Textes à rimes

Bessac Ou la Libre Pensée

Description

Ce recueil est composé de nouvelles sur des faits d'actualité ou d'antan, textes d'un écorché, certains sous forme de chansons. Les voyages de l'auteur, sa situation professionnelle lui ont permis de découvrir la vie parisienne ainsi que certains pays comme le Maroc, l'Irlande et ses pays voisins.

Le poète a ressenti le besoin de raconter tout cela dans différents poèmes, parfois rythmés sur un ton de colère et quelques fois fois plus joviaux.

L'auteur souhaite au lecteur beaucoup de plaisir dans la lecture de ce livre...

Sujets

• Maroc
• Littérature
• Poésie
• Poetry

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 06 mars 2020
• Nombre de lectures: 2
• EAN13: 9782414439430
• Langue: Français

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
194 avenue du président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : [phone] – Fax : [phone]
Mail : [e-mail]
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-43931-7

© Edilivre, 2020
Texte sur une photo d’Emma Decaunes
Ah ce sacré Groucho
Il en marque des points solos
Il fallut qu’il aimâ la vie
Eh tu crois que des cônes il en fumait aussi
Texte sur une photo d’Emma DeCaunes
Oh quelle ardeur dans vos regards
Tant les visages sont souriants
Aurais-je les mots s’appropriant
Sur ce sentiment un peu bizarre
Devant cette vitre carreautée
Nous apparaît tout en beauté
Deux belles starlettes bien naturelles
Cherchant à savoir ce que l’on pense d’elles
Sur ce je vous laisse méditer
Quel est le fond de ma pensée
Texte sur une photo d’Emma DeCaunes
Hey you Come with me
Do you like the sea
I know this City it’s so well
It’s good for a little travel
You’re a thrilling girl
I love yours posts and you beautiful girl.
Texte sur une photo d’Emma Decaunes
Sous la blondeur de tes cheveux
Deux doigts bien bagués
Les lunettes noires sur les yeux
Quel est ton souhait
Assise dans ta voiture
Tu as cette belle allure
Le rouge sur tes lèvres
Est-ce que ça me rassure
Ou bien cela m’en fièvre
J’aimerais poser mes doigts sur tes joues
Et effleurer ta peau tendrement dans le cou
Déposer un baisser sur ton front
Puis descendre doucement jusqu’à ce que tu me dises non
Donne-moi cette envie d’arrêter mes délires
Ta douceur m’ensorcelle
Me pousse à te décrire
Excuse si je te harcèle
Mais voilà tu m’inspires
Maintenant j’arrête d’écrire.
Textes sur une photo de Jennifer Ayache
Sur le rebord de la fenêtre
Tu roules une cigarette
Un petit regard vers l’appareil
Voilà ton étonnement qui s’éveille
Cette expression sur ton visage
Dis qu’est-ce-que tu envisages
Encore une photo réussie
Simplicité beauté te voici
Textes sur une photo de Jennifer Ayache
Tu es là sur cette plage
Regardant ton portable
Ton ombre s’étend sur le sable
Une voile qui vole au large
Une photo noire et blanc
Pour exprimer un sentiment
Un temps morose
Et tu t’exposes
Textes sur une photo de Jennifer Ayache
Les cheveux courts te vont à merveille
Les cheveux longs comme un doux soleil
Peu importe la coupe, la couleur
Te voir colorée, aussi ta blancheur
Blanche et noire cette photo
Comme la couleur de ta peau
Et ta tête inclinée
Comme ça sur le côté
Rêveuse ou pensive
Mais surtout expressive
On découvre la passion
La passion cette drôle de sensation
Sensé pour te décrire
Décrire toute la beauté de ton visage
Une merveille apparaît
Je le vois sur tes traits
La douceur dans tes yeux
Laisse-moi te découvrir un peu
Quel est ce sentiment
Qui est dans ce silence
Est-ce que c’est le piment
Qui te rend si intense.
Texte sur une photo de Renaud Séchan
Sur ton tee-shirt il y a une Harley
Sans doute celle dont tu rêvais
Celle de ton slam, ton poème
Bien oui de peau aime
Tu parlais de tes dessins
Maintenant tu en as quelques-uns
Et on n’voit pas la tête du Gavroche
Ça doit être un signe
Le titi n’était pas une cloche
Et quand bien même
Il était digne
Pour se remplir les poches
Tu es revenu nous dire ces mots
Aussi nous parler de tes maux
Et de ceux de ce monde
Qui nous fait un peu honte
Tu as mis du temps à remonter
Mais maintenant tu peux prouver
Faire voir ce que tu vaux
Et nous dire que ce monde est beau
Même si parfois on ne va pas bien
Se lamenter ne sert à rien
Continue à nous faire rêver
Rêver mais en disant tes pensées
Penser sur cette triste réalité
Réaliser ce beau projet
Pour continuer tout en musique
Avec tes histoires mystiques
Texte sur une photo de Lou Doillon
Moitié française
Moitié anglaise
Avec ta bouille frisée
Et tes yeux écarquillés
Qu’elle ressemblance dans ta famille
Tous avec ce petit air de votre mère
Vous donnez cette impression tranquille
Avec votre accent comme des étrangères
Tes cheveux longs bouclés et blonds
Caressent tes joues jusqu’au menton
Poursuivent leurs chemins dans ton cou
Puis ils descendent sur ton polo
En longeant les bretelles de ta salopette
Alors que la photo s’arrête
Avec tes yeux verts c’est si beau
That is how i see you
Pour reprendre le titre d’une chanson
Je vais le faire façon british
I just take your title of love song
Tu vois ma langue n’est pas très riche
Pour exprimer ce que je pense de toi
Façon Gainsbourg ou bien ton père
Tu vois je ne peux pas le faire
Toute cette richesse dans leurs mots
Pour exprimer tous leurs émois
Alors je préfère me taire
Que d’exprimer mes émotions
Sur ta silhouette je suis vénère
Et me pose tellement de questions
Les questions que je laisse en suspens
Les questions qui viendront en temps
Le temps de prendre conscience
Cette conscience de ton insouciance.
Texte sur une photo d’Emma Decaunes
Une passionnante muse
Sous le soleil est détendue
Alors que son bronzage se dessine
Sur sa peau la chaleur on le devine
Viens réchauffer ce corps nu
À la piscine loin des méduses
Tu sembles paisible, écoute la musique
Rien n’est nuisible, mais quel physique
Quelques vacances pour s’évader
Pour changer d’air et bien divaguer
Tu prends un verre, une cigarette
Tu laisses faire, à l’aveuglette
M’entraînes à divaguer
À mon tour
M’entraînes à te scruter
Sur tes contours
Sur ta belle féminité
Et ta tendre intimité
Un peu de paille sur une jolie brune
Ou que tu ailles, je prends ma plume
Pour satisfaire tes envies
Je te suis dans cette folie
Amante virtuelle ou éternelle
Éternellement virtuelle
Mais le visuel de tes prunelles
Qui n’est plus une jouvencelle
Mais une femme très attirante
Me donne des idées étonnantes
L’envie d’écrire devient plaisir
Le plaisir peut-il être partagé
Partagé je ne le saurais jamais
Jamais tu ne pourras connaître
Jamais tu ne pourras paraître
Devant mes yeux éberlués
Devant mes yeux étonnés.
Texte sur évenement Charlie Hebdo
Supprimer les armes
Un peu d’État d’âme
Vaincre avec de l’art
N’a rien de bizarre
Que vienne la victoire
Que vienne la gloire
Histoire de Tatouage
Sur le bras droit un p’tit Gavroche
Pain dans la bouche,
Main dans sa poche
Marche tranquillement
Guitare sous l’bras
Il jouait sobrement,
Pas loin d’la rue d’bras
C’était son gagne-pain,
Fallait bien manger
Plutôt que mendier,
Lui n’faisait pas l’larcin
Non y jouait ses morceaux
Pas loin d’la place
La place où y savait qu’y avait du gratin
L’gratin l’beau monde quoi
Il y f’sait son beurre,
C’était un malin
Et pour les frangins,
C’était l’bonheur
C’est tellement facile parfois
De garder son honneur,
Le chanter sous les toits
Les toits lui ne connait pas,
Pas de toit, pas de maison
Texte pour Renaud Séchan
Tonton laisse pas béton je t’en refais une petite spéciale pour toi qui est pour la censure de personne, toi qui veut empêcher de parler (je parle d’une personne qui a écrit un commentaire sur une page facebook sur Renaud)…
Hey les p’tits ringards,
S’il vous plait restez au plumard,
Si c’est pour nous censurer,
Tu as choisi le mauvais côté,
Dois tu poser la question,
Ou doit-on te donner des explications,
J’ai bien peur de perdre mon temps,
Mon pote Renaud si tu m’entends,
Fais ce qu’il faut tout en chantant,
Contre ce genre de charlatans
Texte Célibataire
Eh mec célibataire
Fais gaffe à n’pas rester sans elle
Trop longtemps sur cette terre
Sinon on te prend pour un homosexuel
Voilà la pensée d’la nouvelle société
Si tu vis seul eh bien t’es gay
Enfin fait c’qui te plait
Eh mec célibataire
Moi j’ai choisi mon coté
Les femmes et leurs sensualités
C’est toujours ce qui m’a intéressé
C’est con c’que vous ratez
Ces dernières bien sûre citées
Enfin fait c’qui te plait
Eh mec célibataire
Ne te laisse pas entrainer dans cette guerre
Profite de cette vie de solitaire
ça durera plus ou moins longtemps
Dans la vie il faut être patient
Et respecter les différences
ça fait partie de notre conscience
Enfin fait c’qui te plait
Eh mec célibataire
Le principal est de vivre sa vie
Sans jamais rien regretter
Si un jour elle te cause des soucis
Le lendemain elle t’aide à les surmonter
Alors je n’ai qu’une chose à te dire
Enfin fait c’qui te plait
Chanson pour Cathy
Cathy mon envie
Qu’est-ce-qui m’a pris
Ce jour d’ennui
J’me suis surpris
Quand j’t’ai écrit
Ces morceaux d’ma vie
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
J’avais pensé
Que c’était vrai
Que sur l’PC
ça pouvait marcher
Mauvaise journée
J’en suis navré
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
Ah oui le net
Vraiment pas net
Et pour la fête
C’est une défaite
Un gros casse-tête
Une grosse branlette
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
Moi j’ai testé
J’me suis raté
Bien fracassé
Colonne brisée
J’m’en suis allé
Sans m’retourner
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
Pour t’oublier
J’ai essayé
Une femme séparée
Ludivine s’est cassée
ça n’pouvait marcher
Mes pensées tu habitais
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
J’me suis dit
Seul je vais avancer
Ma philosophie
J’peux y arriver
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
J’ai tout compris
C’était écrit
Ce qu’on me fit
M’a rétablie
Et je revis
C’est ça la vie
Oh oui c’est ma vie
Moi je revis
Chanson Jeune Femme
REFRAIN
Jeune femme s’en est allée
Mais que s’est-il passé
Encore un couple défait
Oh l’bon dieu qu’est-ce-que tu fais
COUPLET
A toi je m’étais habitué
On s’rencontrait
On s’saluait
Eh bien souvent tu souriais
Et quand j’voyais
Ce visage enjoué
Bin moi ça m’plaisait
E ça faisait déjà
Bien des années
Que tout cela durait
REFRAIN
COUPLET
De ce départ précipité
Je fus très surpris
D’voir les volets fermés
Une maison sans vie
Le chat sur l’pallier
Depuis qu’vous êtes partis
Tu as décidé d’t’e