Les Sauveurs des galaxies - Tome I
162 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Les Sauveurs des galaxies - Tome I , livre ebook

-

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
162 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

La fratrie – Tim, Lilas, Bastien et Sofia – découvre que leurs parents font partie comme eux d’une association secrète : la LAITSELEC. Pour commencer leur apprentissage, les enfants se rendent à la Base, sorte d’école pour former les futurs agents de cette organisation dont le but est de protéger les galaxies. Ils sont confrontés à plusieurs exercices et tests, avant d’être envoyés, avec d’autres jeunes, sur une autre planète où quatre missions à hauts risques les attendent. S’ils les réussissent, ils deviendront officiellement des agents et pourront accomplir leur prophétie. Mais en cas d’échec, certaines galaxies pourraient bien courir à leur perte...

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 23 décembre 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414006373
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-00635-9

© Edilivre, 2017
Remerciements
La parution de ce livre n’aurait jamais été possible sans la confiance accordée par l’équipe d’Edilivre qui a accepté d’éditer mon ouvrage. Un grand merci à tous ceux qui ont participé à sa réalisation et à sa parution (à Solène, pour son dessin réalisé pour la première de couverture). Merci à Madame de Mathuisieulx pour les conseils qu’elle m’a donnés suite à la relecture de mon texte.
Je tiens à remercier du fond du cœur mon professeur de français du collège, Madame Pfaff, pour sa confiance et son aide précieuse. Elle m’a encouragée dans ma démarche et je lui suis reconnaissante de son implication dans mon projet. Je n’oublie pas de remercier mes ami(e)s du collège La Providence et du lycée Notre-Dame de Strasbourg qui ont été une source d’inspiration inépuisable pour mon récit.
Je termine par les acteurs les plus importants de ma vie, ma famille. Merci à mon père Jacques, à mon frère Corentin et à ma grand-mère Yolande, pour leur soutien sans faille depuis le début de mon projet. Leur présence à mes côtés m’a permise d’accomplir mon rêve et sans eux, je sais que rien n’aurait été possible…
Chapitre 1 Une famille pas comme les autres
– Tim ! Qu’est-ce que tu fais ? Tu vas être en retard au collège ! Le jeune garçon se réveilla en sursaut. Il se leva, s’habilla et fit un brin de toilette à la vitesse de l’éclair, puis descendit rejoindre les autres dans la salle à manger.
Cette pièce avait été aménagée pour que toute la famille, aussi nombreuse soit-elle, puisse s’y réunir. Sur les murs, photos et tableaux se succédaient, jusqu’à arriver à un grand poster représentant toute la tribu Remblot en roller, leur sport favori à tous. Un imposant placard, un plan de travail, ainsi que tout le nécessaire d’une cuisine équipée, encerclaient une table moderne trônant au centre de la pièce, et entourée de six chaises.
– Alors comme ça, tu veux faire la grâce matinée le jour de la rentrée ? le titilla son père en souriant. Allez, dépêche-toi de manger avant qu’il ne reste plus rien. Tim s’apprêtait à s’asseoir quand il remarqua la place vide en face de lui.
– Je ne suis pas le dernier, lui fit-il remarquer, un sourire en coin. En effet, Bastien, son petit frère, n’était pas encore là. Il se levait pour aller le chercher quand celui-ci descendit les marches quatre à quatre, à bout de souffle.
– Qu’est-ce qui t’arrive ? lui demanda Sofia, la benjamine de la fratrie, partagée entre l’inquiétude et l’amusement, on dirait que tu as couru un marathon !
– Oh, ne t’inquiète pas, je finissais juste de revoir mes cours de l’année dernière, expliqua-t-il, plié en deux. Tu imagines si j’avais tout oublié pendant les vacances !? Ce serait, ce serait…
– Horrible ! s’exclamèrent en cœur ses sœurs et son frère, habitués au soin que portait leur frère à ses études. Les enfants éclatèrent de rire, même Bastien se laissa aller. Le petit-déjeuner se finit sans encombre, dans la joie et la bonne humeur, devant un festin de roi que les jeunes gens engloutirent rapidement.
Tous les matins, Tim et Lilas prenaient le bus pour se rendre au collège, leur père rejoignait son bureau en train, et leur mère déposait Sofia et Bastien à l’école primaire avec sa voiture pour rejoindre son travail.
Tim et sa sœur, bien qu’ayant le même âge, se trouvaient dans des classes différentes, les années précédentes. Mais aujourd’hui, une nouvelle année allait commencer, marquant un nouveau départ…
– Hé, Tim, tu ne me dis plus bonjour ? s’exclama un garçon blond, qui semblait avoir le même âge que lui et qui venait d’arriver.
– Arthur ! Comment ça va, mec ? rétorqua joyeusement celui-ci, en « topant » dans la main que son camarade lui présentait. Les deux garçons se connaissaient depuis de nombreuses années et devinrent rapidement les meilleurs amis du monde.
Ils partageaient tous deux beaucoup de points communs mais, ce qui les unissait par-dessus tout, c’était de faire partie d’une famille… quelque peu nombreuse ! En effet, Tim vivait avec sa sœur jumelle, Lilas, son petit frère, Bastien, ainsi que sa petite sœur, Sofia. Quant à Arthur, sa famille battait des records…
Sa fratrie se composait d’un grand frère, Illias et de petits frères et sœurs ; Noémie, Max, et Zoé.
– Votre attention, s’il vous plaît ! tonna le directeur dans un micro.
Tous les élèves se turent pour, comme à chaque début d’année scolaire, écouter son discours, qui dura un bon quart d’heure.
– Bien, poursuivit-il, à présent, je vais annoncer vos classes respectives et vous rejoindrez la salle de cours qui correspond. Dans le calme ! Le directeur ayant terminé d’énoncer la liste, les élèves se dirigèrent tranquillement vers la cage d’escalier du collège, peu pressés de reprendre les cours. Par chance, Arthur, Tim et Bob, un danseur de hip-hop proche ami des garçons, se trouvaient dans la même classe.
– Tiens, les trois débiles se retrouvent, grinça une voix derrière eux, ça va être votre fête cette année… Tim fit volte-face. Il se retrouva nez à nez avec David Dompa, un garçon de leur âge qui se croyait tout permis car il était le fils du directeur de la banque centrale de la ville. Il rackettait des gamins de huit ans et frappait quiconque le dérangeait, obligeant ainsi presque tous les autres élèves à le respecter. Presque, mais pas tous…
Tim et Arthur faisait partie des quelques résistants au tyran David, et ils cherchaient par tous les moyens à ternir sa réputation de caïd.
– Un problème, mon p’tit lapin ? lança le meilleur ami de Tim, assis sur sa table, un sourire en coin. David pivota vers lui et le saisit par les épaules.
– Qu’est-c’ que t’as dit, minus ? gronda-t-il en serrant plus vigoureusement celui qui osait l’insulter, un rictus de colère sur le visage.
– Tu peux pas parler un plus distinctement, on comprend pas bien quand tu parles, mon p’tit lapin, reprit-il sans se démonter face à l’agressivité de son adversaire. Le fils à papa leva son poing vers le visage du blondinet, mais Tim lui fit un croche-pied au dernier moment. La brute bascula en avant et se retrouva à quatre pattes devant les deux amis, hilares.
A cet instant, on aurait pu entendre une mouche voler dans la classe car tous les regards s’étaient tournés vers l’adolescent en furie et les deux garçons qui osaient s’opposer à lui, chose rare – voire inédite.
– Tu vas m’le payer, p’tit con ! explosa-t-il en marchant droit sur Tim, qui commençait à s’inquiéter pour les cinq prochaines minutes de sa vie. Il serra cependant les poings, prêt à défendre son ami et lui-même. Quant à Arthur, il ne lâcha pas si facilement l’affaire.
– Ça y est ! J’ai trouvé ! Je sais pourquoi je t’appelle mon p’tit lapin. Martin, tu peux me passer ton portable, deux secondes ? lança-t-il en s’adressant à un adolescent baraqué adossé à une table, qui lui lança un regard interrogateur.
– T’inquiète, je veux juste montrer à nos camarades ici présents, une photo très avantageuse de notre cher petit David. Le garçon plongea la main dans la poche de son jean et en sortit son téléphone (sensé être rangé et éteint au fond de son sac, mais bon… Tant qu’il ne sonnait pas en plein cours, ça allait). Arthur lui lança un clin d’œil complice avant de faire défiler des images sur l’écran.
– Donne-moi ça !
– Tu peux courir, murmura Arthur, soumis à la pression de la poigne de fer de la brute qui l’affrontait. Tim voulait venir en aide à son ami, mais deux garçons de la bande de DOMPA le maintenaient fermement.
Il attendit que l’un deux tourne la tête pour agir. Il écrasa le pied du plus petit de toutes ses forces et se libéra de son emprise. L’autre lui envoya un coup de pied qui n’atteint pas sa cible. Tim se baissa au dernier moment et fit une clé de bras à son adversaire.
Il n’avait pas la moindre idée de comment il avait réussi à vaincre deux attaquants en même temps. La crainte de voir Arthur se faire frapper lui avait probablement insufflé le courage et la force nécessaire à cet élan de force.
– T’aurais jamais dû m’provoquer, menaça l’adversaire des deux quasi-frères, les yeux lançant des éclairs, n’ayant pas remarqué que Tim s’approchait de lui. Maintenant tu vas payer. Il arma son bras et l’abaissa. Le meilleur ami d’Arthur le saisit en plein vol, sous le regard médusé de ses camarades de classe.
– Oh oh, souffla Tim, je suis mal. Face à David, il n’avait aucune chance, il en était conscient. Déterminé à gagner du temps, il recula d’un pas et chercha à tâtons une arme potentielle contre Le Caïd. Il croisait les regards des autres enfants, trop peureux pour ne serait-ce que lui donner un coup de main.
Son attaquant grogna et s’élança vers lui tel un sanglier chargeant sa proie. (Remarquez, l’haleine correspondait au profil du tyran…) Sa trajectoire fut interrompue par Josh, un garçon mince et élancé aux cheveux en bataille, qui se planta au milieu de l’allée. Malheureusement, il fut renversé comme une quille de bowling et projeté sur une table.
Martin bondit alors devant son frère, les poings serrés, un sourire mauvais sur les lèvres. David pila net. S’il y avait une personne sur terre qu’il pouvait craindre, c’était bien ce gars là. Martin pratiquait le karaté depuis ses quatre ans, faisant de lui un concurrent redoutable. De plus, il le dominait d’une bonne tête, renforçant son aspect intimidant.
– De quoi tu as peur ? Ça change quoi qu’on montre une photo, hein ? gronda-t-il en fixant le préadolescent dans les yeux. Je croyais que tu ne craignais rien. Allez, dégage ! Sur ce, il ceintura son frère et l’envoya valdinguer à l’autre bout de la pièce.
– Tiens Arthur, montre leur comme mon frangin est photogénique, di

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents