Michel-Rémi Lafond La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit Didier, dont la jeunesse est un gage d'avenir radieux, voit s'effriter une vie à peine entamée. Que s'est-il passé ? De toute évidence, cet homme affable et amant de l'amour nage en eaux troubles, tant sur le plan professionnel que personnel. Rodolphe, vieux célibataire incorrigible, vogue sur une existence étale faite d'amitiés profondes, de méditations entre les livres et les oeuvres d'art, ses nourritures spirituelles dont il ne saurait se passer. Toutefois, Rodolphe possède ses zones d'ombre. Didier, le don Juan musicien rockeur, et Rodolphe, le vieil écrivain imprégné de modernité, ne devaient pas se rencontrer, tellement leurs mondes se distinguent. Pourtant, le hasard les réunit contre toute attente. Qu'est-ce qui peut bien les attirer ainsi ? A quel type de séduction jouent-ils ? Didier et Rodolphe écrivent un journal intime. C'est ce que propose La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit sur un fond de vengeance, de rapports de classe, de souffrances devant la mort, de voyages intérieurs dans des espaces en Europe et en Amérique. Michel-Rémi Lafond est romancier, poète, nouvelliste et essayiste. Il détient un doctorat en philosophie. Il collabore régulièrement à la revue Liaison. Grand voyageur, il parcourt le monde à la rencontre des humains et des cultures. La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit est son dixième livre. Les Editions L'Interligne, 2017 978-2-89699-515-8
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Extrait
a umîère de ’été n’écaîre pas toujours ce que ’on croît
Du même auteur
Chez le même éditeur Beaux et bêtes. Portraîts en bestîaîre, ôûvÉÉŝ, çô. « VÉÉŝ », 2015, 160 . Le estîn gauque. Essaî d’autobîographîe eînte, ôà, çô. « VÉÉŝ », 2003, 150 .
L’écrîvaîn a besoîn de beaucoup voyager pour connaïtre es ressources de a terre. Maîs î aut ensuîte que es îmages se ondent et se îquéient comme un mîe extraît de leurs înnombrabes. Seus es ééments du souvenîr sont un aîment pour ’esprît. Eŝ JüÉJardîns et routes Pages de journa 1939-1940
Pour Louîse Bouay, Héène Bouay, Jean Grave et Mathîeu Béanger, ma amîe putatîve.