Les Étoiles, le jour : pour une société nouvelle vers une belle Humanité

Denis Koch

Description

Volume global des parties : Pour une société nouvelle (1), vers une belle Humanité (2) de l’intégrale les étoiles, le jour.

Par un florilège regroupant prose et poésie, l'auteur délivre un panorama d'idées politiques nées de son engagement dans les législatives de 1997, prônant une démocratie directe et participative.

Propositions adaptées aux besoins actuels de renouveau de la société.

Historien local, Denis Koch nous relate aussi l'histoire de son village natal, Hémilly, et dresse un portrait des activités de l'association De nos mains, de Saint-Avold, dont il est adhérent.

Prose et poésie continuent de s'entremêler pour nous faire cheminer entre l'histoire de la ferme gallonnière et l'œuvre de l'auteur chez Edilivre par les prismes des livres précédents.

Des poèmes inédits ou repris, des textes réaménagés créent une synthèse de son activité littéraire.

Textes, sketchs, poèmes, chansons et copies d'affiches agrémentent cet ouvrage.

Sujets

• Politique
• Fiction
• Témoin
• Témoignage
• Biographical

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 29 octobre 2020
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414471492
• Langue: Français

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
194, avenue du Président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : [phone] – Fax : [phone]
Mail : [e-mail]
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-47148-5

© Edilivre, 2020
« Comme les étoiles sont cachées par le jour,
Nos actes dévoilent nos pensées ! »
« Changeons nos pensées et nous changerons la société »


Denis KOCH
Pour mes parents
Blanche et Joseph KOCH
À Eugène BOUTON, Marguerite BOUTON et leur fils Jean Louis
Des coquelicots dans les blés
Jeunesse enchantée
À marcher pour rentrer
De l’école.
Je voyais au bord du fossé
Des herbes folles
Et des coquelicots dans les blés.
Maintenant, je n’en vois plus :
Le rouge et les bleuets ont disparu
Dans ces champs de blé
À cause de cet acide
Qu’on nomme pesticide.
On a souvent les agriculteurs,
Accusés
De répandre ces liquides !
Mais en ont-ils vraiment le choix ?
Pour livrer aux supermarchés
Des farines purifiées ?
Mais on le sait
Ce ne sont pas les agriculteurs
Qui peuvent négocier
Avec ces calculateurs
De grands marchés.
Bien sûr que l’on pourrait
Industrialiser une idée
Qui puisse laisser
Pousser
Les coquelicots dans les blés
Sans utiliser de « pulvé »
Dans ces grands champs de blé.
Laissez pousser les végétaux auxiliaires :
Faut que l’on ait
À traiter
Nos champs de blé
Avec une autre clé
Pour permettre aux insectes
Et aux oiseaux
De subsister.
Laissez vivre
La faune auxiliaire
Sans miner nos vivres
En regardant les coquelicots
Fleurir dans les blés.
Que ce serait beau
De revoir à nouveau
Des coquelicots
Dans les blés !
Qu’elle
Ma gauche main
Posée adoucie
Sur le haut de ton aine
J’ébauche nain
Une caresse de bonne énergie
Sur ta peau adoucie
Comme de la laine
Avec mon pouce
Je glisse dans ta moelle
Pour en effleurer ta couenne
Les effluves de la nuit
Donnent à notre double lit
Des odeurs infinies
Qu’elle
Est belle
Ma Souveraine
Dans ses dentelles
De la nuit
Qu’elle
Est belle
Ma douce Reine
Dans le pastel
Du départ de la nuit
J’adore
Ces parfums
Qui embaument
Notre doux matin
J’arbore
Un parfait
Sourire de bon matin
Qu’aurais-je à sortir
De notre double lit
Si ce n’est pour
Ecrire un poème
Sur notre amour
Infini
Qui s’écrit
D’une droite
Main
Posée sur le papier
La page comme une plaine
Continuum d’adroite
Litanie
Me remémore à tes cotés
D’où j’arbore la splendeur de ta beauté
Ma plume glisse sur le papier
Comme mes yeux
Au-dessus de ton oreiller
Cœur heureux
Et corps miséricordieux
Qu’elle
Est belle
Ma Souveraine
Dans ses dentelles
De la nuit
Qu’elle
Est belle
Ma douce Reine
Dans ce soleil
Qui perce la pluie
Chantant dans mon volet
De ce matin-câlin
Qui restera
Dans ma mémoire
Comme un trésor plein
De tes yeux-carats
Jamais ne s’en ira
Notre amour de ce matin
Même s’il n’a été
Qu’une douce caresse appuyée
Au-dessus de tes reins
Et en dessous de tes seins
Mon cœur encore
En rigole
De cette rigole
Traversant le dos de ton corps
J’aurais aimé
Je le dis bien
Toucher les étoiles
Avec mes mains
Mais je le sais bien
Ton corps pour tendre la voile
N’est pas toujours du matin
Qu’elle
Est belle
Ma Souveraine
Dans ses dentelles
Maintenant elle rit
Qu’elle
Est belle
Ma douce Reine
De ce doux poème
Que je lui ai écrit.
La cop en vain
Qu’est-il advenu
Quelques mois plus tard
De cet COP vingt et un ?
Que sont devenus
Les résolutions de ce rencard ?
Des vœux pieux
Des élus de l’O.N.U ?!
Si ce n’est une COP en vain !
Une COP vingt deux
N’a pas fait mieux !
Que de se faire se congratuler
Les grands beaux parleurs
De ce monde en pleurs
Sur des paroles en leurres.
Ce ne sont que des vœux pieux
De ceux
Qui nous gouvernent
Mais qui mettent l’avenir
De la planète en berne
Car ils ne parlent que pour mentir :
L’air de la planète
Reste aussi pollué qu’avant
Et l’on dirait même que c’est de pire en pire !
Ces gouvernants ne savent s’accorder
Unanimement
Correctement
Sur des engagements
Pour nous sauver du réchauffement
Climatique.
Ils programment sans le dire
La mort de la corne de l’Afrique
Et des îles qui seront submergées
Par la marée montante de la mer déchaînée
Des flots de la fonte des glaces ;
Qui ne font que miroiter l’inefficace
Entente des pays avec leur pompe à fric,
Leur fameuse croissance économique !
Pourtant l’économie de l’écologie
Bien charpentée autour des énergies
Pourrait sauver du réchauffement
Que l’on programme pour deux mille cent.
Mais on le sent,
Déjà aux seuils de nos portes.
Car c’est maintenant
Que nous, toute l’Humanité
Nous devons réagir
Avant que notre destin ne nous emporte
Dans un impossible avenir !
On voit bien déjà que chaque année
Sur la planète
On bat des records de température.
Avant que le ciel ne nous tombe sur la tête
Et que le réchauffement
Que l’on constate impur et dur ;
Avant qu’il ne soit trop tard
Pour l’horloge de notre planète
Avant que notre avenir ne soit réduit
A une peau de chagrin
A cause d’une COP en vain !
Citoyen ne t’enfuis
Pas dans ta coquille
Et réagis vite
Change tes habitudes :
Economise tes déplacements
Fais-les en train
Plutôt qu’en automobile
Fais-les à pied ou à vélo
Citoyen crie haro !
Contre ces gouvernements
Qui ne signent leurs engagements.
Toi ratifie tes attitudes
Dans un mouvement
De révolution
Qui fera mieux tourner la Terre
Car c’est de toi Citoyen
Que dépend
L’avenir de nos enfants
Et de toute la Terre.
Car c’est toi Citoyen
Qui peut agir autrement
Arrêter les ouragans
Et en réduisant les vents
Par la diminution
De tous tes déplacements
Préfère la communication
Téléphone et internet
A chacun de tes gestes pense
Ô oui pense
A sauver ta planète
Pour qu’enfin
La COP vingt et un
En France
N’ai été une COP en vain !
Le grenelle de l’environnement
Avait mangé la grenouille.
Il ne faudrait pas maintenant
Que la COP vingt et un
Aie été une quenouille.
Allons citoyens !
Faisons de la COP vingt et un
Un succès
Pour le monde de demain !
Mais cela viendra
De nous citoyens !
De nos actes de tous les jours :
Réduction des déchets
Réduction des énergies consommées
Déplacements doux et alternatifs !
On est pour trancher dans le vif
Et retrancher de notre actif
Les gestes qui polluent nos alentours.
Agissant ainsi
Pour notre prochain
Nous serons sur le chemin
D’une COP vingt et un
Qui n’aura pas été une COP en vain !
En 2003, dans ma formation d’ouvrier paysagiste, j’avais fait un exposé oral sur :
L’énergie éolienne
INTRODUCTION
Elle est le fruit de la réflexion des hommes, née de l’observation de la Nature.
Il souffle, emportant les feuilles et les cerfs-volants ; on a voulu l’ utiliser, le transformer en énergie.
Cet inconnu invisible mais dont les effets sont visibles… s’appelle le Vent.
La Grèce Antique en avait fait un Dieu : Eole, Dieu des vents.
Et le fruit de la réflexion des hommes, c’est l’ Energie EOLIENNE.
C’est de cette énergie dont traite ce dossier.
J’ai choisi ce thème car c’est un sujet important dans la maîtrise de l’énergie.
C’est une énergie propre et qui pourrait être un palliatif au nucléaire et un remplaçant inépuisable contrairement au pétrole.
IL me tient à cœur d’en parler, ayant pour l’occasion été moi-même écouter le bruit que font ces éoliennes et constaté leur introduction dans le paysage.
L’outil principal de cette énergie, c’est l’éolienne.
Plusieurs projets d’installation sont en gestation en Moselle.
Je vous parlerai plus précisément de celui de Faulquemont et celui de Téterchen.
Mais auparavant seront successivement abordés les points suivants :
deux définitions (celle de l’énergie éolienne et celle de l’éolienne),
les conditions et le mode de fonctionnement de cette énergie,
l’énergie éolienne dans le contexte mondial,
enfin, ses applications et perspectives.
I. DEFINITIONS
A – L’énergie éolienne
Contrairement aux énergies non renouvelables, tels que le charbon, le pétrole, le gaz… l’énergie éolienne est une énergie dite renouvelable.
« Renouvelable » parce que c’est une énergie inépuisable, à l’inverse, par exemple du pétrole qui a des réserves épuisables, et dont certains experts pensent qu’elles seront épuisées dans 30 à 50 ans.
Le vent, quant à lui, bien qu’il souffle diversement partout, soufflera tant que la planète existera !
Il en est de même du soleil : l’énergie solaire est une autre énergie renouvelable.
L’utilisation du vent pour en tirer profit est ancienne. Mais l’énergie éolienne utilisée par une forme primitive de réseau électrique date de la fin du XIX e siècle.
On estime à 100 milliards de gigawatts (millions de Kilowatts) la somme des courants atmosphériques circulant sur la planète.
Donc, il serait intéressant d’en capter une partie pour fournir de l’électricité !
B – L’éolienne
Une éolienne est une machine composée d’une roue à pales montée sur un pylône, utilisée pour transformer l’énergie du vent par sa force motrice en énergie électrique.
En d’autres termes, une éolienne transforme l’énergie mécanique en énergie électrique.
II. CONDITITONS ET MODE DE FONCTIONNEMENT
Première condition : du vent !
A – Le vent
1) Formation
Le vent est formé de masses d’air en mouvement.
Ces masses d’air ont des différences de températures ; le vent résulte des mouvements de l’atmosphère et se trouve au bord de ce qu’on appelle une :
« Dépression »
2) Mesure
La force du vent se mesure grâce à l’échelle de Beaufort.
Beaufort est le nom de l’amiral qui, en 1805, mit au point cette échelle.
Cette échelle s’étend de 0 à 118 km/h :
Force 0 correspond à 0 km /h et Force 12 correspond à 118 km / h.
La France possède un fort potentiel éolien
En fait ce potentiel est très insuffisamment exploité !
3) Son utilisation dans l’histoire
L’énergie éolienne e