Sans elle
324 pages
Français

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Sans elle , livre ebook

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Description

Une rencontre, un regard, et votre vie bascule.
Au-delà de l'âge, de nos situations sociales et personnelles, nos routes peuvent croiser l'amour. À cet instant magique, une seule interrogation ? Ne rien dire, ou se dévoiler au risque de tout perdre.
Au travers de la poésie, un voyage dans les émotions, les sentiments, sujet universel, mais si personnel...
Ce voyage se veut tendre, diablement coquin, imaginatif, et donne aux tracas de la vie une vision plus humoristique.
Chacun de nous peut se retrouver dans ces textes, vifs comme les désirs.
L'objet de la flamme est aussi la muse du poète, dont l'absence sublime ses rêveries créatrices.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 juin 2017
Nombre de lectures 3
EAN13 9782414086757
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0082€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-08673-3

© Edilivre, 2017
Préambule
De toute ma vie
Je n’ai autant écrit
De jolies choses
Je me sens tout chose
De les publier
J’ai quand même hésité.
A force de reculer
Ma tête a heurté
Le lampadaire
Qui faute d’ailes
A basculé
Sur la télé !
Rien de cassé
Mais à côté
Se consumait
Dans un chandelier
Deux belles paires !
Qui m’inspirèrent
Quelques belles rimes !
Ah ! J’avais belle mine
Quand la coiffe écrue
Je ne l’aurai cru
S’est enflammée
Le temps d’un pet.
Dans la panique
Devant le risque
Que le vieux meuble en bois
Se joigne à elle, avec joie
J’ai balancé le pot
Et l’eau
Le pot dans la télé
L’eau sur le chandelier.
Tout compte fait,
J’ai décidé de publier
C’est moins risqué
Que d’hésiter.
Amour toujours
– 1 –
Parler de soi,
Ne vas pas de soi.
Parler de moi,
Me mets dans l’émoi !
Parler de soi,
Pour dire quoi ?
Parler de toi,
C’est une joie !
Parler de quoi ?
Sans rester coi !
Ou dire pourquoi,
Sans être une oie.
Parler tout court,
Sans être sourd,
Aux maux d’autrui,
Aux mots qui fuient.
Parler sans dire,
Dans un sourire,
Qui veut tout dire,
Dans un rire !
Parler d’une main,
Comme un latin,
Qui se balade,
Comme une nomade,
Pour retenir,
Ou soutenir,
Quelques paroles,
Qui ne s’envolent.
Parler des yeux,
C’est merveilleux !
De l’émotion !
De la passion !
Entre deux paires,
Nulles autres pareilles,
Comme des amandes,
Vert amarante.
Parler du Cœur,
Sans avoir peur.
Quelles douceurs,
A son âme sœur.
Parler des pieds,
Sans les croiser
Pour pas montrer,
Que je suis gêné.
Parler d’un doigt,
Comme il se doit.
Sur mon écran,
Avec le temps,
Pour que les mots
Comme des échos,
A mes pensées
Soient alignés.
Parler surtout,
Et n’importe où,
Car ne rien dire,
Et parfois pire.
– 2 –
Mon amie
Se fait du souci.
Et de mon amie
J’entends ce qu’elle dit.
Sa sollicitude
Est source de quiétude.
Que mes quelques mots
Trouvent un écho.
N’oublie jamais,
Si besoin est,
Ou tout simplement
De partager un instant,
Mon temps à jamais,
A toi accordé.
A bien parler
Parfois je ne sais.
Coucher mes idées,
Des mots à la volée,
Des pensées cachées,
Des souffrances masquées,
Chose plus aisé,
Pour moi je sais.
Filou je fus,
Enfant en fut le du.
Philippe je suis,
L’enfant s’est enfui.
A mon amie
Merci.
– 3 –
A une amie,
Beaucoup j’écris,
Plein de bêtises,
Et de sottises,
Pour alléger.
Ses dures journées,
De mon humour
Sans doute lourd,
Parfois potache,
Un peu bravache.
Souvent elle rit,
A mes âneries,
Par sympathie,
A mes pitreries.
Quand elle m’oublie,
Je dépérie.
Telle une muse,
Qui s’en amuse,
Elle m’inspire,
A écrire,
De la prose,
Oui ! J’ose.
Son regard vert,
Me souffle mes vers.
Son regard noir
Est un miroir
A mes pensées
Que je vais coucher.
Son sourire,
Est ma myrrhe.
Et si demain,
Je change mon destin
Telle mon Hémera,
Ma voie éclairera.
– 4 –
Le chat poète
Sur ses pattes
Se retire
Le beau sire
Pensez à vous
Dit le matou.
– 5 –
Toujours de Belle femmes
Attirent mon âme
Mon cœur accroché
A s’en désespérer.
Toujours de belles femmes
Qui me touchent l’âme
Mon cœur enflammé
A en crever.
Leur regard lumineux
De la journée ne me quitte,
Leur sourire charmant,
Me laisse pantelant.
Seul sur le quai,
Je regarde passer
Le train de l’amour,
Plus qu’à mon tour.
La vie est passée
Je l’ai abandonnée.
Je ne suis à leurs yeux
Désormais un homme vieux,
Qui, à défaut d’être aimé,
Est une aimable pensée,
Qui égaie leur journée,
Ecoute leur pensée,
Sait les fait rire,
Comme un vieux pitre,
Un clown blanc,
Laissé sur son banc.
Ai-je mérité,
Me suis-je trompé,
Pour n’aimer que des femmes,
Qui ne m’aimeront jamais.
– 6 –
Je t’aime bien
Bien, ce petit rien,
Un mot tout doux
Qui change tout.
C’est, comme dire,
Mais en moins pire,
Ce que tu attends,
Perds pas ton temps,
Rien de tes rêves,
Faut que tu espères.
Nous sommes amis,
Pour le midi,
Prendre le café,
Ou bien le thé.
Si je suis dispo ?
T’as pas de pot,
J’suis occupé,
J’vais travailler.
Si tu m’écris,
T’es mon ami,
Je répondrai,
Dès que je pourrai.
Je t’aime, bien,
Un mot de rien,
Qui nous apprends
A nos dépend
Qu’entre, aimer,
Et être, aimé,
Un mot de rien,
Fait un mal de chien.
– 7 –
Un beau poème
C’est bien ma veine
De les écrire
Ou de les lire
Et en retour
Pas de l’amour
Mais, un je ne sais quoi
Qui me laisse coi,
De ne savoir si,
Et me fait souci
De continuer
A élucubrer
De modestes proses
Tant pis, j’ose
Je verrai demain
Quel est mon chemin
Et si celui-ci
Croisera sa vie
Ou la rejoindra
Quand le temps viendra.
– 8 –
Rêve brisé,
Espoir cassé,
Un fol espoir,
Perdu dans le noir.
D’un fol amour,
Ai cru un jour.
De la fenêtre.
Voie ce vieil hêtre,
Qui crut un temps,
Un bref instant,
Toucher le ciel,
Elle est si belle.
L’écorce usée,
L’âme asséchée,
Il reste là,
Ne sachant pas,
Si de ce monde,
Ou de la tombe,
Un fol espoir,
Il faut y croire.
– 9 –
Quand je l’ai vue,
Je n’ai pas su,
Si j’avais peur
De la froideur
Que j’arborais
Pour me protéger.
Si j’avais peur
De mon Cœur
Qui battait fort
Dans mon petit corps.
Quand elle fût à bord
Je perdu le nord
Mais au volant
Encore le temps
De me masquer
Reste concentré !
Au restaurant
Allo Maman !
Vite, les WC !?
Pour respirer !
Peux pas y rester,
Toute la journée.
Vas-y, bonhomme,
Montre qu’t’es un homme !
Elle me regarde,
Je baisse la garde,
Je rends les armes,
Ouvre mon âme.
Mes mots s’envolent,
Mon Cœur s’affole !
Je ne maitrise rien,
Mais je suis bien.
Une demie vie,
Que je n’ai dit,
A une belle,
Charmante donzelle,
Tout simplement
Mes sentiments.
Un flottement,
Un court moment.
Dans son regard,
Beaucoup d’égard,
Et de douceurs,
J’ai eu si peur !
De tout gâcher
En vérité.
C’est mon enchanteur
Qui écoute mon Cœur
Ma magicienne
Qui m’émerveille.
Quand fût arrivé
L’heure de se séparer,
A la fois triste et joyeux,
C’est curieux !?
Sur le chemin qui me ramène,
Je fredonne, une douce rengaine.
Un grand sourire, éclaire
Mon visage et mon Cœur.
Même si seul je suis
Une lumière dans ma nuit
Est apparue ce jour.
Laisse la vie suivre son cours.
Qu’importe le lieu, le temps,
Pour elle, je serai présent.
Et je n’aspire qu’à être son Harry
Qui a rencontré sa Sally.
– 10 –
Pleins de péchés
Je dois t’avouer
Je fus pécheur
Avec ardeur
Enfant de Cœur
Plein de candeur
Mais garnement
Bien trop souvent !
J’ai fait médecine
Avec ma voisine
Sur le tas, l’internat
Je ne t’en parle pas !
Dans des soirées
Un brin arrosées
Pas le dernier
A confesser
Les demoiselles
Avec le zèle
Du pratiquant
Et pénitent.
Car dans le vice
Y a du sacrifice
Quant au matin
Sur le coussin
Tu prends conscience
De ton errance.
Je n’ose te dire
Et moins t’écrire
Sans être hypocrite
Que ma pratique
Fut assidue
Sans doute due
A mon appétit
Pour la biologie.
Devenu sachant
Et entreprenant
De l’imagination
De la passion
Quelle que soit le lieu
Pas de jeu dangereux
Beaucoup d’émotions
Et quelques frissons.
Depuis des années
Mon feu couvait
Faute d’une brise
Pour souffler les braises.
Un vent s’est levé
Plus fort qu’espéré
Pourvu qu’il se renforce
Pour donner naissance
A un brasier
Pyromane, pompière.
– 11 –
Journée soleil
Pas son pareil
Pour se balader
Et profiter
De sa journée
Quelle bonne idée
Journée soleil
J’ai fait merveille
Pour me réjouir,
Et pour jouir,
De ce que la vie,
Me donne envie,
De partager,
Sans me soucier,
Des conséquences,
Quoiqu’on y pense,
De mon bonheur
Malgré ma peur,
De partager
De convier
Ma douce amie
Ce jour midi
A déjeuner
Dans ce relais.
Journée soleil
Nulle autre pareille
Me suis confié
Le souffle coupé
De mon audace
Moment de grâce.
Sans réfléchir,
Sans retenir
Mes émotions
Et ma passion
Est-ce raison
Ou déraison
Mais son sourire
Et je respire.
Journée soleil
Comme du miel
Plein de douceur
Réchauffe mon cœur.
– 12 –
Certains soirs
Je broie du noir.
Qu’est-ce que tu espères
Pauvre pépère !
Trop bien pour toi
Qu’est-ce que tu crois !
Tu as passé l’âge
Laisse le passage
Tu es galant
Un autre temps.
Pendant que tu attends
Le bon moment
Il est trop tard
Tu as trop d’égard.
Alors j’écris
Mes rêveries
Mes idées sombres
Dans la pénombre
De ma chambrée
Bien esseulé.
Dans un miroir
Un peu d’espoir
Pas trop de sillons
Ornent mon front
Ni trop de plis
Marquent mes soucis.
Une moitié de vie
Je pense, cela suffit,
Pour enlever
Et enlacer
Notre Roxane
Oui, Dieu me damne.
– 13 –
Je te promets
Que jamais
Ai foi en moi
Où que je sois
Juste à côté
Ou fort éloigné
Dans une contrée
De l’autre côté
Je te promets
Que jamais
Je ne t’abandonnerai
Quitte à être le dernier
A m’inquiéter
A te protéger
A t’aimer
Sans rien demander
– 14 –
Je ne désire
Que son plaisir,
Me fondre en elle,
Qui est si belle.
Des positions,
A l’unisson,
Nous en changeons,
Qu’est-ce que c’est bon !
Et notre lit
Ne nous suffit,
Pour apaiser
Nos envolés.
Dans son giron
Je perds raison.
La dévorer
Dans son entier !
L’honorer
A satiété,
A dépérir,
A en mourir,
Enserré
Dans son intimité.
Jusqu’à ce moment,
Ce doux instant,
Nos corps, nos âmes,
Emportés dans une lame,
D’émotions, de désirs,
De tensions, de plaisirs,
Dans un seul et même cri,
Une seule symphonie,
Une grâce divine,
Avec ma Colombine.
Elle vient se lover,
Dans mes bras mon aimé.
Tu le sais, mon amour,
De mes plus beaux atours
Je me parerai
Pour te séduire à jamais.
– 15 –
Je dois avouer
Que je dois lutter
Pour bien

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