Plainte de RANARISON Tsilavo en France au doyen des juges d'instruction le 4 juillet 2017

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RANARISON Tsilavo et la société NEXTHOPE ont ainsi assigné en référé en France, auprès du TGI d’Evry, le 21 juillet 2017, les époux Solo pour diffamation et que ceux-ci effacent des sites webs les pages incriminées avec à la clé une forte demande de dommages et intérêts.
Bien sûr que RANARISON Tsilavo et la société NEXTHOPE ont été déboutés de leur demande d’interdiction par le TGI d’Evry.
RANARISON Tsilavo et la société NEXTHOPE ont également déposé une plainte auprès du Doyen des juges d’instruction à Paris le 7 juillet 2017 pour diffamation en ces termes :
« Alors même que les juridictions malgaches de première instance, d’appel et de cassation jugeaient successivement Monsieur Solo coupable d’abus de biens sociaux et de faux et usage de faux en écriture de commerce, commis notamment au préjudice de Monsieur RANARISON, ce dernier constatait l’apparition, sur internet, de sites sur lesquels étaient publiés des articles destinés :
• à remettre en cause les décisions des juridictions malgaches, dont n’étaient publiés que des extraits tronqués ;
• à accuser, contre les faits et en dépit de la réalité, Monsieur RANARISON et la société NEXTHOPE d’infraction pénales, notamment en éditant des pièces de l’instruction pénale couvertes par le secret de l’enquête, que l’auteur des articles réinterprétait à sa guise ;
• à incriminer notablement Monsieur RANARISON, qui était pourtant la principale victime dans cette affaire, ainsi que la société NEXTHOPE. »
Plainte de RANARISON Tsilavo pour diffamation auprès du Doyen des juges d’instruction à Paris déposé le 4 juillet 2017
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29 octobre 2019

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Français

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38 Mo

RANARISON Tsilavo a déposé une plainte pour abus des biens sociaux avec demande d’arrestation à l’encontre de son patron Solo le 20 juillet 2015. Malgré sa charge de travail, le Procureur général a traité de suite la plainte et Solo a été mis en mandat de dépôt une dizaine de jours plus tard pour n’en sortir de détention qu’au prononcé du jugement, cinq mois plus tard, le 15 décembre 2015.
Bloqué en détention, ce sont les amis de Solo qui ont réuni toutes les pièces, qui heureusement sont sur le serveur de mails de google : la messagerie Gmail.
Pour condamner Solo à 2 ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 (un milliard 500 millions) d’Ariary, équivalent 428.492 euros à payer à un simple associé, RANARISON Tsilavo, le tribunal correctionnel d’Antananarivo (Madagascar) s’est contenté de motiver en TROIS MOTS : « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit ».
Le seul fait de condamner Solo à 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, simple associé de la société CONNECTIC, est une violation des lois malgaches par les magistrats malgaches, du tribunal correctionnel à la Cour de cassation, puisque la victime directe et personnelle d’un éventuel abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé.
Plusieurs sites ont été ainsi créés en France pour relater cette histoire invraisemblable de violation des lois par les magistrats malgaches mais somme toute ordinaire à Madagascar.
RANARISON Tsilavo et la société NEXTHOPE ont ainsi assigné en référé en France, auprès du TGI d’Evry, le 21 juillet 2017, les époux Solo pour diffamation et que ceux-ci effacent des sites webs les pages incriminées avec à la clé une forte demande de dommages et intérêts.
Bien sûr que RANARISON Tsilavo et la société NEXTHOPE ont été déboutés de leur demande d’interdiction par le TGI d’Evry.
RANARISON Tsilavo et la société NEXTHOPE ont également déposé une plainte auprès du Doyen des juges d’instruction à Paris le 7 juillet 2017 pour diffamation en ces termes :
« Alor s m ê m eqsue le jm alur idict ions ga che s depr e m ièr e inst a nce , d’appssa t ionet de ca e l jugsucce ssive m e nt e aie nt SoloM onsie ur coupd’a bus a ble t de f ux e ns socia de bie a ux et usaga ux e ne de f é cr it ur e de com m er ce , com m is not am m e nt a upr éjudice de Monsie ur RAN ARI SON , ce der nie r const at a it l’appa r it ion, sur int e r ne t , de sit e s sur le squels ét a ie nt publié s de s ar t icle s de st iné s :
• à r em e t t r e e n cause le s dé cisions de sjm a lur idict ions gdonta che s, n’é t a ie nt publié s que de s e xt r a it s t r onqué s ;
• à a ccuse r , cont r e le s f a it s et e n dépit de la r é alit é , Monsie ur RAN ARI SON e t la socié t é N EXTH OPE d’inf r a ct ionpé na les, not am m e nt e n é dit a nt de spiè ce s r uct ionde l’inst pcouver t e sé na le pcr eta r le se de l’e nquê t e , que l’a ut e ur de s a r t icles r é int e r pr é ta it à sa guise ;
• à incr im iner not a ble m e nt M onsie ur RAN ARI SON ,qt a itui é pour t a nt lapr incipa insia ff air e , vict im e a le cet t e da ns que la socié t é N EXTH OPE. »
Pla int e de RAN ARI SON Tsila vopa uf am a t ion our dif pdu D r ès oyde se n j uge s d’inst r uct ion à Pa r is dé posé le 4 j uillet 2 0 17
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