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Description
Sujets
Informations
Publié par | Le Lys Bleu Éditions |
Date de parution | 21 mai 2019 |
Nombre de lectures | 3 |
EAN13 | 9782851135056 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0000€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Bruno Benattar
Cecily
Roman
© Lys Bleu Éditions – Bruno Benattar
ISBN : 978-2-85113-505-6
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayant cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivant du Code de la propriété intellectuelle.
L’auteur
Bruno BENATTAR est né en 1951 à Alger qu’il quitte à l’âge de deux ans. Ses parents s’installent à Nancy. Là, il poursuit des études de sciences économiques et de sociologie. Fortement influencé par les mouvements sociaux de mai 1968, il milite activement dans des mouvements pacifistes, non marxistes et non violents tout en s’initiant aux arts martiaux, qu’il pratique encore aujourd’hui.
Refusant de s’intégrer immédiatement dans la vie professionnelle, il voyage et visite le monde. Ainsi, il exerce les métiers de moniteur de voile et de plongée bouteille à l’étranger.
Puis, pendant près de trente ans, il travaille comme consultant en droit social, après avoir repris des études de droit. Il publie de nombreux articles et ouvrages spécialisés dans le domaine du droit du travail, notamment.
Aujourd’hui à la retraite, après s’être partagé entre l’Italie et Nice, il réside dans le Vaucluse. Ses activités ne l’ont jamais empêché, outre les voyages à travers le monde, la littérature d’Extrême-Orient, l’apprentissage des massages, de continuer à plonger et à naviguer, sans oublier les arts martiaux.
Du même auteur
Déjà parus
— Brandir la vague (éditions BOD). Déjà parus dans la série « Les chroniques de Pekigniane » :
— Cecily : l’Hermabun, suivi du Guide du voyageur à Pekigniane (éditions Le Lys Bleu).
— Guide du voyageur à Pekigniane et au Château-lumière (édition BOD).
— Jézabel : La chute du Château-lumière (ESA Éditions).
— Seth, le Bobun : Sur l’état de divinité et le militantisme syndical (ESA Éditions).
— Bumberry, l’Archibun. : Le récit d’une sombre crapule qui se croyait sympathique (Éditions du net).
— Lidji, Celle qui a renoncé : De l’initiation gomorrhéenne au refus de l’immortalité (Le lys Bleu).
— Lilith, la Maudite : L’immortalité contée, le temps d’un battement de cils (Le lys Bleu).
À paraître dans la série « Les chroniques de Pekigniane » :
— Lynn Carter : Les carnets secrets, d’une ethnologue, menant à la destruction du monde.
— Asylie et Baia : Les goules pirates.
L’ensemble de ces ouvrages sont disponibles, en format papier ou électronique, sur les sites Le Lys Bleu , Les Editions du Net , ESA édition , FNAC , AMAZON et BOD
Rejoignez l’auteur, pour vous tenir au courant des dernières publications, sur FACEBOOK :
— « Pekigniane Benattar » ;
— Et sur le groupe « « Pekigniane ».
Avertissement
Toute ressemblance avec des personnes, des événements ayant existé, existant ou qui existeront n’est que le résultat soit d’une malencontreuse coïncidence, soit de la prise inconsidérée de psah ou de toutes autres substances hallucinogènes licites ou prohibées, soit de leur propre délire sans aucun lien avec autre chose que leur dysfonctionnement mental. Cette impression de similitude peut aussi avoir été provoquée notamment, par des séjours emboîtés dans le temps clic, clac ou cloc, combiné ou non, et/ou avec l’usage excessif du fouitbong.
Nous nous excusons d’en avoir été le déclencheur, même pour sa partie infime, sans aucune relation avec leurs hallucinations. Nous leur préconisons de rompre tout contact avec des individus présentant les mêmes symptômes. Ils entretiendraient leurs délires monomaniaques pouvant déboucher sur une crise mortelle de fièvre afguide. Il conviendrait, plutôt, à notre avis, d’effacer ce roman de leur mémoire.
À défaut, nous leur conseillons, en cas d’échec, et en dernier recours :
De consulter un homme de loi qui les soulagera de leur argent et les découragera d’entreprendre toute action. À moins que ce dernier envisage de les dépouiller d’une somme, plus importante encore ;
De consulter un psychiatre, un psychologue, ou toute autre personne de la partie qui les délestera d’une autre fortune, colossale cette fois, en leur faisant subir un traitement éprouvant, long et coûteux, dont l’efficacité resterait à prouver ;
De suivre une cure de désintoxication et de ne plus jamais absorber quelque substance hallucinogène que ce soit.
En tout état de cause, nous sommes profondément désolés pour eux et leur souhaitions sincèrement un prompt rétablissement.
Toutefois, il est bon de ne pas oublier que le monde ne change pas et l’histoire et appelée à se répéter inlassablement, n’en déplaise à tout un chacun. Alors, un homme politique raconte des histoires pour travestir la vérité et un romancier pour la dévoiler.
Avant-propos
J’ai voulu écrire les chroniques de Pekigniane afin de balayer mes étonnements et mes frustrations.
Les premiers sont venus d’une rencontre avec un ethnologue qui travaille encore sur les cultures amérindiennes de l’arc Antilles. Il a écrit notamment un ouvrage sur les premiers contacts entre Christophe Colomb et les Indiens. Ces derniers voyaient dans les nouveaux arrivants des revenants du monde des morts. Le navigateur, lui, se croyait en Chine. La quantité de contresens faite a donné les résultats que l’on sait.
Mon irritation est née pendant mes nombreux voyages. Comme tout le monde, afin de préparer mes périples, je me suis plongé dans des guides. Je pensais avoir des informations pertinentes sur les pays, la culture, etc. Et là, quelle déception ! Bien sûr, les lieux, les restaurants, les hôtels, le climat, etc., tout cela y était. Mais les auteurs n’analysent les pays que sous leurs prismes.
Enfin, ma frustration atteint son paroxysme quand je lis un roman de science-fiction ou d’héroïque-fantaisie. Je suis souvent désappointé. Même si l’auteur décrit une société arachnide, il ne peut pas s’empêcher d’être profondément humain dans les comportements individuels et sociaux. De plus ils sont souvent prévisibles, politiquement corrects et trop moraux.
Je n’ai trouvé, de modes de pensées déroutants que dans la littérature japonaise. Là, j’ai lu de vrais ouvrages de science-fiction ou d’héroïc-fantaisy.
J’ai voulu écrire une épopée. J’ai commencé par élaborer un guide touristique d’un pays imaginaire. Celui-ci est volontairement truffé d’erreurs, de contresens, d’incompréhension et de jugement moral, comme tous les ou