Seuls, les voyants ont peur du noir…
137 pages
Français

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Seuls, les voyants ont peur du noir… , livre ebook

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Description

Pascal Owen Passé est un chômeur de 40 ans qui se rêve reporter, sa vie jusqu'à présent n'a pas été trépidante, ni non plus couronnée de succès.
Il arrive un peu par « hasard » dans un village perdu de Bretagne, lui l'urbain, pour faire un reportage sur les légendes bretonne.
Il va se trouver face à des évènements très étranges, qui vont l’entraîner dans un monde surnaturel. Il va être amené à se surpasser pour la première fois de sa vie, et se retrouver confronté à des entités appartenant au passé, à son passé ?
Une question va se poser, et si la mort n'existait pas ?

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 19 mars 2012
Nombre de lectures 11
EAN13 9782312004792
Langue Français

Extrait

Seuls, les voyants ont peur du noir…
Fabrice Gosset
Seuls, les voyants ont peur du noir…
Et si la mort n’existait pas ? (Inspiré de faits réels)





LES ÉDITIONS DU NET 70, quai Dion Bouton 92800 Puteaux
À Monique, Michel et Owen Gosset








Du même auteur

Trajectoire d’un paradoxe, Paris, 2012. (en cours de production)
Facteur… humain, Paris, 2013. (en cours d’écriture)

















© Les Éditions du Net, 2012 ISBN : 978-2-312-00479-2

Avant-Propos
Peu de choses dans la vie m’ont réellement impressionné à part à part cette idée qui m’obsède depuis mon plus jeune âge, le temps l’espace et l’infini…
Le fait de se dire que l’espace (en tant que volume) ait toujours existé, que l’unité de mesure « temps » (totalement lié à l’espace) l’est aussi.
Le faible espace entre vous et ce livre a toujours existé, d’innombrables éléments éphémères l’ont traversé certes, mais lui s’est toujours étendu à l’infini, parce que l’espace de cette lecture est contenu dans l’espace de votre appartement, qui l’est de votre ville, pays, terre, système solaire et ceci à l’infini et le temps suivant forcément cette logique…

Le Big Bang ne fut alors qu’un petit événement dans « Notre » histoire, mais un petit rien dans cet « Infini Espace-Temps ».
Si vous arrivez à ressentir cette folie… que rien n’a jamais commencé et que rien ne se terminera jamais… vous touchez alors au vertige de « l’Existence »…

Les recherches de mon père sur le magnétisme, de part son rôle de sourcier et radiesthésiste l’ont amené progressivement à des observations qui dépassaient le simple fait de chercher des sources souterraines.


De recherches en trouvailles, il s’est rendu compte que ces sources dites aussi lignes telluriques avaient une influences sur les vivants, influences aussi morales que physiques, ce qui pouvait entre autre créer des troubles mentaux, des dépressions, des cancers…

Puis en avançant dans ses recherches, il se rendit compte que les anciennes églises étaient construites sur le croisement de lignes telluriques et qu’elles étaient reliées entre elles par ce même système.

Une personne qui mourrait, laissait un impact dans l’espace même ou elle était morte, une mémoire consultable dans certaines conditions.
De plus, de très nombreux événements (dits paranormaux) nous sont arrivés à ma famille… étaient-ils liés aux recherches de mon père ?

Nos connaissances évoluant, nos esprits s’ouvrant… peut être que oui…
N’ayant jamais vu de films ou vu de livres évoquer ces différentes théories, je me suis dit qu’il était essentiel d’en parler, de façon romancé et ludique pour toucher le plus grand nombre, certes…
Dans ce que vous allez lire, beaucoup de choses sont romancées certes, mais elles se basent sur des événements réels ainsi que sur de véritables théories développées au fur et à mesure des expériences.




Pour en finir avec cet avant propos, vous avez eu forcément tous à un moment ou à un autre une expérience de mort imminente, dans votre sommeil ou dans une action quelconque… et vous vous êtes observé distinctement en vous sentant attiré dans une autre dimension, un autre temps.
Beaucoup de religions parlent de l’âme, et je les rejoins au moins sur ce point, cette âme désincarnée doit être une voyageuse du temps… d’où cette question… et si la mort n’existait pas ?

Introduction
Pascal est un homme de 39 ans qui se pose beaucoup de questions existentielles… il ne se reconnait plus dans ce qu’il a été jusqu’à présent, c'est-à-dire rien…
Il a envie de trouver des réponses… lesquelles ?… il ne le sait pas plus que ça… mais pour la première fois de sa vie il ose tenter quelque chose d’instinctif… sans aucune logique ou stratégie quelconque.
Il se décide d’aller faire un reportage sur les légendes bretonnes, et par extension « Celtes ».
Cet urbain pure souche va découvrir qu’il y a des réalités beaucoup plus réelles et fortes que celles que la société moderne lui a enseigné.
Des réalités ancestrales qui ont traversé l’éternité discrètement, n’étant visibles seulement par des initiés, par des « éclaireurs » à l’âme ouverte.
Un monde va l’absorber progressivement, le poussant à ouvrir pleinement sa conscience, il sera dans l’obligation de devenir enfin ce qu’il doit être vraiment.

« Les portes de la connaissance sont ouvertes à ceux qui savent la voir… l’appréhender et l’accepter… »

Partie I Découvertes…

Chapitre N° 1 Disparitions…
Un chalet à la lisière d’une forêt, tranquille et chaleureuse, baignée par les rayons de lune de multiples fleurs qui se balancent au grès du vent. Le hululement d’une chouette accompagné de son battement d’ailes vient interrompre ce silence.
Dans la pénombre d’une pièce éclairée par une vieille lampe à pétrole, un objet en forme cylindrique finissant par une pointe survole une très ancienne carte aux allures de parchemin.
L’objet doré semble reconnaitre les tracés vallonnés, des forêts denses dessinées au fusain comme des peintures ancestrales.
Un homme immobile laisse quelques murmures s’échapper d’entre ses lèvres tandis qu’il tien l’objet tournoyant.
Ses sourcils épais s’inclinent vers l’intérieur ou l’extérieur du visage suivant le dialogue que semble lui entretenir cette boule de cuivre nommée « Pendule ». Son visage se crispe, le balancement de son partenaire s’accentuant anormalement.
Il le stoppe d’un coup sec, le pose sur la carte, prend quelques notes, frotte ses mains sur son vieux jean usé, regarde le balancier de la vielle horloge en face de lui qui y indique 11h55.

Une femme d’une cinquantaine d’années vêtue d’une robe de chambre rose, chantonne en remuant sa tisane, soufflant sur le liquide tout en l’invitant à se presser de refroidir.
Dans cette cuisine aux meubles anciens, marrons clairs usés par plusieurs vies déjà, le silence est juste brisé par cette aspiration timide de ce liquide brûlant et par cette petite mélodie qui se répète en boucle en deux rasades.
La tisane finie, elle porte le verre sous un vif filet d’eau froide et le pose au milieu des deux assiettes et des quelques couverts de la soirée qui attendent patiemment.
La femme jette un dernier regard pour vérifier que les volets soient bien fermés dans l’arrière cuisine, dans la cuisine, dans le salon. D’un pas lourd elle va tourner la clef d’un tour supplémentaire dans la porte d’entrée et pousse le verrou du haut puis celui du bas. Satisfaite, elle pousse un soupir de soulagement et s’attaque à la dernière épreuve de la journée, monter cet escalier aux marches si abruptes qu’elles-même souffrent en grinçant fortement à chaque pas.
Tout en haut de cet escalier se trouvent trois couloirs qui mènent chacun à une porte, à gauche est la chambre d’amis qui n’est plus utilisée depuis quelques années déjà. A droite cela mène au grenier, et tout droit à la chambre.
La femme gravit avec difficulté chaque marche, soufflant et geignant de ne pas voir grand-chose avec sa lampe à pétrole.


A la moitié de l’escalier elle fait une pause, tandis qu’un grincement se fait entendre, de l’autre coté de cette porte menant à la chambre d’ami, elle se fige et tend l’oreille.
Après quelque instant rien de nouveau, elle avance alors les yeux fixés sur la porte et la bougie bien en main, un autre craquement se fait entendre.
– Ce n’est que le bois qui travaille, tu sais bien ma vieille quand dans ces vieilles bâtisses tout travaille sauf ce qui devrait… l’éclairage par exemple… ah ! Si on pouvait enfin déménager de ce mouroir…
Elle avance encore dans un élan de témérité incroyable, sans toutefois rester trop stable comme la flamme de sa bougie, ses jambes la portant de moins en moins aisément, le courage à ses limites.
Elle fait quelques pas

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