Résonances positives
176 pages
Français

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Résonances positives , livre ebook

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Description

Ce recueil exprime les états d’âme de tout être sensible ; en passant par des joies, des détresses, des rêves, des naissances, des histoires vécues.


Il est parsemé de Moikus et de citations, qui sont des sujets à méditer.


L’auteur avance au gré de sa plume, qui cherche et bitume parmi les roses sans épines, celles qui sont les plus fines, dans le jardin exotique des mots pour calmer certains maux, avec les couleurs de l’arc en ciel, il écrit des vers sans pareil.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 20 septembre 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414373055
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
 
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-414-37326-0
 
© Edilivre, 2019
Dédicace
Je dédie ce modeste recueil à la mémoire de mes parents, qu’ils reposent en paix.
A mes enfants, à mes petites filles adorées et à tous ceux qui avaient cru en moi.
Préface
Ce recueil modeste regroupe mes réflexions à méditer, quelques poèmes et quelques histoires que j’ai vécues ou qui m’avaient été racontées, et dont le thème m’avait beaucoup marqué.
J’espère qu’il procurerait autant d’amour et de joie autour de vous qu’ils m’en avaient procurés
Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le.
L’audace a du génie, du pouvoir et de la magie.
Goethe
Avant-propos J’ai tant de choses à dire
J’ai tant de choses á dire
Que seule ma plume peut transcrire
Un cahier et un crayon font des miracles
Écrire des idées libres sans obstacles
J’ai tant de choses à raconter
Que seul mon carnet peut affréter
Rêver éveillé est une fatalité
Et personne n’est censé échapper
Je me sens déjà emportée
Et par une magie transportée
Je crains de ne pas avoir le talent
D’écrire comme les grands
J’ai peu de confiance en moi
Lorsque je relis mes émois
Dans toutes mes écritures
On trouve la trace de mes lectures
Je me sens emportée
Comme si on me les dictait
Ce qui est obscur en moi
Me crée un désarroi
Pour élucider ce mystère
Et être arbitraire
J’ai laissé au hasard le laisser faire
Et j’ai entamé cette galère
Celle d’écrire des vers
qui me sont très chers
L’écriture
Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part et qu’il y reste.
A. Galvada
L’écriture est un reflet intègre de ce qui gît au fond de notre être, de notre pensée et qui met en lumière les parties les plus enfouies de notre subconscient. C’est un processus qui fait appel à la mémoire et au réveil des sens. C’est un vrai pèlerinage dans notre pensée. L’impact et le reflet de tout ce qui nous entoure, de tout ce que nous avons vécu se répercute automatiquement sur nos écrits.
L’écriture nous permet l’évasion du monde réel et en même temps la continuité et la poursuite de notre but qui n’est autre qu’un défi.
La concordance entre le gestuel et le virtuel se fait machinalement comme par un fil conducteur invisible. La pensée trouve vite son chemin et va se loger par le biais des mains sur des surfaces planes, il suffit seulement de la guider et de lui montrer le chemin.
Écrire est tout un art. Utiliser des caractères communs de l’alphabet pour communiquer et toucher les sentiments et les sens relève d’un savoir faire indicible. On dit que « ce qui sort du cœur va directement au cœur »
En écrivant, notre pensée s’organise, et on commence à méditer sur ce qui se passe autour de nous. La méditation nous rapproche de Dieu et de notre prochain.
Écrire, comme si notre mission était de soigner des douleurs, de réaliser des rêves et de faire évader des esprits comprimés alors que « charité ordonnée commence par soi-même » Notre âme ressent le bien être avant les lecteurs. Ces mots choisis avec soin exercent d’abord sur nous un effet placebo qui nous extasie, et nous comble de bonheur.
C’est une thérapie qui fait restituer des espoirs perdus, car les mots exercent sur nous toutes sortes de pouvoirs, et surtout les positifs.
A méditer
L’espoir est une bougie qui éclaire les êtres
Et illumine les chemins en train de naître
Il remplit nos vies de magie
Et fait nourrir les nostalgies
C’est la promesse d’une fée en veille
Qui promet que demain sera une merveille
Il ouvre les portes du bonheur et des promesses
Et nous enveloppe de ses douces caresses.
Afin d’enterrer mes peines et chagrins
J’ai retranché des images vaines
Je les ai écartés comme des mirages
Pour oublier et abolir leur image
Notre esprit a besoin de formatage
De certaines idées noirs et de leur lynchage
Remettre les pendules à zéro
Est vraiment un acte d’héros
Lorsque l’écriture d’un poète atteint nos cœurs
Et crée en nous une certaine inertie
C’est qu’elle est pleine de caresses et de douceurs
Et que les mots sont choisis avec diplomatie
La photo tant convoitée
Envoyez moi des photos, je voudrais voir des photos récentes, vos photos de voyage… Vous me manquez tellement !
Une photo représente le présent et le passé, jamais le futur. Elle est déjà localisée dans un laps de temps déterminé et dans un contexte figé.
Elle incarne plusieurs souvenirs vécus et plaqués sur papier photo ou visionnés sur un écran de téléphone. Elle est toi, et non toi. C’est par notre imagination qu’on essaie de la compléter et l’interpréter.
Elle comporte un sourire figé ou une moue suivant les circonstances de la pose. Cet instant est déterminé en un clin d’œil ou en un clic de l’appareil.
Elle n’assouvit pas les passions, on a beau l’embrasser, elle ne réagit pas, mais on le fait quand même espérant ressentir une émotion.
Tu me regardes à travers elle, mais je ne te vois pas, toi non plus.
L’oublier, l’ignorer non, elle s’est vite ancrée dans nos souvenirs et elle prend place pour y somnoler. Somnolence adorée. Je voudrais la faire parler, mais hélas, les choses inertes ne réagissent pas.
Elle n’était qu’une photo. Qu’elle soit prise à Londres, à Disney ou à Dallas, elle me sublime. La voir et la revoir était ma volupté. Il suffisait d’ouvrir l’écran de l’IPhone pour l’accaparer.
Elle est ma fascination, et mon allégresse.
J’aimerais bien qu’elle vibre et qu’elle bouge comme dans les dessins animés pour que je puisse vous enlacer et vous étreindre.
Voilà une photo transcrite pour exprimer mes émotions les plus sincères aux êtres les plus chères qui sont dans mon cœur et qui sont loin de mes yeux !
Je réclamerais toujours de nouvelles photos car les voir et les revoir réveille ma mémoire et enrichit mon répertoire.
La femme
La femme doit être fêtée tous les jours de l’année
Car sans elle aucun homme ne sera né
Célébrer sa fête un seul jour ce n’est pas assez
Car elle donne en permanence sans se lasser
Le mois de mars doit être consacré à la femme
De laquelle toutes les émotions émanent
Elle est le rêve, les passions et la vie qu’elle entame
Elle est la source de continuité sur terre : elle est la FEMME
 
 
Créer c’est vivre deux fois
A. Camus
L’enfant dans sa mère
Sa mère dans les douleurs
J. Prévert
Porter la vie en soi est un grand défi.
Moi je dirais que la vie d’un enfant dépend de la vie de sa mère. Sa survie est dans son flanc, en elle. La vie de ce petit être n’est complète que grâce à sa porteuse. Le fœtus ne s’épanouit que dans la souffrance de sa mère. “La vie dans les douleurs”.
Dès les premiers jours de la conception, toute la vie d’une mère est chamboulée de fond en comble. Le flot intense d’hormones qu’elle reçoit en abondance, déforme ses envies, ses sensations, et ses humeurs. Il provoque aussi des phobies et du stress.
La pauvre maman ne savoure plus aucun instant de la vie. Elle ne vit plus qu’au dépend de celui qu’elle porte en elle. Elle se sent responsable de lui. Les premiers mois d’un cycle long de neuf mois ne sont qu’un prélude à ce qu’elle va endurer par la suite.
Au quatrième mois, le ventre de la maman s’emplit, s’élargit, s’étire dans tous les sens.
Les coups du petit hôte commencent à se sentir. Il s’étire lui aussi, en prenant toute son aise. C’est son domaine propre à lui, légué par sa mère comme propriété privée.
L’estomac de la mère se rétrécit, et elle souffre en permanence d’acidité et d’aigreurs. La vessie est étirée à chaque mouvement de sa rotation. Il fait aussi des pirouettes, il est heureux de jouer, il peut même avoir le hoquet.
Ces mouvements du petit fœtus dans le ventre de sa mère n’étaient que du bonheur pour le père lorsqu’il y mettait la main sur le ventre enflé et qu’il sentait son bout de choux en train de bouger.
Rien qu’à la voir marcher pour se déplacer on éprouve de la compassion et de l’amour pour cette mère qui porte la vie d’un autre être vivant en elle. C’est le plus grand altruisme qui puisse exister sur terre. Tous les mouvements de la mère sont calculés en fonction de ce qu’elle porte. Elle ne vit plus pour elle.
L’attente de la délivrance se fait longue.
C’est la période pendant laquelle on compte les mois, les semaines, les jours, et les heures avec minutie.
Le sommeil de la femme enceinte devient un supplice, son ventre pèse au moins une douzaine de kilos en plus. Son ventre s’étire dans tous les sens possibles. Tout cela n’est-il pas un exploit que seule la femme peut endurer ?
Le grand jour serait le jour de la délivrance et de : « La vie dans un cri
Et l’enfant dans la vie » J. Prévert
Ces deux êtres vont faire connaissance pour la première fois. Un commencement d’amour et de bonheur. Dès son accouchement, sa première phrase est : “Montrez moi mon bébé”. L’amour intense s’est tissé dans les souffrances, et le bonheur était dans l’attente.
La maman oublie toutes ses peines et ne vit que pour ce petit être qui a envie de lui sucer le sein. Instinctivement, elle veut encore lui céder son corps, “ses seins” pour entretenir la liaison avec lui. Le cordon affectif n’est pas coupé. C’est une partie d’elle même ; c’est son rêve, sa continuité.
Il peut la faire souffrir c’est sûr, mais pour elle ce n’est que du bonheur de donner la vie et l’assumer !
Ils sont mêlés l’un à l’autre pour la vie et l’émerveillement est dans leurs regards réciproques.
L’affection est à son paroxysme, et c’est un enchantement et une admiration qui auront une continuité jusqu’à l’infini.
Autour du frère unique Poème pour soutenir l’U.M.A
Nous sommes quatre sœurs et frère réunis
Et nous formons le Maghreb uni
Nous nous aimons comme frère et sœur
Car nous portons les mêmes ardeurs
Nous avon

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