Poursuivi initialement pour «usurpation d'identité», «tentative d'extorsion» et «association de malfaiteur», il dénonce un procès biaisé, basé sur «un dossier vide», qui lui a valu d'être condamné en novembre à trois années de détention. «Une procédure totalement inique. Un coup monté», dénonce Me Frank Berton, son avocat, rompu aux arcanes judiciaires malgaches devant lesquelles il a déjà porté plusieurs dossiers criminels.