Trophée des plumes 2022 - (Le peuple à la mémoire d Elépant)
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Trophée des plumes 2022 - (Le peuple à la mémoire d'Elépant) , livre ebook

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Description

/H 3HXSOH j OD PpPRLUH G·(OpSKDQW Il était une fois dans un pays appelé Ekolo où régnait une stabilité totale. Le pays avait un grand fleuve nommé Nzadi, qui signifie en langue nationale, fleuve remplit de toutes les espèces, GRWp oj HW Oj G·XQH RDVLV SURYLGHQWLHOOH TXL DUURVDLW WRXW OH SD\V ,O \·DYDLW XQH JUDQGH IRUrW DSSHOp 0LWL DYHF XQ pFRV\VWqPH équilibré. Les arbres servaient de protection et de guérison des maux dont souffraient le peuple. Tout ceci était un don de Nzambi ya pungu, qui était considéré comme le Dieu tout puissant dans le pays. /D FDSLWDOH SROLWLTXH V·DSSHODLW 7DQJD-Boukou dont la signification était «lire un livre», dans la langue nationale, il \·DYDLW TXHOTXHV EDUV GDQFing, malgré leur présence, ceux qui y SDUWDLHQW V·DUUDQJHDLHQW GH QH SDV rWUH LYUHV (Q SOXV WRXV OHV fumoirs étaient interdits dans le pays. Le peuple était épanoui, le vivre-ensemble était la première arme la plus puissante en sa possession. Laville était constituée des grands édifices, dont le plus grand était la Grande Bibliothèque de Tanga Boukou, UHPSOLW GHV OLYUHV GDWDQW GH SOXVLHXUV VLqFOHV F·pWDLW OH OLHX OH SOXV prisé par le peuple pour puiser leur connaissance.

Informations

Publié par
Date de parution 04 juin 2022
Nombre de lectures 4
Langue Français

Extrait

Le Peuple à la mémoire d’EléphantIl était une fois dans un pays appelé Ekolo où régnait une stabilité totale. Le pays avait un grand fleuve nommé Nzadi, qui signifie en langue nationale, fleuve remplit de toutes les espèces, doté çà et là d’une oasis providentielle, qui arrosait tout le pays. Il y’avait une grande forêt appelé Miti avec un écosystème équilibré. Les arbres servaient de protection et de guérison des maux dont souffraient le peuple. Tout ceci était un don de Nzambi ya pungu, qui était considéré comme le Dieu tout puissant dans le pays. La capitale politique s’appelait Tanga-Boukou dont la signification était « lire un livre », dans la langue nationale, il y’avait quelques bars dancing, malgré leur présence, ceux qui y partaient s’arrangeaient de ne pas être ivres. En plus tous les fumoirs étaient interdits dans le pays. Le peuple était épanoui, le vivre-ensemble était la première arme la plus puissante en sa possession. La ville était constituée des grands édifices, dont le plus grand était la Grande Bibliothèque de Tanga Boukou, remplit des livres datant de plusieurs siècles, c’était le lieu le plus prisé par le peuple pour puiser leur connaissance. Le peuple du pays Ekolo, étaitdoté d’une sagesse infiniment variée et d’un renouvèlement d’intelligence extraordinaire, il aimait lire, car selon lui sans « livre, on ne peut vivre », la lecture délivre l’homme de toute ignorance.Social et indissociable, ce peuple puissant était presque lié par le sang, leur mode de vie était une grande leçon de vie pour les autres peuples. Les chansons qu’il aimait étaient plus ceux qui éveillaient la conscience. Le son des tamtams annonçait un évènement important, dansant à des circonstances bien précises pour renforcer la cohésion du sociale, le peuple était à la hauteur de ses défis. La sérénité et la sincérité caractérisaient sa nature, il respectait l’être humain.
Makutano, était un espace de rencontre, où le peuple se réunissait pour discuterautour des œuvres littéraires afin de nourrir son esprit et son âme avant d’aller dans les restaurants et dans les autres lieux de plaisir. Leur désir était presque le même, apprendre. -Nzinga qui était le coordonnateur de Makutano, sexprima en ce terme, nous somme ici pour nourrir notre esprit, et faire entendre notre voix, Nzila, à son tour qui la parole pour dire, la lecture est la voie par excellence de la réussite, Nzéla, réplica, si Jésus est le chemin, la vérité et la victoire ; le livre vous fait voyager dans les pays sans prendre un avion, Mwinda, affirma à son tour la lecture éclaire lâme, il confirme avoir le livre des Psaumes, « ta parole est une lampe qui éclaire mes sentiers ». Dans le pays iln’y avait pas de pots de vins, tout le monde payait normalement les impôts. Dans les dépôts et les entrepôts, il y’avait suffisamment des provisions pour faire face à toute crise alimentaire. Le peuple venait s’approvisionner lorsque qu’il était en manque. -Nzinga exhorta tout le monde, quil devrait avoir une seule vision, car les divisions étaient une menace pour la paix, l’intérêt général devrait primer au-dessus de tout, pour une vie équilibrée dans le pays. -Mwinda répondit pour en arriver là, il faut se référer à la loi et la respectée, car «nul n’est sensé ignoré la loi». -Nzéla dit : « pour montrer le chemin, les responsables devraient être des modèles. L’Administration publique devrait être entièrement au service de ses usagers, les gens devraient avoir un bon sens ».
-Nzila dit à son tour dit, le pouvoir devrait être lié au travail, la conscience personnelle poussait chacun à reconnaître sa partition dans le développement du Pays.
Les meilleurs ou les plus intelligents devraient être toujours au-devant de la scène et la science constituait le socle du progrès dans tout le pays. L’éducationdoit être une grande priorité, à ce moment on devrait avoir un peuple plus équilibré. Un jour Nzinga, Nzila, Nzéla et Mwinda décidèrent daller au village pour puiser dans la source de leurs ancêtres, cela pouvait servir à chacun deux décrire un livre car dans leurs villages, il yavait la culture de loralité, ils rencontrèrent le chef du village qui sappelait Nzété, ce monsieur était un grand protecteur de arbres car le pourvoir du village se cachait dans les arbres. -Nzété, leur dit la grandeforêt du village, quon appelaitMiti, regorgeait toutes formes des animaux sauvages et le peuple veillait à la protection de l’environnement.-Nzété leur dit, dans la forêt Miti, larbre sacré sappelait Iti, il avait des grands pouvoirs surtout celui de la guérison, le peuple accourait vers l’arbre protecteur dans la forêt en cas de maladies graves ou d’un mauvais sorttrouvait la guérison ou se il désenvoutement, -Nzété leur dit, toutefois, il ya aussi dans le village une femme qui incarne un pouvoir mystique, elles’appelle Nzima, La vie dans le village était très équilibrée, les richesses profitaient à tout le monde. L’unité et la solidité dupays en fusionnant la culture littéraire et la culture ancestrale attirait les personnes des autres pays et des autres contrées pour découvrir son secret. Connaissant ses capacités intellectuelles, il savait aucun peuple de pouvait le vaincre, mais lui avait le pouvoir de convaincre, comment mettre en adéquation la culture, science et la technologie pour le bien de l’humanité.
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