type de personnalités rebelles ayant traversé le temps, ou qui nous sont contemporaines.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 04 septembre 2015
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332994561
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-99454-7

© Edilivre, 2015
Ailleurs
Je ne voudrais pas être l’être désuet,
Ne voulant pas être muet,
Je me permets de vous révéler
Ce qui pouvait plus nous rapprocher.
Je n’avais qu’une envie, celle de partir
Sans en venir à nous trahir.
De nos brièvetés,
Je souhaiterais que l’on s’admire, à nous espérer.
Je sens l’envie de t’avoir,
Je sens l’envie de te revoir
Sans l’admettre de vos au revoir,
Je ne sais s’il ne se mettrait à pleuvoir.
L’orage tonne,
Le désir sillonne,
Le rêve m’apaise,
Tandis que le manque me pèse.
 
 
Dans mes moments de détente,
Je me permets d’agir à l’improviste.
Au mieux de ce qui serait d’idéal,
Sans avoir recours à un art martial.
La plénitude de ce que je respire,
Joue une primordialité à ce qui m’incite.
Adresse, habileté inouïe
Ne veut pas dire que je ne me prête pas l’ouïe…
J’erre à mon utilité,
En présence de ceux qui sont à apprécier,
Voilà que le tout qui ne m’avait pas oublié
En vient à se référer…
Toujours mieux nous connaître,
Enfin pouvoir admettre ;
Jouir de la sincérité,
Amour platonique admiré.
Parfois se déprendre
De ce qui nous permet de réapprendre,
Ma logique sera-t-elle admirée
Sous l’intensité de nos audiences ?
La soutenance à reprendre un nouvel élan,
Nous permettra peut-être l’affirmation de nos talents.
De nos humbles intentions,
Nous serions matures de nos prestidigitations…
Peut-être sommes-nous un syndicat ?
Peut-être une minorité d’un État ?
Peut-être un État ?
Peut-être un gouvernement délicat ?
Il est vrai que la délicatesse,
Permettra l’épanouissement des déesses.
Tandis que conscience permit
D’être plus honnêtes lorsque nous sommes au front,
Un Front humanitaire,
Avec ce qu’il y a de convenable en sanitaires,
Je me lassais d’être solitaire,
Je souhaite que nous fassions tout, en ce que nous osions faire de paires.
 
 
Nous étions pris d’exaspération,
Nous étions révoltés,
Tandis que nous crûmes,
Nous fûmes en mesure de nous réadapter.
Confiants en nos fadaises,
Ne voulant nous soumettre à nos faiblesses,
In extremis, d’une solidarité en attente,
Nous nous résolûmes à réapprendre.
D’une sociabilité envers les faibles,
De nos priorités qui nous affectent,
Le respect a su dominer,
Mais la façon dont on procède, n’était qu’à perfectionner.
Nous nous sommes dépris de la haine
Pour reconquérir ce que nous avions compris naguère,
De la façon la plus tolérable,
J’eusse espéré que nous fussions incorporés dans des fables.
Entre ce qui serait permis
De ce que l’on a appris,
Pourra nous favoriser à nous sauvegarder,
De nos insistances desquelles nous ne pouvons
Être protégés de la plénitude de nos dévotions.
Le pardon existe,
La foi autorise,
Le rêve anéantit,
L’efficacité nous attendrit.
Ne perdons pas les faveurs de nos valeurs,
Sachons nous mettre en ponctualité avec l’heure.
Nous avons besoin mutuellement l’un de l’autre,
Essayons de nous faire de nos différences, autres.
Le bref itinéraire nous a améliorés,
Nous pouvons nous congédier,
Sans entendre des objections
De ce qu’influençaient nos conditions.
 
 
Je ne voulais pas me mesurer à cet amour,
Je ne voulais pas me fâcher avec les alentours,
Je me rendais compte de nos parcours,
Je suppose, puis-je m’affirmer à mon tour ?
La réalité a su me délivrer,
L’espoir a su me faire méditer,
L’anoblissement de tendresse ne se fait pas tarder,
J’en viens avec ma conscience à acquiescer.
L’enrichissement de mes intentions du bon gré,
A su m’éloigner des périples des malgré.
Parfois devant faire,
Je pense que moi aussi il m’arrive de plaire.
Radieux du teint de voix,
Hargneux en ne perdant pas foi,
On peut penser aisément
À ceux que l’on avait aimés abondamment.
 
 
Avoir l’air,
Ne veut pas dire être,
Être entraîné à paraître
D’une brève similitude singulière de notre être.
Sourire à ses intentions,
Aux minutieuses conventions,
Éluder l’intolérance,
Nous nous semblons au mieux de nos appartenances.
L’exagération est portée,
Autant se familiariser sans déborder
De nos nouvelles sensations
Qui pourraient constituer notre nation.
Nation tolérée,
Nation intimement confiée,
Nation commune
Sans arriver à être considérée comme une prune.
Extravertis, nous pouvons nous requinquer,
Introvertis, nous devons redoubler…
Mais extravertis nous devons être introvertis
Et introvertis nous devons être extravertis.
Permettre tout en paraissant être,
Respecter, laissant tout apparaître,
Nous pouvons nous fier,
Tout en laissant au gré défiler.
 
 
Nuls n’osent ciller,
Il y a preuve de dextérité,
Compatiront-ils à ce qu’ils endurent ?
L’envie me prend, alors qu’il est l’heure
De la bienveillance,
À ce qu’ouvre l’audience,
Le pour et le contre,
Laisse réfléchir dans l’antre.
Les plus sages pensaient que crise se passe,
Les quidams aménagent les impasses,
Nous voilà embarqués
De nos burlesques satirisés.
Les plus sensibles imploreront
L’avis des publics qui les refouleront.
Toujours un droit indéniable,
Que l’on pourrait inscrire telle une table.
Nous découvrons des motions larmoyantes,
Nous serons toujours indépendants,
La sentence sera expiation,
Tandis qu’ils ont osé s’infiltrer dans cette nation.
Personne n’a manqué de courage,
Peut-être de faire sentir son orage ?
Mais il n’était point permis,
Ça y est, ils ont frémi.
Ne sachant pas quoi leur réserver,
Nous persuadons de nouveau, morigénons.
Les charmeuses, durant des heures,
Nous permettaient d’agir dans du beurre.
Parler,
Rétorquer,
Emplir,
En attendrir.
 
 
Tu m’enjôles avec tes douceurs,
Ne vous montrez pas bonne parleuse.
Est-ce que nous nous reverrons ?
Sans que nous nous mentions ?
Tout inconnu m’est toujours le bienvenu.
Il ne faut pas que vous vous ruiez,
Cela est pénible,
Mais parfois admissible.
Les difficultés redoublent,
On ne peut manquer, on se meut
On se rapproche
Eux, ils s’en moquent…
Est-ce que nous nous reverrons ?
Le plaisir ne manque pas dans notre nation,
Serons-nous toujours les fidèles adeptes
Des parfaits athlètes ?
Est-ce que nous nous reverrons ?
Il faut que nous nous parlions.
Serons-nous la même nation ?
Pardon, il faut que nous nous mentionnions…
D’une passion endémique,
Nous nous disons : Vive la République.
Est-ce que nous nous reverrons ?
Il ne faut pas que nous repartions.
Nous ne sommes pas pris à court,
Mais je souhaiterais être mon propre jury,
Afin que nous puissions, à nouveau, rire, mais vous riez…
Déesse de mes bienfaits,
Prêtresse de mes méfaits,
Est-ce que nous nous reverrons ?
Il faut, de nouveau, que nous nous parlions.
Cantatrice des nobles sorts,
Nous nous permettons d’arriver à bon port,
Prolifique que vous êtes,
Il faut que nous l’admettions, que nous sommes nés.
 
 
Viens à l’intérieur de mes bras,
Il ne faut plus nous sentir las,
Ne sachant pas ce que le destin nous réserve,
J’essayerai d’être laconique loin du prolixe.
J’ai été émerveillé par ta politesse,
Ton attention, prouesse de ta souplesse,
Me rassure, être compris,
Mérite bien un gros prix.
Je ne te mets pas une étiquette,
Tu es bien plus chère replète,
Mais je t’en prie, viens à l’intérieur de mes bras,
Je ne sais pas ce qui se passera.
Tu bachotes ma personne,
Serais-je à la hauteur de tes convenances,
Pour le peu que je sache,
Je te l’avoue, je crains que notre cinéma nous fâche.
Laisse-moi te dire que les cendriers sont pleins,
Après avoir savouré un bon festin.
...

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