Traces du passé

Hervé Bonhomme

Description

Amour Absolu

Je compose ce poème

Pour écrire tes émois

En écho de ta peau

De ton souffle si chaud.

J'effleure tes désirs

Avide de ta chair.

Je voudrais peindre, sentir,

Le contour de tes lèvres

Pour m'unir avec toi.

Amour, ma déraison,

Nos âmes se sont connues

Dans l'amour absolu.

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 10 décembre 2020
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414510405
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-51041-2

© Edilivre, 2021
Ta peau
Je souffle sur ta peau,
Tu frissonnes.
J’effleure ton épiderme,
Tu sursautes.
Ton corps se cabre de plaisir.
Ma main devient coquine.
Tu te laisses apprivoiser.
Cris d’amour sur ta chair
Et rêves purs intacts.
Moment sacré, union
Des deux corps dans l’amour
Chair collée contre chair.
Ton parfum
J’aime sentir ton parfum
Lorsque sur ton épaule
Ma tête se repose.
Tes cheveux sont mêlés
D’odeur de cigarette
D’effluve de parfum.
Ta peau est imprégnée
Des sucs sucrés et chauds.
Un baiser, un adieu,
Je caresse tes cheveux.
Je ferme maintenant mes yeux
Pour m’infiltrer en toi.
Ton corps
Je touche tendrement
Les lignes de ta peau,
Des lignes droites et courbes
Avec le bout de mes doigts.
Tes paupières se ferment
Et ton corps se replie
Pour jouer de mon attaque.
Je respire ton souffle.
Ma bouche sur ton cou
Fait frémir toute ta chair.
Je me glisse dans tes bras
Nos deux corps sont brûlants.
Acte d’amour
Ta peau embaume l’amour
Et mon corps nu, s’embrase.
Mon corps entraine ton corps
Dans un torrent de désir.
Mon corps glisse sur ta peau,
Je caresse ta chair.
Tes doigts effleurent mes fesses
Pour me glisser en toi
Dans l’écume de l’amour.
Du torrent impétueux,
L’amour entraine nos corps
Pour faire battre nos cœurs.
Crainte d’amour
Ton amour éclaire toute ma vie
Tu es l’éclat de toutes mes nuits.
Mais, parfois j’ai peur de te perdre,
Que notre amour perde son éclat.
Me retrouver seul dans le noir.
Tu baignes mon cœur de cette chaleur
Brûlante, qui coule dans tes veines.
Mon corps s’embrasse dans ta passion.
Nos nuits
Je tisse sur ton corps,
Les voiles de la nuit.
Je brode nos sentiments
Dans ta peur de solitude.
Dans chacune de nos nuits
S’enchainent les baisers
Aussi brûlants, intenses,
Comme le premier amour.
L’amour éclaire nos nuits,
Des nuits interminables
Sous l’étreinte de la lune
Découvrant nos corps noués.
Plaisir intime
Je goutte le plaisir
Sur tes lèvres intimes,
Un goût amer, salé,
Qui s’écoule lentement.
J’aspire avec ma bouche
Les gouttes de l’amour
Avant qu’elles ne s’oublient
Dans les draps blancs froissés.
Ton corps s’est emporté,
Dressé par le plaisir
De ma langue coquine.
J’oscille entre tes jambes.
Ta présence
Tu vis dans mes rêves
Et tu es dans ma vie
Ton souffle est comme le vent,
Léger comme une brise.
Pourtant, toutes les nuits
Tu te blottis dans mes bras.
Je retrouve ta passion,
Ton désir dans tes yeux.
Je partage ta chair
Éclairs de sensations,
Ivre de ton regard
Lorsque ta peau scintille.
Tes mains
J’aime tes mains sur ma chair
Quand tu caresses ma peau,
Tes baisers sur ma bouche,
Tes caresses dans mes cheveux.
J’aime l’arôme de ta peau,
J’aime te faire frissonner
T’entendre soupirer.
J’aime sentir tout ton corps,
Un volcan en action,
L’éclair dans la tempête
Pour suivre tes fantasmes.
J’aime mes nuits avec toi.
Caresse charnelle
Chaque caresse charnelle
Me provoque des frissons.
Je me mets en action.
Nos deux corps tout en sueur
Rouleront sur les draps
Pendant que nos deux cœurs
Seront à bout de souffle.
Mes doigts touchent ta chair,
Et tes deux seins gonflés
Attendent mes baisers.
Symphonie enivrante,
Ton nectar désaltère.
Cric, craque, croque
L’amour à pleine dent,
Tu croques toute la vie
Et tu craques pour lui.
Qu’attends-tu maintenant ?
L’amour à pleine dent
C’est fini maintenant
Tu as abusé de la vie
Aujourd’hui, c’est fini
L’amour à pleine dent,
Édenté de la vie
Cric, crac, croc, oui je croque
Mon corps est tout en vrac.
Ton corps
Ton corps est comme l’argile
Fissuré et fragile
Tu n’es pas une mauviette
Mais, ton corps est en miette.
Oui, tes vers resteront
Et tous les cieux sauront
Disperser toutes tes œuvres
Par une brise tendre ?
Et tes mots perceront
Comme une lame de fond
Qui se brise sur les rochers
Pour toute l’éternité.
Mon vers
Mon vers repeint les âmes
Et forge un idéal
De vie et d’amour tendre
Pour faire un chant austral
Ou peut-être boréal,
Tout dépend de l’envie
De voir certains pays,
D’admirer d’autres lieux
Pour sentir les couleurs
Définir les contours
Effet de chromatique,
Idéal, idyllique.