Choisir et être choisie : Refaire sa vie et retrouver l’amour avec Bonheur
130 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Choisir et être choisie : Refaire sa vie et retrouver l’amour avec Bonheur , livre ebook

-

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
130 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

La personne que vous cherchez… vous cherche aussi
Nous vivons tous dans l’espoir que l’amour va finir par nous trouver. Ce serait juste et bon. Puis l’amour est venu et il est reparti. Plus d’une fois.
Les peines d’amour, les débuts de relation en série nous ont délicatisé le coeur. L’amour ne devrait pas être si difficile à trouver. À garder. Mais c’est difficile ! Parce que trouver et faire durer l’amour après 40, 50 et 60 ans, ça exige des critères différents de ceux de notre jeunesse.
Ce n’est peut-être pas un hasard que ce livre vous trouve maintenant. Demandez-vous : Qu’est-ce que je ferais si je cessais de me dire « de toute façon, ça ne donnera rien » ? Vous n’avez pas tout essayé ! On ne cherche pas l’amour comme on cherche un sofa ! Pas trop gros, pas trop petit, confortable mais pas mou, coloré sans prendre toute la place. Il doit s’agencer avec votre décor sans vous endetter, en espérant que votre chat l’adopte !
C’est familier ? La liste de vos critères pour trouver le véritable amour a besoin de renouvellement et ne doit pas être seulement la somme de ce que vous ne voulez plus.
Pour rencontrer l’âme sœur, cherchez-vous conseil auprès d’amies de votre âge qui ont trouvé, récemment ou dans leur jeunesse, l’amour avec succès et qui l’ont gardé ?
Pour que vous puissiez traverser du côté des personnes qui ont refait leur vie en couple avec bonheur et avec le bagage qui vient avec l’expérience, Sylvie Thiffault vous accompagne avec la bienveillance et la lucidité d’une amie qui ne l’a pas eu facile, mais qui a finalement appris de ses erreurs. Elle balise le chemin de questions nouvelles pour à la fois choisir le « bon » et être choisie par lui.
Une dernière fois, écoutez l’espoir. Ce livre vous guidera au-delà des vieux patterns qui causent les culs-de-sac amoureux.
Il n’en faut qu’un. La personne que vous cherchez… vous cherche aussi. Seul trouve celui qui ose chercher.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 24 novembre 2021
Nombre de lectures 165
EAN13 9782897931476
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0650€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

SYLVIE THIFFAULT, CRHA


Réécrire son destin amoureux de solo à duo
Conception de la couverture et mise en pages :
Christian Campana – www.christiancampana.com
Tous droits réservés
© 2021, BÉLIVEAU Éditeur
Dépôt légal : 4 e trimestre 2021
Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Bibliothèque et Archives Canada
ISBN : 978-2-89793-146-9
ISBN Epub : 978-2-89793-147-6

567, rue de Bienville
Boucherville (Québec) Canada J4B 2Z5
450 679-1933
www.beliveauediteur.com
admin@beliveauediteur.com
Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres – Gestion SODEC – www.sodec.gouv.qc.ca .
Nous reconnaissons l’appui financier du gouvernement du Canada.
Reproduire une partie quelconque de ce livre sans l’autorisation de la maison d’édition est illégal. Toute reproduction, utilisation d’un extrait du Epub ou du PDF, par quelque procédé que ce soit autre qu’autorisé par l’éditeur sera considérée illégale et une violation du copyright passible de poursuites pénales ou civiles. Tous droits de traduction et d’adaptation réservés.
Ce livre est dédié à Alex, mon mari adoré.
Il est également dédié à toutes les personnes qui gardent un petit espoir de rencontrer à nouveau l’amour, sans y croire vraiment.
NOTE : L’Éditeur n’endosse aucune responsabilité quant aux propos et aux opinions tenus par l’auteure. Plusieurs noms et lieux présentés dans ce livre ont été modifiés afin de préserver l’anonymat des personnes. Cependant, les faits sont relatés selon la précision des souvenirs de l’auteure.
La genèse de ce livre
C’ est facile de mettre fin au célibat — je l’ai fait souvent.
Partager ma vie, trouver la bonne personne, ne pas faire de compromis sur l’essentiel, vivre à deux ? Difficile.
Tellement difficile que j’ai abdiqué, le sujet est devenu tabou. Je n’en parlais pas, on ne m’en parlait plus. Je parlais facilement et ouvertement de mes voyages, de mon travail ici et à l’étranger, de mes chats, de mes déménagements, de mon poids, de ma chorale de chant gospel, de la mode, de mes chaussures John Fluevog, de ma Mini Cooper, de mes lectures — mais un chum ? Silence radio.
En secret, cependant, j’espérais. Je consulte le tarot, les runes, je vois mon astrologue en janvier et en août à mon anniversaire, je prie les anges, je fais de la méditation Vipassana, du yoga et je cherche à vivre en pleine conscience. En priant l’Univers, sans en parler, afin que Le Bon finisse par se manifester.
Les pires moments sont le vendredi en fin d’après-midi au bureau, quand tout le monde a quelqu’un qui l’attend à la maison et a des projets de week-end. Moi, personne ne m’attend à la maison, rien ne m’oblige à arrêter de travailler. J’arrête flâner à La Baie ou chez Ogilvy avant de rentrer, je fais du « retail therapy ». Je me console à petit prix et j’achète un autre gel douche, un autre rouge à lèvres, une autre paire de boucles d’oreilles en solde. On n’a jamais assez de ce dont on n’a pas vraiment besoin. Je n’aurai jamais assez de nouvelles chaussures pour combler le vide qui m’accueille à la maison.
Surtout le week-end, je souffre de ce que ma vie ne ressemble pas à une joyeuse annonce de bière à la télévision.
Ah oui, il y a Noël aussi et les vacances d’été. Tout le monde a des plans. Tout le monde parle au pluriel : « On va dans la belle-famille à Noël » ou bien : « On va louer un chalet l’été prochain. » Ben oui, tout le monde sauf moi.
C’est excessif, car rationnellement, je sais bien que ce n’est pas tout le monde qui a une vie de couple, encore moins une vie de couple heureuse. Je le sais… rationnellement.
Mais à chaque journée, je ne vis pas rationnellement, je vis en percevant la vie à travers mon espoir et ce qui me manque. Malgré les livres, les séminaires, les coachings, la thérapie, les amies, j’ai été lente à trouver mon chemin et à changer mon destin de solo à duo. Chaque fois que j’entendais quelqu’un me dire : « J’ai rencontré quelqu’un », je pensais : Évidemment. Tout le monde sauf moi. Ce n’était même pas sarcastique. C’était une preuve de plus que j’avais raison dans ma pensée : tout le monde finit par trouver quelqu’un, sauf moi.
Jusqu’à mes 50 ans.
Pendant 15 années, j’ai vécu des « petites morts » en silence. À l’épicerie, devant un couple : « T’es sûr que la crème qu’on a dans le frigo est encore bonne ? » alors que moi, il n’y avait personne qui s’inquiétait des dates de péremption dans le mien, mon frigo. Petite mort. L’été, le samedi matin à l’heure des courses, dans mon auto arrêtée aux lumières avec les vitres baissées, je ne voyais que celles qui contenaient deux personnes — les couples faisaient leurs courses, moi, j’étais seule dans mon auto. Petite mort. À l’aéroport, à la barrière, la fille à côté de moi dit à son chum : « Surveille mes affaires, ok ? Je vais aux toilettes. » Moi, je dois traîner toutes mes affaires et perdre ma place quand je vais aux toilettes. Petite mort. Après ma séparation, à l’épicerie, je dépose mes items à la caisse, un T-bone au lieu de deux. Petite mort. À 39 ans, je dois planifier ce que j’ai le goût de faire pour célébrer mes 40 ans, en célibataire. Petite mort. Et à 49 ans, même scénario. Mais pas depuis que j’ai 50 ans — j’ai réécrit mon destin de solo à duo. Pas par hasard… par exprès.
Du jour au lendemain.
L’accumulation de 15 années d’essais et d’erreurs a culbuté et changé la trajectoire de ma vie de célibataire à partir d’une question posée par un vieux professeur aussi sage que redoutable.
Une seule question précise et tout a commencé à changer. Une question qui est le fil conducteur de toutes celles que j’ai tirées en 15 années d’erreurs. Tout s’est mis à changer pour vrai, pour de bon. C’était en juin 2012.
Aujourd’hui, en 2021, neuf années se sont écoulées depuis que j’ai commencé à réécrire mon destin en duo, avec celui qui est maintenant mon mari, Alex. Ce que j’ai appris fonctionne pour moi. J’ai réalisé que ça fonctionne pour beaucoup d’autres.
J’ai décidé d’en faire un livre. Ce livre qui vient de trouver son chemin jusqu’à vous afin d’aider à accélérer la rencontre avec celui ou celle que vous cherchez et qui vous cherche aussi.
Introduction
« On enseigne le mieux ce qu’on a le plus à apprendre. »
Richard Bach, Illusion
D ite par Donald Shimoda, son personnage du Messie récalcitrant, cette phrase de Richard Bach fait du bien ! Je comprends qu’elle justifie que, si j’ai passé ma vie à avoir de la difficulté dans ma vie amoureuse, ça me permet aujourd’hui de mieux comprendre, sans juger, et me dédouane d’enseigner sans être parfaite. Mieux. On donne de meilleurs enseignements parce qu’on sait qu’on n’est pas parfait. On accompagne mieux quand on est avec, pas au-dessus. Je suis passée de l’autre côté du mur de mon célibat, j’essaie de partager ce que j’ai enfin vu qui m’a permis de ne pas répéter les pensées et les actions qui me menaient toujours dans les mêmes impasses.
Je crois que comprendre, ça aide à vivre.
Et quand ça va bien, on n’apprend rien.
Je ne sais pas c’est comment pour vous, mais moi, je ne m’arrête pas en plein milieu d’une situation qui va à merveille pour me dire : « STOP ! Ça va super bien, il faut comprendre ce qu’on a fait pour pouvoir le répéter à volonté ! » Non. Quand ça va bien, on surfe sur la vague et on se dépêche de passer à la prochaine chose qui nous attend dans notre to-do list.
Mais quand ça va mal, quand on est surpris par une réaction qu’on n’attendait pas, on s’arrête et on dit : « Wô ! C’est quoi ça ? » et on prend du recul pour trouver une solution.
C’est quand ça va mal qu’on apprend. Si on le veut. Parce qu’on peut toujours conclure que si ça va mal, c’est à cause des autres, des circonstances et de la situation, pas à cause de nous. On se donne raison, on donne tort aux autres.
Apprendre, c’est un choix.
Quand ça va bien, on n’apprend rien.
J’aurais voulu lire ce livre à 33 ans quand j’ai divorcé, à 40 ans lorsque j’en avais marre et que j’étais stupéfaite d’être encore célibataire, mais c’est juste avant mes 50 ans que j’ai levé le drapeau blanc et complètement admis qu’il faudrait bien que je pose des actions radicalement différentes si je voulais des résultats vraiment différents. C’est par peur d’être encore coincée dans un célibat dont j’avais fait le tour que j’ai enfin commencé à appliquer ce que je savais, écouté la sagesse redoutable d’un vieux professeur et que je me suis mise à réécrire mon destin de solo à duo, avec Alex.
Un paradoxe demeure : ce n’est pas parce qu’on le sait qu’on le fait !
« L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la porte. »
Confucius, cité par Eric-Emmanuel Schmitt
L’expérience des autres ne nous serait d’aucune utilité ? Et pourtant, les récits, les livres m’ont tellement servi de repères. Je me réconcilie avec cette contradiction ainsi : mon expérience peut vous servir de repère. Et votre destin est unique : si je peux, un peu, servir de fanal pour éclairer VOTRE chemin, ce livre aura été utile.
Cet ouvrage se veut un guide de navigation déguisé en histoires vécues. Mes vraies histoires vécues. Il donne des repères et rend visibles des signes qui existent mais que je ne voyais pas, car ils étaient cachés par mes croyances. Croyances que je confondais avec la vérité.
Qui je suis aujourd’hui est le résultat de mes rencontres avec des hommes qui ont façonné ma vie. C’est ainsi que j’ai choisi de consacrer chaque chapitre à un homme qui m’a enseigné quelque chose. Enseigné ? Mmm… Fait vivre des situations où j’ai appris quelque chose. C’était un choix d’apprendre de l’adversité. Si ma capacité à changer et à mettre en pratique les leçons que la vie me servait avait été proportionnelle à mon ouverture à vouloir changer, j’aurais refait ma vie dans le temps qu’il faut pour commander une pizza.
J’ai été lente, mais j’y suis quand même arrivée.
Chaque chapitre se termine avec, en résumé, la minuscule semence de sagesse que la Vie essayait de m’inculquer. J’essaie de vous donner, chère lectrice

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents