Sur les traces apaisantes, merveilleuses et indéfinies d’une nature appelée amour…
106 pages
Français

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Sur les traces apaisantes, merveilleuses et indéfinies d’une nature appelée amour… , livre ebook

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Description

« Être plus sage et rester aussi déterminé, Dans mes choix de chemins de plus d’humanité, Dans ceux aussi d’artiste de mots et de musiques, Non caricaturé, nature et sans mimique ! Quelque temps, à présent, au mieux et sereinement, Je m’en vais faire une pause sans être différent... Sur la pointe des pieds, pour quelque temps de vie, Mes gestes, mes mots, mes chants... seront mes jours... seront mes nuits ! » Les nouveaux départs, les espoirs déçus, les virages de la vie, voulus ou subis... Voilà les voyages auxquels nous convie avec nostalgie, amertume ou élan d’espérances Ghuo-Zhing Tong, au fil d’une plume légère aujourd’hui libérée du passé, se penchant sur hier pour mieux aborder demain.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 14 mai 2012
Nombre de lectures 0
EAN13 9782748373899
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0056€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Sur les traces apaisantes, merveilleuses et indéfinies d’une nature appelée amour…
Albert Tong
Société des écrivains

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Société des écrivains
14, rue des Volontaires
75015 PARIS – France
Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55
Sur les traces apaisantes, merveilleuses et indéfinies d’une nature appelée amour…
 
 
 
 
Préface
 
 
 
C’est ici que le lecteur guette ce qu’un autre que lui-même a pu éprouver en lisant ce recueil que Tong Ghuo-Zhing nous propose aujourd’hui.
J’ai d’autant plus de facilité à me réjouir de ce nouveau recueil que j’ai suivi, à peu près depuis ma naissance, les échos poétiques de quelqu’un qui ressemble furieusement à mon père...
Pareil et différent, semblable et allégorique, Ghuo-Zhing parle d’amour et y pense souvent. Revenant à ce que d’antiques philosophes pensaient de la force qui pouvait autant unir que séparer, rassembler que partager, l’amour. Ah, l’amour briseur de membres, cette énergie si forte, si intense ! Ghuo-Zhing, à l’instar d’un grand nombre de poètes magnifiques et si essentiels, de tous les côtés du monde (mais surtout, il me semble, autour de la mer intérieure que les Romains avaient faite leur, la Méditerranée) parle d’amour, d’attraction mentale, d’attractivité intellectuelle, d’enrichissement spirituel.
Étonnant, non ? Car, précisément, Tong Ghuo-Zhing centre et focalise ses rimes et ses mots autour de la Méditerranée. Là s’exacerbent les expressions, s’intensifient les émotions, augmentent les passions.
Cette primauté du pourtour méditerranéen n’empêche nullement la sensibilité des origines, puisque Ghuo-Zhing évoque avec tendresse et piété la figure familière de son père, et, par lui, des racines chinoises qu’il est difficile d’ignorer. La Chine, intemporelle, se dégage dans sa nature, dans sa culture, dans son peuple.
Ce recueil est avant tout un merveilleux échange entre les cœurs, celui de l’auteur et le vôtre, celui du musicien des mots, du magicien du langage et de la forme poétique (passant sans difficulté d’un acrostiche à une ballade, d’un sonnet à un quatrain, de la poésie romantique à la poésie engagée) à son lecteur.
On excusera la surabondance de ponctuations, parce qu’après tout nous entendons la respiration, nous percevons le souffle poétique d’un homme de son temps, un homme qui vit sa poésie et poétise son existence.
Je ne vous avais pas dit que « préface » signifiait « avant la parole » ? Eh bien, qu’il parle, qu’il s’exprime. Lisons-le ou mieux : écoutons-le.
 
David Tong
 
…Humble préfacier et lecteur enthousiaste, et, accessoirement, licencié-agrégé en langues et littératures classiques à l'Université de Liège et actuellement professeur dans le secondaire.
 
 
 
 
 
 
 
Merci… À…
…ma mère, quatre-vingt-dix ans, encore en super forme…
…mon père, parti vers une autre vie… de m’avoir donné le jour ;
…ma petite sœur, Monique, qui est toujours là pour tant de choses… et à sa petite touche américaine… Tom ;
…Hélène, ma merveilleuse fille, de forts caractère et tempérament, Sébastien, mon deuxième fils, pour, lui aussi, son tempérament et la persévérance dont il fait preuve dans ses choix, et David, le premier de mes fils, qui a écrit une toute belle, vraie et juste préface, laquelle m’a beaucoup ému ;
…Pilou, mon petit frère, parti, lui aussi, pour une autre vie…
…Étienne, Marc et Émile-Louis ;
…ces amis de toujours, du côté de l’oncle Sam, Tom et Chris, Jerry, Rosie et leurs enfants, Steve, Sarah et Austin, Nat et leur famille ;
…ma belle Samia… pour toujours…
…la musique qui m’accompagne depuis mes premières bulles ;
…Éric Lemme, ses gazettes, son sourire, ses encouragements du matin… de même que…
…Valérie et Gauthier Demoulin, leurs charmantes employées… et leurs douceurs gustatives ;
…Muriel… ma sympathique coiffeuse ;
…les docteurs Alain Ledoux et Jean-Michel Selbert, ces médecins qui m’ont, chacun à leur manière, offert et remis en ordre mon meilleur trésor : ma santé ;
…Dominique Perin, Cris Raes, Myriam Vollmershausen, Françoise Beckers, mes amis bretons de Lancieux et de Saint-Cast-le-Guildo ;
…Édith et José… Marie-Noëlle et Ali ;
…Liliane, Claire et José de la Ligue Huntington ;
…Jack, Pat, Joseph… Viviane, Brigitte, Philippe et Kathy… et tous les amis de la chorale S(w)ing in Gospel Choir de Dottignies, mes soutiens artistiques ;
…Geneviève Costes, chez mon employeur, Sylvie Godefroid à la SABAM, Jefferson Yans, pour leur soutien journalistique, Didier Likeng et mes amis de Gospel for Life (au profit d’Action Damien), pour ces forces humaines et humanitaires partagées ;
…Claudette et Henri, Christian et Isabelle, Christian et Irène, Anne-Françoise, Amaya, Pierrive, Joëlle et Séba, Clémence et Fernand, Rita et Jean-Paul… leur présence positive dans ma vie ;
…le personnel de la Société des Écrivains, dont Clémence Bourdon, Céline Dhainaut, Marjolaine Schuch et Christophe Dobrinine ;
…celles et ceux qui ont toujours cru en moi.
 
 
 
 
J’ai fait des rêves
 
 
 
Passé de mon au-delà,
J’ai outrepassé ma route…
Traversé ma vie et bien au-delà,
J’ai vécu et beaucoup plus, sans doute !
 
Venez rêver avec moi…
Accompagnez-moi, et bien plus…
Tournez les talons, venez dormir sous mon toit…
Nous allons faire un grand voyage, et beaucoup plus !
 
 
 
 
J’ai marché
 
 
 
Sur des sols bien chauds de la Méditerranée,
J’ai marché en chantant, en riant, en aimant…
Sur quelques terres d’une bien-aimée,
Mon cœur, mon âme, mon esprit… j’ai posé !
 
J’ai marché sur les marches de mes âges,
Où j’ai vu tant de souffrances et de bonheurs…
J’ai choisi de marcher mon cœur plein, marche par marche…
Pour garder son plus beau jusqu’à la fin de mes heures !
 
 
 
Pour mon amour de là-bas
 
 
 
Si j’étais le temps, je lui offrirais le vent,
Si j’étais le jour, je lui offrirais mes heures,
Si j’étais la foi, je lui offrirais mes prières,
Si j’étais la Terre, je lui offrirais les mers,
Si j’étais le ciel, je lui offrirais mon soleil…
Si j’étais l’Amour… je lui offrirais tout !
 
 
 
Mon magnifique oiseau
 
 
 
Mon magnifique oiseau s’est éclipsé dans le ciel,
Me laissant à mes chants, et se remettant de douleurs
Qu’il a reçues en bas de son voisin de nid !
Fais ton temps, mon Ghuo-Zhing, regarde-toi et vois,
Les bêtises de ces jours où tu perdis la tête !
Ce magnifique oiseau a choisi l’abandon,
Cette magnifique lumière
Qui éclairait mes nuits,
Qui éclairait ma foi,
A repris ses couleurs d’avant la belle rencontre.
Mon bel oiseau est là,
Et moi je suis ici,
Nous pensons bien à nous,
Nous revoyons nos belles nuits !
Nous revoyons ces mille joies,
Qui furent les nôtres si fort !
Nous sentons ces battements,
De nos cœurs en chamade,
Lorsque nous attendions
De croiser nos regards !
Mon magnifique oiseau s’est éclipsé dans le ciel,
Se donnant à son cœur, encore si fort blessé !
J’ai péché bel oiseau,
Je t’ai fait bien du mal !
Te demander pardon,
Est-ce bien suffisant ?
Te dire tant mes regrets,
D’avoir attiré des foudres !
Je le ferais tant et tant !
Je voudrais revoir, pourtant,
Ton beau chant revenir !
Je voudrais que tu sois et tu restes près de mon cœur !
Je voudrais tant aussi voir revenir notre beau temps !
Où comme oiseaux de nuit, nous échangions nos bonheurs !
Où ta plus belle voix
M’offrait tant de bonheur !
Je pleure de ne plus te voir,
Je pleure de ne plus t’entendre,
Mes larmes coulent à flots,
Parce que ces harmonies
Que nous faisions ensemble,
S’en sont allées très loin,
S’en sont allées trop loin,
Pour encore bien te plaire et t’offrir de beaux mots !
Les regardes-tu encore ?
Sais-tu encore mon regard ?
Sais-tu encore mes yeux ?
Sais-tu comment je vis,
Ces douloureux moments ?
Je te sais très meurtri,
Bel oiseau du soleil !
Je te sais très pensant à ce que nous avons vécu !
Je te sais très pensant aux beaux jours tunisiens,
Où ensemble, dans notre ciel, nous volions d’ailes dorées !
Si tu reviens vers moi,
Je te promets du beau temps !
Si tu veux du bonheur,
Je t’en donnerai du grand !
Si ta pensée revenait vers la mienne,
Alors, mon bel oiseau,
Je rirais de bonheur,
Et toi tu recevras,
Mes plus beaux chants d’amour !
 
 
 
Bien peu de chose …
 
 
 
Qui sommes-nous, que sommes-nous,
Face aux arbres, face aux mers,
Face aussi aux montagnes de cette Terre,
Qui, chaque jour, reçoivent tant de durs coups ?
 
Que bien petits nous sommes, face à ces natures claires,
Qu’on regarde sans parler, sans un mot, sans souffler… ?
Qu’immenses sont-elles vraiment… ! Que beau, ce que vous vivez… !
Ô combien c’est sublime, ces montagnes, forêts et mers !
 
Respirons… grandissons, prenons bien soin de nous, comprenons !
Aimons-la, aimons-les, aimons-nous, aimons tout simplement,
Tout ce bonheur autour, qui a affronté tous les temps,
Tout ce qui vit autour de nous et anime nos passions !
 
Entre nous, nous sommes femmes, entre nous, nous sommes hommes,
Parmi tant de merveilles, parmi tant de grandeurs, même d’immensités,
Soyons humbles, soyons bien, soyons nous-mêmes et laissons-nous aller…
Face aux eaux, face aux monts, face à toutes les natures en somme !
 
Face aux ravages des arbres,
Face aux nauséabonds salissements de nos mers,
Face à nos futures mères, face à nos futurs pères,
Redevenons humains, arrêtons enfin nos palabres !
 
Agir face à l’immense, qui nous fait tant respirer,
Agir ici, m

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