Mon pays, c est l amour
244 pages
Français

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Mon pays, c'est l'amour , livre ebook

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Description

"L'amour n'attend pas le nombre des années Pour t'émoustiller ou t'apprendre à aimer À tout donner, sans rien recevoir en retour L'amour, taillé au cordeau Fusionne entre tout corps, mais il ne fait jamais de cadeau Pour nous il était peut-être trop tôt ? Et notre amour, sûrement trop beau ? Pour qu'il puisse survivre, sur le bout de nos lèvres" Vous vous apprêtez à embarquer pour une excursion très spéciale dont Pascal Dague est aux commandes. Attachez vos ceintures car à travers ce livre, ce dernier vous promet un voyage rempli d'émotions en tous genres qui vous conduira à la rencontre de ses souvenirs et ressentis tantôt heureux, tantôt tragiques. Plusieurs escales émotionnelles sont à prévoir, pour à terme atteindre son pays : l'amour. L'auteur nous confie, dans cet ouvrage, ses propres chansons écrites d'une main de maître qui retracent les nombreux instants qui ont marqué sa vie. La mélodie de ses mots n'a rien à envier aux plus grands paroliers et le message dont ces derniers sont porteurs, est composé d'amour, de vérité et de tolérance.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 17 septembre 2019
Nombre de lectures 1
EAN13 9782342167795
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0064€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Mon pays, c'est l'amour
Pascal Dague
Publibook

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Publibook
175, boulevard Anatole France
Bâtiment A, 1er étage
93200 Saint-Denis
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
Mon pays, c'est l'amour
 
Préface réalisée par Isabelle Ugo qui n’est autre que mon agent littéraire…
Il est si périlleux, effleurant l’idée d’une palpable impossibilité, de croiser de nos jours, des textes tutoyant l’illustre flamme, de nos écrivains ayant fait la légende de notre incomparable Littérature française, adulée en l’entièreté de notre monde. L’évidence de cette prouesse se concrétise en ce recueil de chansons qui, dénuées de musicalité, se meuvent en d’inégalables poèmes issus d’une inimitable plume. Des vers forgés à l’encre de sentiments, de blessures, de ressentis, sur des mélodies ancrées aux abysses de la sensibilité de l’auteur, déversant sur le parchemin les mots de son cœur, puisés des maux des béatitudes et délices de son âme. Son pays c’est l’amour, le nôtre est le sien. Notre pays devient sa quête, le sien des rimes en leurs délicatesses et raffinement. Des poèmes en cascade, dont nul ne pourra se lasser. Un recueil à dévorer, se délectant de chaque sonorité. Un lyrisme telle une addiction, à l’ingéniosité de cette rhétorique en sa perfection. Un livre à lire sans discontinuer, en l’ardente attente d’autres offrandes poétiques, de cet auteur qui jamais ne cessera de nous émerveiller. Une part de son histoire de vie, sur le parcours de nos vies. Nos vies, recueillant les leçons de l’émérite quintessence en ces pages. Afin que perdure l’aisance de l’amour, en son pays, en notre pays.
 
 
Isabelle.
 
Avant-propos
J’ai volontairement voulu poser mes écrits sur le papier, en ne respectant aucune règle, (date, thème, etc.) simplement dans le but de vous faire découvrir à travers mes chansons mon histoire de vie. Telle que je la respire depuis ma naissance, comme vous par habitude. N’y voyez aucun affront dans l’encre de mon cœur. Elle s’étale comme bon nombre de mes songes sur la page vierge, comme transpire la plume de mon âme, innocente, bien souvent trahie, mais tellement amoureuse. Merci à tous ceux qui auront eu la patience et la gentillesse de lire entièrement cet ouvrage sans sourciller à la moindre cendre de mes mots. Merci…
 
 
À mon ami, Johnny Hallyday…

15 juin 1943 – 6 décembre 2017
Qu’est-ce que tu m’as fait ?
Je ne saurais dire si l’herbe est plus verte
Au pied des champs sanguinaires de l’éternel
D’ordinaire j’men tape, mais depuis que tu es parti
Le rock’n’roll et moi dans nos chairs sommes meurtris
 
Si mourir n’est point souffrir
D’images en souvenirs
À glacer le ciel sans foi ni loi
Si loin de toi, il me manque ta voix
 
Refrain :
 
Mais qu’est-ce tu m’as fait ?
Johnny, le mec au total respect
Toi qui as su bercer mon enfance
M’écartant de tant de souffrances
Mais qu’est-ce tu m’as fait ?
Johnny, le mec au total respect
Qui n’a jamais été aussi puissant
Émouvant, que dans mes yeux d’enfant
 
C’est en rééquilibrant
Le désordre de mon existence
Que tu m’as appris au gré du vent
À ignorer les mauvaises expériences
 
Et si aujourd’hui
Il fait si beau dans ma vie
C’est à toi que je le dois
Le poids de mes mots en émoi
 
(Refrain)
 
Ainsi donc, toute la musique que j’aime
Se consume comme j’en crève
Dernier bras d’honneur et se libère
De toute entrave et de galère
 
À l’ami, mon pote
À nos anecdotes
Et histoires folles
De la rue Molitor
 
(Refrain)
 
Je serai là comme hier
Et qu’importe si c’est ici ou là-bas
Tu peux compter sur mes prières
Comme l’âme qui flamboie
 
Anonymes, stars ou politiques
Nous sommes tous de la même critique
D’avant ou d’après l’homme prophétique
De celui qui avait oublié de vivre
 
(Refrain)
 
Écrire ma vie
Le voile du matin se déploie
Le premier chant des oiseaux
Se recueille à l’aube de notre amour
Nul besoin d’exploit ou de long discours
Je suis amoureux de toi
Comme d’une histoire d’O
 
Du champagne au creux de tes reins
Ma main posée sur tes seins
Je n’ose respirer, de peur de te réveiller
Je reste là, à tes côtés
Brûlé par le feu de ton corps
Aux essences que j’adore
 
Refrain :
 
Écrire ma vie
Sur des envies de papier
Écrire ma vie
En rêves passés, oubliés du temps
Sans y croire, vraiment
Écrire ma vie
Sans personne pour me suivre
C’est peut-être ça, ma vie en devenir
 
Un silence incrédule
Interrompt le cours de mes idées
Sans fausse apparence devinant tes pensées
Avec une sidérante exactitude
Comme dans un désert, d’autre sable
Où notre histoire, serait encore plus stable
Écoute, ce que j’écris
Entends, ce que tu lis
Je t’aime, ma reine des ténèbres
Et mon cœur voit plus loin, que ce monde irréel
Comme l’horizon, insaisissable
Il te ressemble, ça me fait mal
 
(Refrain)
 
Emporté en plein fantasme
Je succombe au charme de ton audace
Écrire ma vie ne veut peut-être rien dire
Tout comme ta peau contre la mienne
Ou comme ce soupçon d’arrogance
Qui défile sur le rebord de tes lèvres
 
Je t’ai tant désirée, à cause de tes yeux étonnés
Et de ton doux et drôle de sourire
Je t’ai si souvent imaginée aussi belle que sucrée
Aussi fidèle que ma propre chienne et n’avoir plus à en souffrir
Sache que tu me resteras à jamais, ingrate et solitaire
Seul, qu’on ne me retienne plus sur cette putain de terre
 
(Refrain)
 
Laisse-moi du temps
Désespéré à l’idée, de devoir à jamais te quitter
Comme un échec, que je refuse d’imaginer
Et pour ne pas avoir le temps, de te voir m’oublier
Je recueille avec soin l’éclat de ton sourire
Comme une ondulante sensation, qui parcourt ma poitrine
En me laissant une empreinte amère d’un désir solitaire
 
Sitôt les yeux ouverts
S’échappe ce rêve que je préfère
Bientôt la magie s’achève, le jour se lève
Je viens d’apprendre qu’il ne faut jamais attendre
Et qu’on ne peut réclamer un temps où tout s’arrête
Où, en dehors de toi, plus rien n’a d’importance
 
Refrain :
 
Laisse-moi du temps
Juste un peu de temps
Pour comprendre, te surprendre
Laisse-moi du temps
Juste un peu de temps
Pour savoir et apprendre
Comment t’aimer sans jamais t’étouffer
Et faire ainsi cesser tes doutes m’accuser
Laisse-moi du temps
Juste un peu de temps
 
Libre et pourtant prisonnier
Mes mots sont condamnés
Comme ces damnés restés pieux
Détestent leur dieu et mes yeux
Je ne suis pas venu prendre d’autres mémoires
Ou changer le cours de notre histoire
 
Car chaque recoin de mon autobiographie transpire
Ton image, un soupir, par l’envie de te découvrir
Avec une pluie de souvenirs, comme partenaire
Sur le rythme insensé, de brûlantes paroles incendiaires
Je ne veux pas que tu m’abandonnes
Simplement, que tu m’ordonnes
 
(Refrain)
 
Comme au gré des saisons
Fleurissent les moissons
Tu nourris ma modeste vie
Et continues d’enrober mes nuits
Comme à l’époque, où tu as su faire battre mon cœur
Avant que tu ne décides de lui confisquer tes couleurs
 
L’amour implique souvent un apprentissage
Que le passé de chacun facilite plus ou moins
Comme le discret parfum de ton âge
Ne cessera jamais d’accompagner mes lendemains
Comme la beauté que façonne l’espoir
Te laisse chérir, dans la flamme du soir
 
(Refrain)
 
Déchirures humaines
Je n’ai jamais su te dire
Je n’ai jamais su t’écrire
Écouter le flot de tes paroles
Entre deux mots qui caracolent
T’aimer…
Comme tu l’aurais imaginé
 
Refrain :
 
De convulsions en coups de cœur
De coups de foudre en cris du cœur
Ce n’est pas la première fois
Que l’on décide pour moi
Le tout vécu au travers
D’un cheminement solitaire
Où les gammes aveugles
S’éclairent de déchirures humaines
 
Mais en dépit de ce monde en carton
Femmes de toutes saisons
Hommes de toutes raisons
Oubliez vos peines
Que la misère et la haine
Soient un jour effacées
 
(Refrain)
 
J’ai regardé sourire la foule
Je n’avais plus aucun doute
Et j’ai baisé la tête comme un chien
L’air de rien…
Sa hache se souleva
Ma tête est tombée et la foule hurla
 
(Refrain)
 
Alors qu’un amour émérite
Me prodiguera la sagesse
Plus personne ne pourra
T’abolir ou t’exécuter
Je te promets de ne plus laisser faire ça
Ils ou elles pourront vivre en toute liberté
 
(Refrain)
 
L’amour qui s’éteint
Il ne me reste qu’un ou deux jours à vivre
J’avais pourtant des milliers d’autres choses à découvrir
Mais personne n’est venu et je sais que je vais mourir
Dans ma tête de chien il y a tant de souvenirs
 
Je vous aimais, depuis presque une vie entière
Dix ans, je m’en souviens comme si c’était hier
Vous m’avez balancé à travers la portière
Et vous avez disparu sans regarder en arrière
 
Refrain :
 
Mon devenir me pousse à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin
Le goût amer de l’amour qui s’éteint
 
Sur le coup, je n’ai pas compris
Je pensais que c’était un jeu
Mais une fois qu’est tombée la nuit
J’ai eu peur d’être oublié et miséreux
 
Je suis resté seul me traînant dans un fossé
Le cœur déchiré et l’esprit en déroute
Gémissant de douleurs sur ma patte cassée
Sous la couverture glaciale de cette autoroute
 
(Refrain)

C’est au bout du sixième jour
Que j’ai fini dans ce refuge
Ici, les gens n’ont pas beaucoup d’humour
Et j’ai bien l’impression qu’ils me jugent
 
Mais n’ayez point de remords
Je ne dormirai pas, j’attendrai l’aurore
En guettant à travers le grillage
Que vous veniez ouvrir ma cage
 
(Refrain)
 
Laurence
Mon esprit dévore ton cœur
La raison me quitte en douceur
Ma tête obsédée par ton corps
Co

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