Moi, Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine , livre ebook

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Marie-Antoinette, jeune archiduchesse insouciante, jouit du plaisir des fêtes qui se tiennent à Vienne. Mais promise au dauphin du roi Louis XV, sa vie va prendre une autre tournure. Une fois en France, elle va découvrir la cour française et ses nombreux codes. Cela ne l’empêche pas d’organiser des fêtes, de former sa petite cour et de dilapider l’argent public. Découvrant son impopularité et prenant peu à peu conscience du mécontentement du peuple, elle tente de réagir. Mais la suite n’est qu’une succession d’événements qui va la conduire à l’inéluctable. Borromée nous livre un roman teinté d’histoire de France et nous plonge au cœur des pensées de Marie-Antoinette. Ses questionnements, ses craintes, ses envies sont mis en scène pour le plus grand plaisir du lecteur qui se laisse agréablement porter par la plume élégante de l’écrivain. De Vienne à Versailles en passant par Paris, de son adolescence à sa fin tragique, voici l’occasion de découvrir la vie intérieure de Marie-Antoinette.
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Publié par

Date de parution

28 février 2011

Nombre de lectures

158

EAN13

9782748361018

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

Moi, Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine
Christian Borromée Moi, Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine
Publibook
Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55 IDDN.FR.010.0115882.000.R.P.2010.030.31500 Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2011
Introduction Un dessin évoquant Marie-Antoinette et le supplice de Madame de La Motte sur le titre d’un récit intitulé « Moi, Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine » se justifie par les avis donnant une importance majeure à l’affaire du collier parmi les causes de la Révolution Française. Goethe,présent à Paris durant le procès du collier, a écrit : « L’événement me remplit d’épouvante comme l’aurait fait la tête de Méduse. » Mirabeaupensait que « c’était le prélude de la Révolu-tion. » Un jour en voyantBreteuil,Napoléondansdit «  lui l’affaire du collier, vous avez agi par pure animosité per-sonnelle contre le cardinal de Rohan. » Breteuil se justifia de son mieux. Napoléon finit par lui dire : « J’ai toujours regardé comme l’une des trois causes principales de la ruine de la monarchie,l’affaire du collier. Napoléon ajoute aussi la conduite de la cour dans les troubles de la Hollande (accusations contre la Reine d’avoir aidé son frère Joseph II). » Dropmore Manuscripts T VIII Londres 1912, p. 526. « On peut regarder la fameuse affaire du collier comme le premier acte de la révolution française. » (Arnoldiana, deSophie Arnould, Paris 1813).
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Après l’affaire du collier leduc de Penthièvre (des-cendant de Louis XIV par un bâtard, comme Madame de la Motte d’Henri II.) dira à la princesse de Lamballe : « Ma fille, c’est la fin de la monarchie en France. Prenez garde que la reine ne vous entraîne dans sa perte. » Ce qui se produira. Dans un libelle probablement de 1789,Madame de la Motterencontre à Londres qui Madame de Polignac – l’autre grande amie de la reine détestée par l’opinion pour ce qu’elle s’était fait donner – lui tient le langage suivant : « La Noblesse du sans pur, du sang chéri des Français qui coule dans mes veines, Madame, ne me permet pas de jouir en ce moment de mon triomphe ; je vous méprise trop depuis longtemps, pour éprouver la plus légère satis-faction de votre disgrâce personnelle, le seul bonheur que j’y voie est celui de ma Patrie, dont vous fûtes toujours l’ennemie, comme de tous les honnêtes gens. » Ces lignes montrent bien l’importance de la question du sang royal. Le laisser supplicier, comme l’a fait Louis XVIavecMadame de la Motte, revient à renoncer au fondement même de la monarchie, qui est précisément le sang. Leduc de Penthièvre,beau-père deMadame de Lamballe,décapitée en septembre 1792,l’avait bien com-pris, lui aussi : le supplice de Madame de la Motte sonne la fin de la monarchie. Les premières pages qui se passent à Schönbrunn sont certes « inventées », mais sont proches de certains textes de l’époque. Le nom du Capitaine Bielfeld Officier du régiment d’Annalt n’est pas inventé. La suite du livre suit de très près les documents que l’auteur a pu trouver au fil de ses recherches. La mort même de Marie-Antoinette pose un mystère entre les dépositions contradictoires du bourreau, ce qu’écrit Mercier et le récit de deux témoins
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