Tu m as fait revivre
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Description

Pour vous toutes et tous, de tous âges, de tous lieux, de toutes confessions... J’ai toujours cru en l’amour, le vrai, le pur, le désintéressé... Celui en lequel j’ai trouvé Dieu, grâce à cet amour... Mon grand-amour, celle qui m’a permis de croire à nouveau en l’humanité et en moi. Si je vis maintenant c’est grâce à elle et pour elle. Elle est la douceur, la simplicité, la gentillesse incarnées et c’est elle qui m’a donné à nouveau le goût d’écrire. Elle est belle comme une rose épanouie. Comme un soleil se levant sur la mer à l’horizon... Je l’aime tout simplement. Comme elle m’aime... Pour elle, j’ai écrit un poème où je lui explique, que je ne lui dirai plus jamais « je t’aime » mais « je t’... » car je l’ai fait pleurer une fois. J’essayerai à la place... de le lui prouver chaque jour !

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 03 juillet 2018
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414254927
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-25493-4

© Edilivre, 2018
Dédicace


Pour Libellule
Ta bouche et tes quenottes
Ta bouche est une fleur, que j’aime à embrasser…
Elle est fine et câline à la mienne empressée.
C’est un bouquet de roses aux fragrances exhalées,
Et ne me lasserais de tant la butiner.
Je suis telle une abeille à puiser son nectar,
Me posant doucement avec délicatesse…
Comme la libellule avec son nénuphar,
Se posant lentement, ô la belle prouesse…
Parfois je la mordille et puis parfois l’effleure,
Ne sachant jamais bien, comment il faudrait faire,
Afin que je la garde au gré de toutes heures,
Pour mieux conserver, son étrange mystère.
Et, parfois je découvre, lorsque tu souris,
Tes si blanches quenottes à mes dents assoiffées.
Illuminant l’endroit, où elles sont serties…
Je voudrais les mordre, sans les faire casser,
Tant je t’aime à crever, de par ta bouche aimée.
Elle est si délicate à mes lèvres mutines,
Que j’en rêve la nuit, t’envoyant des baisers,
Que tu reçois en rêve au réveil qui tontine…
Que j’aime sa couleur, ce rouge vermillon,
Sans aucun artifice et pourtant tant de grâce.
Que je sois libellule, où bien le papillon,
Ta bouche mon amour, jamais rien ne l’efface…
Tout l’ivoire du monde incrusté au-dedans,
Ne vaudra jamais plus que ces dents de guingois…
Je ne l’avais pas vu, mais je sais maintenant,
Que ne voudrais changer, pour une autre que toi…
Et, en parlant de vue, il faut que je te dise,
En changeant de sujet, que je n’ai découvert,
Qu’aujourd’hui mon amour, à droite sur ta cuisse,
Caché à l’intérieur, vers ton sexe entrouvert,
Ce doux grain de beauté qui me fait dire encore,
Que, je te dis t’aimer et ne fais attention,
A ces petits détails, tous issus de ton corps,
Comme ta bouche aimée, ils sont mon horizon…
Tu avais mal
Amour, tu avais mal. Mais tu ne disais rien…
Et, moi cet ignorant, j’essayais de t’étreindre.
Tu disais des je t’aime, et là j’étais si bien,
Faisant bien attention, à ton plaisir atteindre…
Tout au fond de ton ventre, allant et puis venant,
Doucement gémissais, ardent à tes caresses…
L’instant était sublime, abolissant le temps,
Je n’attendais qu’un mot… Que tu me dises, Cesse…
Surmontant ta douleur, tant tu voulais m’aimer,
Je voyais ton visage, avec les traits tirés…
Et, là, perclus d’angoisse, en ton intimité,
Tu m’as dit… Ça me brûle… Et c’était terminé…
Tu avais trop souffert, à vouloir me prouver,
Combien tu peux m’aimer, en allant par-delà,
Ce long martyr en toi, essayant d’essayer…
Pardon à toi chérie, à cet épieu de bois…
Je suis si égoïste, à me vouloir t’aimer,
Qu’aujourd’hui mon aimée, en ton corps douloureux,
Cette sève abondante à tes doigts s’écouler,
Doucement s’est tarie, entre tes douces mains…
Je me voudrais pommade, afin de te guérir.
...

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