Secrets de Kabbale – Livre 3 : Vayikra (Le Lévitique)
104 pages
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Secrets de Kabbale – Livre 3 : Vayikra (Le Lévitique) , livre ebook

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Description

Après ses trois premiers ouvrages de présentation de l'enseignement fondamental de la Kabbale ; Les Racines de l'existence, L’Œuvre de la création et Les Grandes Lumières aux Editions Edilivre, l'auteur nous présente aujourd'hui Secrets de Kabbale ; une étude sur les cinq livres de la Torah (le ‘Houmach ou Pentateuque) suivant l’interprétation traditionnelle Kabbalistique.


Cette étude jusque-là inédite, car transmise exclusivement de façon orale aux seuls initiés, est éditée en cinq livres ; Béréchit ( la Genèse), Shémoth (l’Exode), Vayikra ( le Lévitique), Bamidbar (les Nombres ) et Dévarim ( le Deutéronome).

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 03 juillet 2018
Nombre de lectures 5
EAN13 9782414250585
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-25056-1

© Edilivre, 2019
A Julie et Gilbert (Zal).
Préambule
La Torah (le Pentateuque), est le Lieu de la Révélation divine. L’interprétation de son Texte sacré se fait à partir de quatre niveaux de lecture ; le « Pschat » – le sens littéral, le « Remez » – le sens allusif, le « Drash » – le sens allégorique et enfin, le « Sod » – le sens Secret.
Le « Sod » (le secret), ou 4 ème niveau de lecture dévoilé par l’enseignement de la Kabbalah (Kabbale en hébreu), révèle l’Ame de la Torah ; la profondeur de la « ‘Hokhmath Nistarah », la Sagesse cachée du Divin. Si le « Midrash Kabbalistique » (l’interprétation ésotérique), transcende par sa réflexion le Récit biblique, son seul et unique objectif reste l’amélioration de l’être.
La Langue créatrice est le « Laschon HaQodesh » ; l’hébreu sacré où chaque lettre correspond à un nombre et à un symbole (le mot Oth, la lettre, voulant également dire, le Signe, en hébreu). Voilà pourquoi, l’enseignement symbolique de la Kabbalah, utilise des méthodes d’exégèse pour faire sortir du Texte l’essence de la Torah ; à partir de ce dévoilement, l’homme pourra percevoir la Vérité subtile cachée dans la création.
Les trois techniques exégétiques qu’utilise la Kabbale sont ;
1. le « Notarikon » : l’Art sacré des acrostiches et des abréviations, où les lettres d’un mot sont utilisées comme les initiales d’une expression (par exemple : le PaRDéS ou le Verger, est l’acronyme de Pschat, Remez, Drash et Sod ; les quatre niveaux de lecture de la Torah).
2. le « Tsérouf » : encore appelé « Temourah », le combinatoire ; l’Art de la permutation des lettres. Le Maître en la matière est l’éminent Kabbaliste « Abraham Aboulafia » (1240-1291), dont les anagrammes sacrés dévoilés sont ceux que nous rapportons dans nos ouvrages.
3. la « Guématria » : est la 29 ème des 32 règles de la Loi orale donnée à Moïse par D.ieu au Mont Sinaï. Très largement utilisée, elle est la mesure des lettres de la création. Et comme en hébreu écrire un mot, c’est aussi écrire un nombre, chaque mot fait allusion à un autre mot de la même valeur.
L’autre appellation de la Torah est le « ‘Houmach » (les cinq livres), qui constituent le Pentateuque (la Bible). Les cinq livres sont ; « Béréchit » (la Genèse), « Shémoth » (l’Exode), « Vayikra » (le Lévitique), « Bamidbar » (les Nombres) et « Dévarim » (le Deutéronome).
Chaque livre de la Torah est divisé en sections ou Parachioth (pluriel de Paracha au singulier), dont la lecture hebdomadaire, au jour du « Shabbat » (le samedi matin), ensemence la création de la Lumière divine. Le livre de « Béréchit » contient 12 sections, celui de « Shémoth », 11 sections, « Vayikra », 10 sections, « Bamidbar », 10 sections et enfin « Dévarim », 11 sections. Le nombre total de sections de la Torah est donc de 54 Parachioth lues (parfois couplées et lues par deux), sur l’année de 12 à 13 mois lunaires suivant le calendrier hébraïque.
Après nos trois premiers ouvrages de présentation de la Kabbale fondamentale du « Ari Zal » ; « Les Racines de l’Existence », « l’Œuvre de la Création » et « les Grandes Lumières » (Edilivre, éditeur), nous présentons au lecteur 5 recueils d’étude de la Science ésotérique qui s’intitulent « Secrets de Kabbale » et dont chacun traite un des livres de la Torah suivant ses sections.
Si cette nouvelle collection a pour objectif de faire découvrir l’enseignement de la Kabbale tel qu’il est traditionnellement transmis de Maître à élève, elle fait aussi découvrir l’histoire biblique en débutant chacune des sections de la Torah par son résumé. Complétée par une liste des mots hébreux utilisés et étudiés, cette structure de base facilitera la démarche du lecteur, dans son désir d’approfondissement.
L’enseignement de la Kabbale est exclusivement oral (Pé Al Pé). Voilà pourquoi sa retranscription fidèle, par écrit, est extrêmement difficile au niveau de son référencement. Aussi, nous sommes nous attachés à citer fidèlement les versets bibliques, les valeurs numériques (Guématriotes) et les Tséroufim (permutations) à partir desquels nos Sages font leurs révélations.
Suivant le « Zohar Vayéra », notre génération est celle du dévoilement, c’est-à-dire la génération apte à recevoir (Lékabèl en hébreu, d’où vient le mot Kabbalah) le discernement et la compréhension de la Sagesse secrète. Mais recevoir (ou être reçu car accepté pour recevoir l’Essence de l’Etre), signifie aussi retransmettre l’Energie du vivant afin que soit rétablie l’Unité dans notre monde.
Participer à la réalisation de ce Projet du Divin, est la motivation de la rédaction de ces nouveaux recueils d’étude sur la Kabbalah. Cette retranscription simplifiée et clarifiée d’un enseignement jusque là secret (car uniquement réservé aux initiés), est une compilation de la Connaissance diffusée par les « Mékoubalim » (Kabbalistes) de notre temps ; citons les : « Rav ‘Hayim Dynovisz, Rav Its’hak Ginsburgh, Rav Mordé’haï Chriqui, Rav Matityahou Glazerson, Rav Daniel Cohen, Rav Raphael Afilalo, Rav Yoël Benharrouche, Rav David Ménaché, le Virya Georges Lahy ».
Enfin, terminons afin de l’honorer, en citant et remerciant mon fidèle ami « Charlie Cohen », curieux de tout, pour son soutien permanent, sa lecture attentive et ses précieuses corrections. Ses connaissances éclectiques et son dévouement sans limites, ont permis à ce travail de voir le jour.
Résumé du livre Vayikra
Le livre de « Vayikra » (le Lévitique), s’articule essentiellement autour du travail sacerdotal dans le Temple, fonction qui consistait à faire des « sacrifices » d’animaux à offrir à D.ieu, que ce soit en signe de reconnaissance ou de pardon, pour les péchés ou violations des Lois Divines.
Suivent de nombreuses Règles civiles et morales, des Prescriptions relatives au pur et à l’impur ainsi que des Lois liées au culte, le tout scandé par le refrain : « vous serez saints, car Je suis Saint, moi, l’Eternel votre D.ieu ».
Mais le Qorban (le sacrifice), n’est pas cette fausse image dévoyée d’animaux sacrifiés pour un D.ieu affamé de sang ; bien au contraire, il était le vecteur d’une plus grande spiritualité, le moyen d’atteindre les sommets les plus élevés destinés au rapprochement des êtres avec leur Créateur.
Ainsi, « Vayikra », le troisième livre du Pentateuque, est un trésor de secrets sur les structures voilées des Univers spirituels qui gouvernent notre monde ; « le monde des conséquences » nous dit la Kabbale.
Paracha 24 : Vayikra Lévitique : 1,1 – 5,26
Paracha Vayikra en résumé
• D.ieu s’adresse à Moïse de la Tente d’assignation (le Mishkan), pour lui communiquer les lois régissant les offrandes apportées au Sanctuaire. Elles comprennent : 1/ l’holocauste « ‘Olah » qui, après son abattage, est entièrement consumé sur l’Autel et dont l’odeur est agréable à l’Eternel. 2/ L’oblation « Min’hah », offrande de fleur de farine, d’huile et d’encens. 3/ Le sacrifice de paix « Shelamim », dont la viande, brûlée sur l’Autel, est consommée par celui qui l’apporte mais aussi par les Cohanim (les prêtres). 4/ Les sacrifices d’expiation des fautes commises, « ‘Hatat ». 5 / Les sacrifices d’expiation de culpabilité, « Asham ».
Pélé : la Merveille, le secret de la lettre Aléf
Tout le livre de « Vayikra », s’appelle « Torath Cohanim », la Torah des Cohen, car il développe sur les règles du service sacerdotal dans le « Beith HaMiqdash » , le Sanctuaire avec ses rites sacrificiels.
Le mot « Qorban » , très improprement traduit par sacrifice , dérive de la racine hébraïque « Qarèv » ou « Qarov » , qui veut dire à côté de  ; le terme « Qorban », exprime donc le rapprochement. Ainsi, c’est par le « Qorban », que les prêtres « rapprochaient » les Mondes supérieurs, afin de déverser le Flux du Divin dans notre monde.
En dévoilant les Merveilles des Univers spirituels, le livre de « Vayikra » dévoile aussi l’essence secrète de la lettre « Aléf » (la 1 ère  lettre de l’Alphabet sacré), car elle est le Sceau du Roi ; « Aloufo Chél Olam », le Maître du monde ou le « D.ieu Un » (le chiffre 1, étant la valeur numérique du Aléf).
En hébreu, chaque lettre est un nom, aussi, chacune d’elles posséde une écriture développée qui correspond à sa « forme prononcée ». L’écriture développée de la lettre « Aléf » étant «  Aléf. laméd.pé » ; lue de façon inversée, elle dévoile le mot « Pélé » ( Pé. laméd.aléf), la Merveille (de l’Essence divine) ; la « Face cachée » de notre monde.
Suivant le « Séfér Yétsirah » ; « les lettres créatrices sont également des nombres , aussi ; lorsque D.ieu créa l’univers par Son Verbe, il le fit pareillement par le Sefar , le compte » . La valeur de la forme développée de la lettre « Aléf » étant 111 ( Aléf. laméd.pé, ou 1 + 30 + 80 = 111) ; elle nous montre (par cette triple répétition du chiffre 1), le principe de l’Universalité : « aussi bien dans les unités, les dizaines que dans les centaines des Nombres créateurs d’existence ».
C’est pour nous rappeler cette Harmonie du tout créé, que la Paracha « Vayikra » a été précisément écrite (par Moïse) dans la 111 ème  colonne de la Torah ; qui plus est en 111 versets. Mais le chiffre 111, parce qu’il correspond au calcul 3x37, dévoile aussi le 13 ème  nombre premier (le chiffre 37) ; 13 étant la valeur du mot « E’had » (Aléf, ‘Héit, Dalèt) qui veut dire Un  : symbole de l’Unité divine !
Le secret du petit Aléf
Parmi les lois régissant les offrandes apportées au Sanctuaire, nous avons l’holocauste  ; le « ‘Olah », mot qui dérive du verbe « La’alot » qui veut dire monter . La Kabbale enseigne à son sujet ; « après l’abattage, l’animal (le Qorban, le sacrifice) devait être entièrement consumé sur l’Autel, afi

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