Souffle poétique
158 pages
Français

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Souffle poétique , livre ebook

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Description

Dédicaces, poèmes roses et gris, jeux de mots et bouquet de petites déclarations pour grand amour !

L’alexandrin prime dans ce recueil.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 24 novembre 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414163243
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-16322-9

© Edilivre, 2018
Dédicaces
A Axel mon petit crocodile
Sur toi petit Axel je peux faire un roman,
Je t’appelle souvent mon petit crocodile,
Cette chanson de guerre au petit caïman,
Quand tu étais enfant te rendait très fébrile.
C’est bien le « pan pan pan » qui te faisait très peur,
En marquant un arrêt, pour faire la surprise,
Lorsque je m’approchais, quelle n’était ta stupeur,
D’avoir trois petits coups et d’autres en reprise !
Tu vas avoir onze ans en juillet, comme moi,
Ta beauté n’a d’égale que ton intelligence,
Lorsque je pense à toi, je suis toute en émoi
Et lorsque je te vois, adieu toute exigence !
Chez Mamie tu es libre, tu fais ce que tu veux,
Jamais je ne voudrais qu’il y ait un problème
Et même si parfois tu es un peu nerveux,
Je te calme en jouant je veux être une crème.
Tu passes bien du temps dans la salle de bains,
Du gel sur les cheveux tu adores en mettre,
Tu sais que tu es beau du nez à l’arrière train
Et ta satisfaction tu viens me la soumettre.
Je suis fière de toi et mon cœur t’appartient
Et tu sais le pouvoir que sur lui tu détiens !
A Joël !
Non, je ne savais pas que parmi tous ces hommes,
Il en existait un d’un type différent,
Il s’agit bien de toi que je nomme « surhomme »,
Mais tu ne rougis pas et fais l’indifférent.
J’ai bien tout essayé pour que l’on se dispute,
Mais ça ne marche pas, ton calme reste roi
Tu es toute douceur, tu n’as rien d’une brute
Je me fâche pour rire et voir ton désarroi !
Oui tu es un amour et tu me rends heureuse,
Toujours d’humeur égale avec un gentil mot,
Avec toi on ne peut (n’) être que chaleureuse,
Et tu règnes en mon cœur en petit angelot.
Tu aimes bien manger, quand je fais la cuisine,
C’est avec attention que je prépare mon plat,
Je fais ce que je peux et jamais ne lésine,
Chaque soir, je prépare un dîner d’apparat
Nous vivons de beaux jours en vieillissant ensemble,
Si belle est notre entente, tant de complicité !
Tu es un humaniste et moi je te ressemble !
J’aime ta joie de vivre et ta simplicité.
Je te tiendrai la main tout au long de la route
Toi tu prendras la mienne, unis par le destin
Nous marcherons tous deux sans l’ombre d’un seul doute
Vers le pays des cœurs, à l’aube d’un matin !
A Lucas, mon Lulu
De mes petits enfants, tu es le dernier-né,
Tu as été aussi l’un des plus déchaînés.
Il faut tourner le dos car te voilà bien sage,
Tout cet entêtement n’a été qu’un passage.
Tu demandes toujours : « Mamie fais un câlin » !
Je craque devant toi, toi tu joues au malin
Et me voilà partie, cédant à ton caprice,
Me mettant à genoux comme une adoratrice !
T’apprendre la lecture et le calcul aussi,
A été une joie, c’est assez réussi !
Car tu n’as que six ans et tu lis des histoires,
Les additions, pour toi, sont aussi dérisoires.
Je prends grand soin de toi mais tu me le rends bien
Quand tu me dis « Mamie, toi je t’aime ô combien » !
Avec grande impatience à la moindre vacance,
J’espère ta venue pour mettre de l’ambiance !
Toi le petit dernier dans mon cœur tu es grand,
Je t’aime et suis si gaie d’être ta mère-grand !
A ma clope !
Je te fume et t’inhale
Et tu fais mon bonheur,
Tu pues et tu es sale
Mais j’aime tes odeurs
Tu calmes mon chagrin,
Tu assèches mes pleurs,
Tu me sors du pétrin
Et fais battre mon cœur
Tu donnes le cancer
Mais puisqu’il faut mourir,
Je fumerai ta chair
Pour enfin en finir
Je n’ai aucun scrupule
Car lorsque toi tu meurs,
Sans autre préambule
Je me tape tes sœurs.
Vous mourez une à une
Dans ce grand cendrier,
N’ayez pas de rancune
Car je vous ai fumées !
A ma meilleure amie !
Ma petite fille de 11 ans m’a demandé de lui écrire
un petit poème pour sa meilleure amie Lola, je lui
ai emprunté son petit cœur et me suis souvenue
de ma meilleure amie d’enfance !
A toi ma chère amie je dédie ce poème
Avec mon petit cœur car c’est bien toi que j’aime
Notre entente est si belle, c’est si bon de t’avoir
Je veux être à demain quand arrive le soir
Mais que serait ma vie si tu n’étais pas là
Mais oui comment ferais-je si tu n’existais pas
Car en toi j’ai confiance et à toi je dis tout
Seule me sentirais, désarmée, sans atout
Toi ma plus chère amie je t’ai donné mon cœur
Depuis que tu es là, c’est pour moi le bonheur
Si le temps nous sépare, je t’en supplie Lola
Reste ma douce amie car j’ai besoin de toi
Aujourd’hui et demain et pour toute la vie
Tu seras ma Lola, tu seras ma chérie
Pour partager mes joies ainsi que mes malheurs
Tu seras mon amie, plus, tu seras ma sœur !
Je ne t’oublierais pas car tu guides ma vie
Car tu chasses mes peines et mes petits ennuis
Et moi je suis bien là si tu en as besoin
Alors n’hésite pas je te tends mes deux mains !
A ma nouvelle petite sœur !
Depuis que je te connais
Tout a changé dans ma vie
Tu es celle que j’attendais
Tu es ma nouvelle amie
Toi ma puce, toi ma sœur
Toi qui m’a tendu la main
Tu es mon petit bonheur
Tu as uni nos destins
Ta tendresse me touche tant
J’ai maintenant l’impression
De retrouver mes vingt ans
Avec toutes leurs passions
Tu es vraiment adorable
Tu me donnes tant d’amour
Toi et moi sommes semblables
Moi je t’aime pour toujours
Petit ange, petite sœur
A toi j’ai donné mon cœur !
A ma petite fille du net !
« Petite maman net », je ne voudrais plus être,
Une maman tout court, il faudrait que je sois,
Pour pouvoir te chérir, t’apporter un mieux être
Et le rire admirer sur ton joli minois !
Sur ma solide épaule, tu poserais ta tête,
Je sècherais tes larmes, te redonnant la joie,
Ce serait merveilleux, oui ce serait la fête,
Avec sérénité, tu poursuivrais ta voie.
Et tu serais ainsi ma plus tendre fillette,
Telle une belle étoile au creux du firmament,
Scintillant en mon cœur comme douce paillette,
Toutes deux réunies par divin filament.
A Jeanine, ma grande sœur !
De nous trois, c’est bien toi qui mérites la palme,
Incarnant la douceur, le sérieux et le calme.
Lorsque j’étais enfant, ta chambre partageais,
Je mettais la pagaille et toi tu la rangeais !
De notre cher Papa, tu étais la chouchoute,
Toi si disciplinée, toujours à son écoute
Et Maman tu aidais à tenir la maison,
Notre frère avec moi ? Point de comparaison !
Une vie exemplaire en tant qu’épouse et mère,
Pour arriver ce jour, déjà cinq fois grand-mère.
De te savoir heureuse emplit de joie mon cœur
Je t’aime et c’est si bon de t’avoir comme sœur !
A Margaux, ma louloutte !
Dans ce petit paquet, une grande surprise
Deux petits chaussons blancs, pour un petit bébé
Adressés par Maman, pour moi, pas de méprise,
Je deviendrai Mamie, j’en reste bouche bée !
Je prie pour que tu sois une petite fille,
Que je câlinerai, que tant je chérirai.
Tu viendras agrandir le cercle de famille,
Te prendre dans mes bras, bientôt je le pourrai.
Arrive le grand jour, le jour de ta naissance
Le téléphone sonne et ton Papa j’entends
« Margaux vient d’arriver ! », Moi je perds connaissance
Le bonheur est trop grand ! Depuis sept mois j’attends !
Toi mon nouvel amour que je trouve si belle
Te couvre de cadeaux que tu mérites bien
Tu es toute douceur n’ayant rien de rebelle
Je t’offre à vie mon âme et je t’aime ô combien !
Te voilà aujourd’hui en pleine adolescence
Tu me donnes des joies et d’immenses bonheurs
Tu mets toujours mon cœur, en grande effervescence
Lorsque je pense à toi, j’oublie tous les malheurs !
A Marylou / Nellyfee
C’est sûr que j’aimerais, pouvoir trouver les mots
Pour te dire à quel point, je cherche ta lumière,
Pour te dire ô combien, je cherche la prière,
Qui pourrait te guérir et t’enlever tes maux.
T’enlever tous ces maux qui te font tant souffrir,
Te donner le courage de poursuivre ta route,
Te redonner la foi, t’enlever chaque doute,
Pouvoir trouver les mots, te voir enfin guérir !
C’est sûr que j’aimerais…
A mes filles,
Pour vous mes deux poupées, si belles et si gentilles,
Pour vous qui me donnez tant d’instants de bonheur,
Pour vous mes deux enfants, oui, pour vous mes deux filles,
Je donnerais ma vie, vous détenez mon cœur !
Pour moi tout cet orgueil de vous savoir heureuses,
Pour moi vos trois enfants m’apportent tant d’espoir,
Pour moi mon âme fond de vous voir amoureuses,
Vous clarifiez ma vie je ne vois pas de noir !
Pour nous tous les moments que nous passons ensemble,
Pour nous à chaque fête où nous nous retrouvons,
Pour nous cette chaleur qui fait que mon corps tremble,
Nous unies dans l’amour et nous nous le prouvons !
Alors cette fierté de vous avoir pour mère,
Alors tout ce bien être éprouvé grâce à vous,
Alors sachez vraiment, combien je suis sincère,
Quand je dis qu’avant tout, il n’y a bien que Vous !
A Oscar, mon frangin !
Mon cher frère à toi seul tu es tout un poème,
Tu tiens les solutions quel que soit le problème,
Ta générosité ne trouve pas d’égal
Et se mettre à ta table est vraiment pur régal.
La passion et l’humour qui te caractérisent,
Qui te rendent unique et tant te valorisent,
Sont de ces qualités qu’on aimerait avoir,
Avec ta gentillesse, alliée à ton savoir.
Tu es vraiment unique et fort tu m’impressionnes
Tu es hyperactif et pour tout te passionnes,
J’apprécie tout de toi, même ton franc-parler
Ces paroles à flots que tu fais déferler !
Notre complicité régnait depuis l’enfance,
Oh oui tu m’as gâtée ! J’avais beaucoup de chance !
De t’avoir pour frangin me met du baume au cœur
Je suis fière et ravie d’être « Didi », ta sœur !
A vous mes amis poètes !
Certains me rendent gaie et tant d’autres très triste
Mais, enfin ! Mon cœur vibre et j’attendais cela,
Grâce à ce site, à vous, mes chers amis artistes
Bien plus ric

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