Life

Vincent-Gabriel Berger

Description

Ce Livre n'est rien de plus qu'un déclic, une étincelle, afin de prendre conscience de l'importance de ne pas gâcher sa vie. Arrêter de réfléchir et enfin vivre. Pour que vos rêves deviennent une réalité, et faire de votre réalité un rêve au quotidien.

Informations

• Publié par: Les Editions Chapitre.com
• Date de parution: 19 octobre 2015
• Nombre de lectures: 4
• EAN13: 9791029003677
• Langue: Français

Extrait

Life
Vincent-Gabriel Berger
Life
Avoir le courage de vivre ses rêves












Les Éditions Chapitre.com 123, boulevard de Grenelle 75015 Paris
© Les Éditions Chapitre.com, 2015 ISBN : 979-10-290-0367-7
Avant-Propos
J’ai grandit en écoutant les gens, et une chose m’a toujours interpelé. Tous le monde a le même discourt.
« J’ai toujours rêvé de faire ca, si j’avais pue, si seulement… »
A croire que l’on vie pour regretter. C’est pour cela que depuis toujours je ne sais pas ce que je veux faire, mais je sais ce que je ne veux pas et c’est avoir des regrets.
Cette histoire est dédie à mon père, car depuis ma tendre enfance il n’a cessé de faire voyager mon imaginaire avec des récits d’aventure extraordinaire autour du monde cette homme, ce héro du 20éme siècle oublié de l’histoire n’a cessé de surprendre de par ces choix et son génie, qualifié de fou par certain de marginale par d’autres il n’a toujours écouté que lui le portant sur les plage de Normandie le jour du débarquement jusqu’en nouvelle Calédonie ou il fut le pionnier dans la fabrication de catamaran à usage touristique et fut aussi le premier à lancer tourisme dans le lagon calédonien, au commande du folie bergère il devint l’un des navigateur les plus important de sont époque
Je le dédie également ma mère celle donc l’amour na cessé de me pousser et me porter.
Avoir un enfant qui a comme passion et comme vie le voyage n’est pas une chose facile a vivre pour des parents si je tien a leur dédier c’est pour leur compréhension et leur patience j’ai vue ma mère pleuré cent fois mon départ et elle pleurera les cents prochains, même si cela me fait de la peine, je la sais heureuse de me savoir ailleurs car c’est ailleurs que ce trouve mon bonheur.
Je me souviendrai toujours d’une phrase qu’elle ma dit le jour de mon retour du canada. J’avais du rentrer pour régler des problèmes, et elle ma dit :
– « Je suis la plus heureuse des femmes de te revoir mon fils, mais je suis aussi la plus malheureuse des mères de te savoir ici alors qu’une vie formidable te tendait les bras là-bas. »
Aujourd’hui je vie autour du monde, me pausent la ou je suis bien et repartant quand le besoin de changement pointe le bout de son nez, je n’ais pas écris ce livre dans le but de vous montrer que ma vie et mieux que la votre car ce n’est certainement pas le cas je l’ai fait pour démontrer que même si on nous fait croire que tout va mal, on est maitre de notre destin.
Si vous passez votre existence a attendre que vos rêves ce réalise vous risquez de passer à coté de votre vie prenez vous en mains aillez le courage d’affronter l’inconnue, de chambouler votre routine et d’être heureux
Durant les quelques prochaines pages je vais vous faire rentrer dans mon monde pour une promenade en sac à dos dans des pays fantastiques aussi bien par leurs histoires que par leurs beauté. Ce texte n’est pas extraordinaire ni même a couper le souffle mais j’espère qui vous transportera et que du fond de votre canapé ou de votre lit vous vous retrouverez a mes coté au pied de ces monument magnifique ou que le frisons vous traversera au vue des paysages somptueux qui rythme mon périple.
Je vous demanderai pour finir de croire en vous, car si je vie mes rêves aujourd’hui c’est pacque un beau jour j’ai décidé de me prendre en main et de vivre comme je l’entendais ne croyez donc pas que je suis un voyageur intrépide, je suis avant tout un froussard, quelqu’un qui n’est pas sur de lui, le premier départ fut une grosse source d’angoisse le deuxième un peux moins et depuis le troisième je ne cesse de penser au suivent
Le premier pas est toujours le plus difficile et cela est valable pour tout et en tout temps n’oubliez pas que si vous tombez, la chute fait mal mais le fait de ce relever vous fera oublier cette douleur et vous portera encor et toujours plus loin.
Je vous souhaite un bon voyage dans mon univers.
1
Pourquoi
Comment commencer cette histoire, comment mettre à l’écrit ce que j’ai du mal à mettre a l’orale.
C’est à l’aéroport de colombo en attendent l’avion qui m’emmènera en direction de l’inde, que je prends quelques minutes pour commencer à raconter mon récit.
Je suis partie de France car mon quotidien et la routine m’étouffait. Bien que j’avais tous ce que l’on puisse rêver, deux entreprises, une famille géniale, une jolie copine et de vrais amis…
Mais j’ai fait un choix, rester pour eux ou partir pour moi. Mon père à énormément voyagé dans ca vie et depuis ma tendre enfance j’ai étais bercé par le récit de ses formidables aventures autour du monde. Je pense que c’est de la que vient mon gout pour le voyage.
A la fin de mes études j’ai acheté un billet pour partir en Australie, ce fut mon premier voyage en total autonomie, depuis ce jour je n’est pas pue m’empêcher de penser a tous ces endroit qu’il me reste à voir, ces pays dont j’ignore tous et qu’ils me restent a découvrir.
En réalité je crois que peux importe ou je vais, quand je rentre en France il met très difficile de me réadapter et même avec la meilleur volonté du monde, lorsque je suis chez moi la seule envie que j’ai, c’est d’être ailleurs
L’année 2013 fut pour une année extraordinaire, tous partez pourtant mal. Fin 2012 je perdais ma 1 er entreprise ma petite copine, et le moral était au plus bas.
C’est à ce moment la que j’ai rencontré une fille encore plus pommé que je ne l’étais, une fille qui avait besoin de moi, elle était belle et merveilleuse, le genre de fille qui malgré ces souci croque la vie a pleine dents et vous fait oublier les vôtres mais aussi ce genre fille qui ne voulais pas être attraper, indomptable, forte mais au fond si fragile l’une de ces rencontres formidables que l’on rêves tous de faire même si elles ne sont qu’éphémères.
A nous deux nous avons réussi à la remettre sur pieds et faire que ses soucis ce transforme en souvenir, quand elle n’eu plus besoin de moi elle partie comme elle était venue en un battement de cil et avec un beau sourire
Cette personne m’avait elle aussi redonné la joie et l’envie de continuer mais aventures, à l’endroit ou je me sens le mieux, sur la route.
J’ai vécu cela comme un déclique une sérieuse remise en question, et fait de cette année, une année extraordinaire, ne me refusent rien, enchainent les fêtes, les rencontres, les festivals, traversent la France juste pour aller boire un coup avec un ami. Plus rien n’avait de limite.
Mais quand l’été fut fini, que tout le monde retournaient à sont travail et à leurs morosité quotidienne, j’ai sue qu’il était temps pour moi de partir, cela faisais trois ans que je me le refusais, depuis mon retour du canada, afin être la pour les miens, pour veiller sur mon père sa santé déclinante, pour ne pas rendre ma mère triste et âpres tout je me disais que si les autres arrivaient à être heureux ici pourquoi je n’y arriverai pas.
Et bien non pas moi !
Un weekend, un dimanche soir pour être plus précis regardent un concert à la tv armé de ma bière de fin de soirée, d’un sursaut je me suis redressé, allumé une clope et j’ai décidé que le lendemain j’achèterai des billets pour partir n’importe où.
Apres une courte nuit, un café et une bonne heure de réflexion j’ai décidé de partir pour la nouvelle Calédonie probablement parce que mon paternel à vécu là-bas une bonne partie de ca vie, et avec du recul je pense que c’était une façon de marcher sur ses traces.
Très bien la Calédonie sera ma destination, mais pourquoi s’arrêter la, Pourquoi pas l’inde ce pays qui me fait rêver depuis tant années. Pour mi rendre, j’ai une escale au Sri-lanka, alors va pour rester quelques temps ici aussi. Puis de Delhi a Nouméa, ou bien je passe par Sydney.
Non je connais déjà !
Je passerai donc par Tokyo afin de découvrir le japon.
Mes future destination furent choisis, une rapide réflexion pour savoir le temps que je passe dans chaque pays et de la tous s’enchaine. Un coup de téléphone pour fermer mes entreprises, faire un point sur mon budget… Ca risque d’être très juste j’ai pensé. car bien que mon été fut grandiose, il fut aussi très onéreux.
Mais cela rajoute un peut de piquant dans cette nouvelle aventure.
En une journée tout était planifié ou presque, lonely planet acheté car il ne faux pas oublier que je ne savais pas ou j’allais mettre les pieds, ma voiture fut mise en vente et les demandes de visas envoyé.
A la suite de cela je suis partie à l’Octoberfest voir mon frère et faire une dernière fois la fête avant de partir. Pendant ce temps je laissais l’administration et à sont bon vouloir le fait de décider de la suite de mon périple.
A mon retour tous les visas étaient validés et toutes mes formalités réglés.
2
Le dépar