Foloïde

François Bocquet

Description

François Bocquet est né à Montélimar le 5 décembre 1967 d’un père comptable et d'une mère handicapée. Il a aussi une sœur, Sophie. Peu après sa naissance, toute la famille décide de descendre dans le Sud Provençal. C'est à 5 ans qu'il faillit être décapité par une voiture, puis sa grand-mère expire dans ses bras. Il ne comprend que difficilement l'expérience de la Mort. Il va vouloir en trouver une solution. Quelques années après, son père décède d’une leucémie qui s’est achevée par la folie. Devenu adulte, il va lui aussi être broyé dans les tourments de la folie durant vingt-cinq longues années. Néanmoins, le jour où il s'immole, exaspéré par la souffrance quotidienne, il va renaître comme un phénix et embrasser la vie à pleines dents ! Dans ce livre, il s'exprime afin de lui en donner une dimension nouvelle grâce à la beauté de la vie !

Illustration et peinture de la couverture réalisée par l’auteur

Sujets

• Science Fiction
• Fiction
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 25 avril 2017
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414061266
• Langue: Français

Extrait

Couverture
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Cet ouvrage a été composér Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-06124-2

© Edilivre, 2017
Du même auteur
Du même auteur :
Le Néant Transcendantal Editions Thélès : 2005
Le Président de la République Editions Thélès : 2008
Renaissance Editions Elzévir : 2009
Temps X Editions Elzévir : 2009
L’Obole du Styx Editions Scribe d’Opale : 2010
Le Rêve Editions Elzévir : 2010
L’Armée des Ombres de St Martin de Crau Impression Régie Commédia : 2010
Les Consciences du Miroir Impression Régie Commédia : 2010
Prélude à La Déculpabilisation… Essai, Auto-Edition : 2011
Vision X Editions Elzévir : 2011
La Rose Noire de Saint Martin de Crau Impression Régie Commédia : 2011
Les 365 Jours de Pensées Impression Régie Commédia : 2012
JEANNE Editions Elzévir : 2013
Le préjugé d’un dieu Editions Elzévir : 2013
Plus belle la mort ! Impression Régie Commédia : 2014
Nouvelles comiques de l’asile Editions Baudelaire : 2014
Peau… M ! Editions Baudelaire : 2015
Le monde Transcendantal… … … Editions Baudelaire : 2016
MANON D’AMOR… T Editions Baudelaire : 2016
Plus belle la mort ! Editions Edilivre : 2016
Fleur d’Opium Editions Edilivre : 2017
FOLOÏDE Editions Edilivre : 2017
Illustration et peinture de la couverture réalisée par l’auteur…
Dédicace

A Madame Nicole Louis Lopez …
Que j’aime par-dessus tout !
Exergue

Tous les fous s’y retrouveront… …
Biographie succinte de l’auteur
L’auteur est né à Montélimar, le cinq décembre mille neuf cent soixante-sept.
D’un père comptable et d’une mère handicapée, ayant une sœur « Sophie », toute la famille décide de déménager dans le sud provençal pour y trouver une meilleure qualité de vie.
C’est dès l’âge de cinq ans que l’auteur échappe à la mort en manquant d’être décapité par une voiture, puis sa grand-mère expire dans ses bras.
Chose inéluctable, il ne comprend pas dès son jeune âge la fin de l’existence humaine.
Perdant son père d’une leucémie se terminant par les tourments de la folie, il découvre le paroxysme de la souffrance pour un être qui lui était si cher.
Il va, de ce fait, vouloir trouver une solution à la mort !
Mais sa vie, va elle aussi être une confrontation à la douleur puisqu’à l’âge de vingt ans son esprit se broie dans la folie comme son père.
Tourmenté pendant vingt-quatre longues années, il lui échappe paradoxalement lorsqu’il tente de s’immoler.
De cette immolation et de ce qui a suivie, l’auteur se concentre maintenant complètement à l’écriture, à la peinture et aux voyages livresques, afin d’exprimer la joie de vivre.
Pour cela, il essaye dans ses créations de démontrer que la mort peut devenir paradoxalement une joie et même une beauté d’exister dans la quotidienneté !
Telle est peut-être cette solution parmi tant d’autres, celle de l’énergie transcendantale qu’il vous laisse le soin de comprendre et de découvrir ou d’assouvir le long de cette fiction, de cette Foloïde… …
Prologue
Un jeune étudiant, issu d’un bac littéraire, se retrouve avec ses camarades de classe, à l’université de lettres classiques de la ville d’Arles, celle-ci se situant dans le sud provençal et si cher à l’illustre écrivain Frédéric Mistral.
Il a dix-huit ans et par indécision sur les choix de la vie qui s’ouvrent à lui, il n’a toujours pas vraiment conscience de ce qu’il est, de son existence, des chemins qu’il prendra malgré lui.
Tout simplement, il n’a pas conscience de la véritable réalité de ce monde.
Peut-être un peu pusillanime, il choisit cette voie littéraire afin de ne pas quitter le foyer maternel.
Or, ce qu’il va découvrir dans cette formation universitaire afin de donner sens à sa vie d’étudiant mais aussi d’homme affirmé, est incroyable, stupéfiant et inimaginable !
Je vous laisse le soin, lecteur, d’apprécier ou non, sa fabuleuse histoire qu’il va vous conter !
Son prénom est Francois.
Chapitre 1 La révélation
« Après la présentation des élèves envers leurs professeurs de faculté, dont ceux-ci firent de même envers leurs prochaines progénitures.
Ces hommes de science si érudits par leurs expériences universitaires, commencèrent à exposer leurs programmes pour l’année, ainsi que leurs priorités sur certains sujets littéraires.
Mais l’unique professeur de lettres anciennes, de lettres classiques, auquel mon enthousiasme et mon engouement ne faisait aucun doute, se traduira par une assiduité et une sincérité sans équivoque envers lui.
En effet, on sentait chez lui une certaine et fantastique émulation intellectuelle ainsi qu’une concentration très positive pour ce qu’il voulait nous faire découvrir tout au long de l’année.
Pour ma part, j’étais si sûr de moi et de ma réussite.
Ainsi je pensais n’avoir aucun problème dans l’acquisition de ses richesses intellectuelles, qu’il allait nous transmettre par son enseignement.
Je croyais que le but de ces études était d’apprendre des noms, des lieux, des formes littéraires et ainsi porter un jugement sur ces données.
C’est-à-dire dévorer leurs nourritures culturelles par nos lectures.
C’est là que je me trompais, car comme vous le verrez plus tard, le but de l’université sera de nous faire devenir des hommes et des femmes indépendants, ignorant les préjugés, mais aussi forger notre intellect à ce que j’appellerais la concentration énergisante et transcendantale au sens « mystique » du terme.
Cela vous semble incompréhensible, n’est-ce pas ?
Mais c’est une vérité inaltérable, indémontable dont il m’est impossible d’émettre un seul doute.
J’y crois fermement.
En effet, mon niveau de concentration intellectuelle était faible depuis que j’avais eu mon bac puisque le niveau par rapport à l’université lui était inférieur.
Ainsi, je croyais naturel que par moments cette faculté me soit enlevée, et par conséquent, je ne recherchais qu’à reprendre de l’énergie afin de me concentrer à nouveau.
J’expliquais cela, par le fait que le niveau de concentration à l’université était supérieur, puisque le professeur émettait une barrière, un mur psychique entre lui et nous, d’une intensité extrême, sur ses explications.
C’était peut-être parce que le professeur d’université était plus instruit que le professeur de lycée, pensais-je !
Ainsi, c’était à nous de l’effondrer par n’importe quels moyens, soient constructives, soient dé constructives afin d’arriver comme un éclair à toucher le cœur de la cible (le professeur), qui me semble, devait être habité d’une grande valeur morale.
La dernière attitude face à ce no man’s land, était l’abandon de l’élève à fournir le moindre effort, à fournir aucune attention, aucune volonté psychique.
Mais il y avait aussi celui qui faisait mime de comprendre l’exposé du professeur tout en étant complètement déboussolé.
Et enfin, nous autres, qui continuions à nous battre contre l’intellect de cet homme.
...