Rêveries
232 pages
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Rêveries , livre ebook

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Description

J’aime les mots écrits, gravés, car ils révèlent des émotions, des pensées toujours renouvelées... Ils définissent et traduisent ce que l’on ne peut exprimer tout haut.
J'aime dévoiler des sentiments dans des alignements de lettres, de phrases dans lesquelles je souhaiterais que chacun s’identifie, des lignes qui vous rappellent des souvenirs, des sensations, des arômes égarés et retrouvés pour vous envelopper des senteurs du passé, du présent, de l’avenir, de vos envies, de vos désirs les plus inavoués.
Laissez-vous emporter par les vagues issues des verbes prononcés, lus à haute voix. Laissez vos impressions, vos troubles, vos émois, vos excitations se réveiller...
Donnez à votre cœur le temps d’appréhender ce que votre esprit s’étonne de lire, de ressentir, d’interpréter, d’approcher...
Votre âme, par ces mots distillés, se sentira alors libre de voler...

--Fréda of Paris--

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 02 juillet 2014
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332683250
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0082€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright














Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-68323-6

© Edilivre, 2014
« Sans le rêve, il n’y a pas de poésie possible.
Et sans la poésie, il n’y a pas de vie supportable. »
Pasteur Valléry-Radot
Remerciements :
Je remercie toutes celles et ceux qui m’ont encouragée dans ce merveilleux projet, tout particulièrement mes amies Carole Givelet, Charlotte Smith, et mon frère Frédéric, que j’embrasse tendrement et affectueusement.
Rêvez et voyagez
Dormez, rêvez mes doux et silencieux amis…
Que la nuit vous emporte loin dans des illusions de magie, de féerie. Qu’elle vous fasse voyager dans les émotions sublimées de vos propres pensées.
Qu’elle vous fasse entrevoir mille univers cachés où les couleurs irisées de votre sommeil nébuleux, se confondent avec les senteurs de vos impressions les plus veloutées.
Laissez-vous envahir par l’enthousiasme de vos aspirations, par les mille facettes de vos mondes imaginés, à jamais gravés dans votre mémoire édulcorée.
Laissez votre âme explorer toutes les allégories de votre esprit romantique, afin d’y découvrir les secrets insondables dissimulés dans les profondeurs de vos passions annihilées.
Laissez-moi vous rejoindre dans vos songes voluptueux dans lesquels se mélangent espoir et sensualité, poésie et mélancolie, amour et souffrance, spleen et nostalgie, toute la beauté irrationnelle de vos mystérieuses rêveries.
Laissez-moi vous accompagner dans vos cauchemars tourmentés, dévoyés, tel un prince déchu à la quête d’une rédemption que vous seuls saurez me donner.
Ouvrez-moi la porte de votre cœur afin que je puisse y entrer et ne jamais m’en échapper.
11 juillet 2013
Peau vibrante
Peau vibrante, irradiante, sur elle mes lèvres tremblent
Je t’embrasse brûlante, nos corps s’assemblent
Troublants émois, de tes lèvres entrouvertes, je doute
Tes lèvres sur ma peau me cherchent, me ramènent, me goûtent
Ton être vaincu, éprouvé par mes baisers, je te touche
Immatérielle, aérienne, légère, céleste je me consume
Tu me retiens, je te rejoins, je me balance, tu m’allumes
Mes actions, punitions, récompenses, j’aime, je signe
Sur ta peau vibrante, miroitante, luisante, je souligne
Tes désirs palpitants, invitants, troublants, je me couche
Mes plaisirs torrides, ma soif de toi toujours
Heureuses, rayonnantes, émouvantes, Ô mon amour
Je te retiens, tu me rejoins, je t’enivre de mes exigences charnelles
Ton corps sensuel, flamboyant, puissant, me rappelle
Ta peau vibrante, irradiante, sur elle mes lèvres tremblent
19 juillet 2013
Est-ce une raison
Je t’aime
Un peu
Beaucoup
Passionnément
A la folie
Pas du tout
Mais est-ce une raison
Pour mutiler une fleur
Qui se meurt chaque saison
Pour des amants en pleurs
22 juillet 2013
Ça va, ça vient…
L’amour ça va, ça vient… On y peut rien
On aime, on n’aime plus… On est perdu
On partage, on se sépare… On s’égare
On rit, on pleure… On compte les heures
On construit, on démolit… On en finit
On susurre, on se dispute… On se chahute
Mais au bout du compte, tout cela contribue à faire de nous ce que nous sommes, à apprendre de nous-mêmes, toujours et encore.
26 juillet 2013
Pensée…
Même si rien ne peut s’oublier et que l’on s’efforce seulement d’ignorer, certains souvenirs se rappellent à vous d’une manière inattendue, terrible, sans crier gare, tel un refrain chanté dans la rue qu’on fredonnera inlassablement, une senteur fortuite qui vous enivre de ses effluves passés, d’images confuses liées à elle qui, soudainement, prennent tout leur sens jusqu’à devenir d’une netteté absolue.
Et rien à faire ! Parce que vous n’avez pas d’autre choix que vous souvenir…, inéluctablement, en sachant pertinemment qu’il n’est pas possible de revenir en arrière.
Alors, on pleure, on sanglote, on se lamente sur des attentions attendues, jamais arrivées, des actes qui auraient pu éviter le pire ou… le meilleur.
Ce qui aurait pu être, qui n’a pas été…
De l’avoir trop aimé, en retour en avoir trop souffert…
Vous restez là, hébété, incertain sur la façon d’appréhender ces souvenirs oubliés, de transfigurer ce passé si lourd, si intense.
Vous sentez en vous quelque chose se briser, alors votre cœur se met à pleurer.
3 août 2013
Je rêve de ses bras
Je rêve de ses bras quand ils me murmurent « Je t’aime »
Ils m’emportent très loin dans des mondes irréels
Alors sur nous, s’amoncellent des arômes de miel
Dans ses bras invincibles, je lui dis que je l’aime
5 août 2013
Révélation
Nos rêves nous révèlent dans leur étrangeté les pensées les plus chimériques de nos esprits embués.
9 août 2013
Faim de fin
Ne plus avoir faim de cette fin de toi…
10 août 2013
Tes délicieuses lèvres
Quand sur tes délicieuses lèvres
Je déchiffre des « Je t’aime »
Aussi je te dis que je t’aime
Tu portes ces mots à tes lèvres
Dans ton malicieux et irréel sourire
Je m’abandonne à elles de désir
Ici et ailleurs, je ne veux me souvenir
Que de tes lèvres, à jamais y mourir
Alors sur tes délicieuses lèvres
Je déchiffre encore des « Je t’aime »
Aussi je te redis des « je t’aime »
Tu portes ces mots à tes lèvres
Je me livre à ta bouche corps et âme
Pour cet effleurement sensuel je me damne
Dans ces instants intimes, haut et fort je proclame
Que tes lèvres aimées je chéris Ô ma Dame
Alors sur tes délicieuses lèvres
Je déchiffre toujours tes « Je t’aime »
Aussi je te réitère mes « je t’aime »
Tu portes ces mots à nos lèvres
10 août 2013
Perles de nacre
Comme les perles qui recouvrent ta nudité
Tu décryptes la sensualité de toutes les voluptés
Au regard de l’onde où danse ta beauté
Irréelles perles de nacre sur mon âme ont chanté
18 août 2013
Envoûtement
Sur le mur de mon éternelle existence
Je me pare des drapés de mes expériences
Je me dévoile toute entière à tes exigences
Je partage avec toi le moindre souffle de ma puissance
Noyée dans mes voiles mystiques, je te veux succomber
A mes lignes tranchantes, nettes et effilées
Je veux te contempler saigner, de ton être me rassasier
Et à nouveau, ensemble, tout recommencer
19 août 2013
Frustration
Aujourd’hui sur les rochers acérés,
Je l’ai observé, seul inondait de soleil, il hâlait
La brûlante lumière sur sa peau cuivrée
Faisait comme des vagues sur son corps musclé
J’aurai tant voulu l’approcher, le caresser
Mais la mer, possessive, m’en a empêché
21 août 2013
Tatouages
J’aime tes tatouages gravés précieusement sur ta peau
Ils sont magnifiés dans les rayons ardents de nos mots
J’embrasse tes dessins infiltrés comme l’eau
Sur cette plage au sable si doux, si chaud
De plaisirs interdits ils soignent mes maux
Au détour d’une ligne je lis tout et c’est beau
Ces esquisses comme autant de tableaux
Dont mon âme à jamais est accroc
21 août 2013
Allégorie
Sur la courbe de tes seins
De tes épaules à ton bassin
Je transcris ta féminité
En des allégories à ta beauté
Nulle dorure pour couvrir ton corps
Seule ma ceinture d’airain pour décor
Tel mon sapin d’éternité
Je te veux à moi ma bien-aimée
Je hume tes arômes délicieux
Je respire tout ton être voluptueux
J’aime tes courbes élancées
Qui m’enivrent de sensuelles pensées
Tes épaules souples, insolentes
Font de mon âme une esclave fervente
Et sur ta gorge abandonnée
J’y laisse l’empreinte de mes baisers
21 août 2013
Envies
Envie de lire
Envie d’écrire
Envie de mots
Envie de beau
Envie de toi
Envie de moi
Envie d’enfin
Envie de fin
Envie d’espoir
Envie de croire
Envie de vie
Envie de nuit
Envie de fuir
Envie de dire
Envie d’envie
Envie de lui
22 août 2013
Amours éphémères
Je pleure parfois sur mes amours éphémères, ne m’étant peu ou pas souciée de leur identité réelle ; ne cherchant dans leur être que des voluptés abandonnées pour combler mon mal de moi.
Elles furent brèves ces partenaires qui, le temps de quelques heures, me firent entrevoir de la lumière dans mes tristes soirée de solitude, d’hiver.
Ces amours éphémères eurent pourtant tant de délicatesse, tant d’amour à donner, sans compter, sans juger…
Ces amours éphémères m’embrassèrent, me frôlèrent, me touchèrent, avec tant de fougue, de passion, qu’elles me firent oublier mes cauchemars, mes insomnies.
Mes amours éphémères ne durèrent que le temps d’un baiser, d’une caresse, d’une folie.
Pourtant ces heures dévorantes, enivrantes semblaient fusionnelles, aériennes, intemporelles, éternelles !
Mais ai-je pu, ai-je su y répondre moi-même ?
Et pour mes amours éphémères, je ne fus, peut-être, qu’un amour éphémère de plus…
22 août 2013
Il était une fois
Il était une fois
Toi et moi
Sous un même toit
Dans la liesse de notre joie
Il était une fois
Juste toi et moi
Dans un amour sans droit
Dans un amour sans foi
Il était une fois
Encore toi et moi
Une passion sans loi
Une passion sans quoi
Il était une fois
Toujours toi et moi
Parmi nos parfois
Dans nos gais émois
22 août 2013
Désir avoué
Sous ta veste de cuir vêtu
Je veux toucher ta peau mise à nu
Baiser tes lèvres douces, charnelles
Descendre à volonté sur tout ce qui m’appelle
Ton corps, tes arômes de mâle
Transpercent mes désirs, me font mal
Je ne peux ni ne veux me retenir
De tes envies de me nourrir
Ne t’en vas pas ! Comme jamais rejoins-moi
Faisons de mes désirs, une jouissance de toi
23 août 2013
Océan
Éprise de mes dunes contre vents et marées
Je sculpte de fantastiques plages de sable
Sur ces terres brisées, inaccessibles beautés
Je fais de mes blanches mains intouchables
D’étranges moulages aux sens oubliés
De mes désirs suprêmes, inavouables
J’avoue cependant toute ma sensualité
Mes yeux aux funestes couleurs affables
Attirent les regards de marins égarés
En mon ventre plein, éternel présage
Nagent, glis

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