La P'tite !

François Bocquet

Description

Le grand amour de la vie est l’objet de ces histoires et de ces poèmes. Ne pouvant soudoyer la société par cette beauté, je n’ai fait, pendant cinquante-deux ans, que d’aimer les personnes que je côtoyais lorsque je quittais les repères de ma chambre. Il se trouve que ces personnes furent pratiquement toujours des femmes. Il convient de comprendre que je ne voulais que les séduire malgré la monstruosité de ma chair et de mon esprit. Je pense à celles qui ont dû m’accepter. Si cela n’a pas été le cas, l’objet de ces récréations littéraires est de combler ce manque !

Sujets

• Humour

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 02 avril 2020
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414450817
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

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ISBN numérique : 978-2-414-45080-0

© Edilivre, 2020
Dédicace
À Nicole……
Exergue
Au bout de cinquante-deux ans, je ne pensais pas que tant de femmes aient pu autant me marquer et m’entourer……
La p’tite histoire
Le chirurgien
Une dame accompagnée de sa fille, consulte son médecin généraliste pour une douleur à la poitrine. Celui-ci lui indique que cette boule sur son sein droit est l’apparition d’un cancer. Débitée, cette dame tombe dans la tourmente et se voit mourir ! Mais sa fille prend l’adresse d’un chirurgien qui doit faire l’ablation de son sein droit ! Arrivant au jour de l’opération, le chirurgien se fait attendre alors que la dame tourmentée est prête à être anesthésiée. Or reprenant de la hauteur sur cet évènement, cette dame demande à l’infirmière le nom du chirurgien que son effondrement et son appréhension lui ont fait oublier. C’est alors que la porte claqua et que le chirurgien en question entra en lui disant : « Je m’appelle monsieur NICHON ! »
Le trou de la sécurité sociale
C’est en hiver lors de la séance ordinaire du parlement français que la parole est donnée à un député de l’opposition. Celui-ci commence à argumenter : « Monsieur le président, madame, monsieur les députés, ma question s’adresse à la ministre de la santé. Madame la ministre, connaissant le déficit de la sécurité sociale l’an passé, pouvez vous nous rassurer sur la volonté du gouvernement à réduire cette dette récurrente ? »
La parole est donnée à madame la ministre : « Monsieur le président, madame, monsieur les députés, monsieur le député, vous savez aussi bien que moi que la cause de ce déficit est l’héritage de nos prédécesseurs. Ainsi avec les mesures que nous avons prises, vous pouvez considérer que le trou de la sécu est derrière nous ! » Or sans doute maladroitement le réalisateur fit un gros plan sur le postérieur de la ministre !
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