La Décentralisation et le citoyen
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Description

La décentralisation a mis en mouvement un processus qui a provoqué d'importantes transformations. Elle a créé des espaces de liberté, installé des contre pouvoirs face au pouvoir central et libéré des énergies. Personne ne la remet en cause y compris ses adversaires de 1982. En revanche, elle visait à rapprocher la décision du citoyen : cet aspect un peu oublié devient aujourd'hui une ardente obligation. La décentralisation a dix-huit ans, elle est majeure. Elle doit davantage devenir citoyenne. Source : Conseil économique et social

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Publié le 01 juin 2000
Nombre de lectures 26
Licence : En savoir +
Paternité, pas d'utilisation commerciale, partage des conditions initiales à l'identique
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

III
SOMMAIRE
Pages
AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 21 juin 2000........................... I - 1
I
II
III
- TROUVER UN JUSTE ÉQUILIBRE ENTRE LE RÔLE DE LÉTAT RÉGULATEUR ET LA LIBRE ADMINISTRATION DES COLLECTIVITÉS ...............................5 1. Il faut assurer aux collectivités les ressources nécessaires en renforçant légalité entre territoires et entre citoyens.......................5 2. Aujourdhui facteurs dinstabilité, les contrôles doivent être mieux exercés ..................................................................................7 3. La déconcentration doit être améliorée, maîtrisée ; le rôle de lEtat mieux affirmé et précisé .........................................................9
- SIMPLIFIER EN CONCILIANT EFFICACITÉ ET DÉMOCRATIE LOCALE ..............................................................11 1. Les compétences doivent être clarifiées pour mieux répondre aux besoins.....................................................................................11 2. Rendue plus coûteuse et plus complexe, la carte territoriale doit être modernisée ..............................................................................14 3. La décentralisation dans les grandes villes doit être accentuée ......18 4. La décentralisation dans lOutre-Mer français ...............................21
- RÉCONCILIER ÉLUS ET CITOYENS EN CONJUGUANT DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE ET REPRÉSENTATIVE....21 1. Un véritable statut de lélu local doit permettre la démocratisation des fonctions électives .........................................21 2. La démocratie participative doit être mieux reconnue, appliquée et amplifiée ....................................................................................24 3. Les instances de conseil aux élus doivent être confortées ..............27 4. Les conseils de développement : une nouvelle problématique de la participation ...............................................................................30 5. Enfin, il devient urgent, dans le contexte actuel de crise de la citoyenneté, de susciter plus fortement limplication des habitants dans la vie publique. .......................................................31
ANNEXE A LAVIS..........................................................................................37 SCRUTIN............................................................................................................37DÉCLARATIONS DES GROUPES...................................................................39
RAPPORT présenté au nom de la section des économies régionales et de laménagement du territoire par Mme Claudette Brunet-Léchenault, rapporteur ................................................................. II - 1
IV
INTRODUCTION ...............................................................................................5
CHAPITRE I - LA DÉCENTRALISATION DE 1982 : DES LOIS POUR RAPPROCHER LA DÉCISION DU CITOYEN ..................9
I - UNE LONGUE HISTOIRE ...............................................................9
A - QUEST-CE QUUN CITOYEN ?......................................................9 1. Une notion qui remonte à lantiquité ................................................9 2. Citoyens actifs et passifs ................................................................11 3. Le citoyen aujourdhui ...................................................................12
B - HISTORIQUE DE LA DÉCENTRALISATION...............................14
II - 1972-1982 : UNE DÉCENNIE DE DÉBATS .................................18
A - UN CONSENSUS EN FAVEUR DU MAINTIEN DES COLLECTIVITÉS LOCALES EXISTANTES .................................19 1. Le rapport «Vivre ensemble» ne proposait pas de modifier les bases établies par la loi de 1972.....................................................19 2. Le Projet de loi de développement des responsabilités des collectivités locales (PLDRCL) .....................................................19
B - LA RÉPARTITION DES COMPÉTENCES ET DES MOYENS .....20
C - DES CONTRÔLESA PRIORIJUGÉS TROP LOURDS..................21
D - LINFORMATION ET LA PARTICIPATION DES CITOYENS....21
III - LES LOIS DE 1982/1983 : LA CONCRÉTISATION DE LA DÉCENTRALISATION ..................................................................23
A - LAMBITION AFFICHÉEEN 1981 : UNE LOI DE LIBERTÉ ET DE RESPONSABILITÉ.....................................................................23
B - LE JUGEMENT ÉTONNAMMENTCRITIQUE DUN ACTEUR DE LÉPOQUE ..................................................................................24
IV - LES LOIS DE 1982/1983 : CONTENU...........................................26
A - LE PRINCIPE DE LIBRE ADMINISTRATION..............................27 1. La suppression de tous les contrôlesa priori.....................27............ 2. Le transfert de lexécutif départemental et régional .......................27
B - LA RÉPARTITION DES COMPÉTENCES ENTRE LES COMMUNES, LES DÉPARTEMENTS, LES RÉGIONS ET LETAT ..............................................................................................28 1. Les compétences.............................................................................28 2. La compensation des transferts de compétences ............................30
V - LAPRÈS 82 : UNE ÉVOLUTION RAPIDE, MAIS INCOMPLÈTE ET COMPLEXE ..................................................31
A - LORGANISATION ADMINISTRATIVE DE PARIS, LYON ET MARSEILLE (LOI DU 31 DÉCEMBRE 1982) ................................31
B - LES CONTRATS ETAT-RÉGION
S .................................................32
V
C - LA MISE EN PLACE DUNE FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE : LOI DU 26 JANVIER 1984 ..............................33
D - LES ÉLUS LOCAUX : LE NON-CUMUL DES MANDATS (LOI DU 30 DÉCEMBRE 1985) .......................................................33
E - LA POLITIQUE DE LA VILLE........................................................34
F - LA LOI RELATIVE À LADMINISTRATION TERRITORIALE DE LA RÉPUBLIQUE (6 FÉVRIER 1992) : LE DROIT À LINFORMATION ET À LA CONSULTATION.............................35
G - LES PROGRÈS DE LA COOPÉRATION ENTRE LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES..............................................36
H - LA LOI DORIENTATION POUR LAMÉNAGEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE (LOADT) (LOI DU 4 FÉVRIER 1995) : LES PAYS............................................................37
I - LA LOI DORIENTATION POUR LAMÉNAGEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE DU TERRITOIRE (LOADDT) (LOI DU 25 JUIN 1999) ....................................................................37
J - LA LOI RELATIVE AU RENFORCEMENT ET À LA SIMPLIFICATION DE LA COOPÉRATION INTERCOMMUNALE (LOI DU 12 JUILLET 1999).......................38
K - LES PROCESSUS EN COURS ........................................................39 1. Le transfert à la région des transports régionaux de voyageurs ......39 2. Les services sanitaires ....................................................................40
VI - LE STATUT PARTICULIER DE LA CORSE..............................41
A - UN NOUVEAU CADRE INSTITUTIONNEL.................................41 1. Une assemblée à la représentativité et la légitimité renforcées ......41 2. Le fonctionnement et les attributions de lassemblée de Corse ......41 3. Un exécutif collégial responsable ...................................................42 4. Le conseil économique, social et culturel .......................................43
B - LEXERCICE DES COMPÉTENCES ÉLARGIES DE LA COLLECTIVITÉ TERRITORIALE DE CORSE ..............................44 1. Laccroissement des compétences de la collectivité territoriale de Corse .........................................................................................44 2. Le respect des lois de la République...............................................45
VII - LE CAS DE LOUTRE MER FRANÇAIS.....................................45 1. Les territoires dOutre Mer.............................................................46 2. Les départements dOutre Mer .......................................................47
CHAPITRE II LES LIMITES DE LA DÉCENTRALISATION ..............51 -
I
- UNE CARTE ADMINISTRATIVE INCHANGÉE : UNE DISPERSION DES LIEUX DE DÉCISION ..................................52
VI
A - APERÇU DES PROJETS DE REDÉCOUPAGE ANTÉRIEURS À 1981 ................................................................................................52
B - TROP DE STRUCTURES : DES COÛTS ........................................57
C - LES EXEMPLES ÉTRANGERS.......................................................60 1. Pays fédérés, pays unitaires ............................................................60 2. Lexemple allemand : éclairant même sil nest pas transposable en France........................................................................................61 3. Progrès général de la décentralisation et restructuration en Europe............................................................................................644. Une valorisation de léchelon régional ...........................................65
D - QUELLES SOLUTIONS ONT ÉTÉ PROPOSÉES DANS NOTRE PAYS ?.................................................................................66
II - DES COMPÉTENCES DE PLUS EN PLUS IMBRIQUÉES .......68
A - LES COMPÉTENCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES ET LEUR APPLICATION DEPUIS 1983...............................................69 1. Bref rappel de la répartition des compétences des collectivités locales ............................................................................................69 2. Le fonctionnement et les limites des compétences partagées .........70 3. Les problèmes que pose une révision de la répartition des compétences ...................................................................................71
B - DES PROPOSITIONS ET DES POINTS DE VUE ..........................73 1. Des débuts hésitants dune réforme avec la loi du 4 février 1995 ..74 2. Limportance croissante des agglomérations..................................75 3. Diverses visions du problème des compétences .............................75
III - DES CONTRÔLES TROP SOUVENT INEFFICACES...............79
A - UN CONTRÔLE DE LÉGALITÉA POSTERIORIJUGÉ DÉFICIENT .......................................................................................79 1. 1982 : la disparition de la tutelle administrative .............................79 2. Lexercice du contrôle de légalité : les tâtonnements du contrôle a posteriori.....................80................................................................ 3. 1992 : un premier renforcement du contrôle de légalité .................82
B - CONTRÔLE BUDGÉTAIRE ET CONTRÔLE JURIDICTIONNEL : LES CHAMBRES RÉGIONALES DES COMPTES .........................................................................................83 1. 1982 : la disparition de la tutelle financière et le contrôle budgétaire.......................................................................................832. Les Chambres régionales des comptes ...........................................84
C - LES AMBIGUÏTÉS DES CONTRÔLES ..........................................86 1. Des contrôles hétérogènes : linégalité des citoyens.......................86 2. Les préfets face aux contrôles ........................................................87 3. Des moyens trop faibles .................................................................87 4. Les acteurs et les citoyens face à une surproduction normative .....88
VII
IV - UNE FISCALITÉ TROP COMPLEXE..........................................89
A - DES FINANCES LOCALES ET UNE FISCALITÉ TROP COMPLEXES ....................................................................................89 1. Lévolution de la répartition des prélèvements obligatoires...........89 2. La fiscalité locale............................................................................90 3. Les dotations de lEtat ....................................................................91 4. Lemprunt .......................................................................................96
B - LES DÉFICIENCES DU SYSTÈME ACTUEL................................98 1. Les disparités engendrées par la fiscalité locale .............................98 2. Les réformes engagées en 1999 et 2000 : vers une réduction de lautonomie financière des collectivités locales ? ..........................98
V - UNE INTERCOMMUNALITÉ CROISSANTE : EFFICACITÉ CONTRE DÉMOCRATIE ?................................101
A - LES DIFFÉRENTES FORMES DE COOPÉRATION INTERCOMMUNALE ....................................................................102 1. La première génération des structures de coopération..................102 2. La loi ATR : une recomposition des structures intercommunales et des efforts dans linformation du citoyen.................................103 3. La coopération entre les régions ...................................................106
B - UN SYSTÈME ADMINISTRATIF COMPLEXIFIÉ PAR LINTERCOMMUNALITÉ.............................................................1061. Chevauchement géographique des collectivités territoriales et des structures intercommunales, enchevêtrement des compétences .................................................................................106 2. Un manque de relations et de cohérence entre les structures........108
C - POUR UNE SIMPLIFICATION DE LINTERCOMMUNALITÉ.110 1. La question du financement des Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) : limites de la loi ATR .......110 2. La loi Chevènement, relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale ........................110 3. La légitimité des «pays» : identité locale ou démocratie locale ? .........................................................................................112 4. La démocratie et lintercommunalité............................................113
VI - UNE DÉCONCENTRATION TIMIDE ET UN RÔLE DE LÉTAT MAL DÉFINI ..................................................................116
A - UNE DÉCONCENTRATION VOULUE : LE CHEMINEMENT LÉGISLATIF ET RÉGLEMENTAIRE ...........................................116 1. 1982 : une ambition, mais des mesures limitées...........................116 2. 1992 : un nouveau sursaut : la loi ATR et la charte de la déconcentration ............................................................................117 3. La réforme de lEtat : vers une véritable déconcentration ? .........118
B - LES PRÉFETS : UNE MISSION RÉAMÉNAGÉE ........................120 1. 1982 : les conséquences de la décentralisation pour les préfets ...120
VIII
2. 1992 : la consécration du préfet de région ....................................122
C - DÉCONCENTRATION ET RÔLE DE LETAT ............................123 1. Des freins à la fois politiques et administratifs.............................123 2. Des partenaires locaux très demandeurs .......................................124 3. Les conséquences de la multiplication des acteurs .......................125 4. Quel rôle de lEtat au niveau local ?.............................................126
CHAPITRE III - LE CITOYEN SY RETROUVE T-IL ET PEUT-IL FAIRE ENTENDRE SA VOIX ? ........................................129
I
- LA FONCTION DÉLU LOCAL : LABSENCE DUN VÉRITABLE STATUT..................................................................129
A - LA SOCIOLOGIE DES ÉLUS LOCAUX ......................................130 1. Les élus locaux sont essentiellement des hommes .......................130 2. Lévolution de la représentation socioprofessionnelle des élus locaux...........................................................................................1313. Grands notables et petits élus .......................................................132
B - LA PROFESSIONNALISATION DES ÉLUS LOCAUX ..............133 1. La décentralisation a pour partie généré une certaine «professionnalisation» de la fonction élective...........................133 2. Ces tendances ne doivent pas cacher lextrême diversité de la situation des quelque 500 000 élus locaux français .....................134 3. Dune manière générale pourtant, la décentralisation a rendu nécessaire, pour tous les élus, lapprentissage de compétences accrues .........................................................................................135
C - LE CUMUL DES MANDATS ........................................................135 1. La limitation du cumul des mandats .............................................135 2. Pourtant dune élection à lautre, le cumul sétend ......................136
D - LE STATUT DE LÉLU LOCAL ...................................................137 1. Difficultés de mise en place dun statut........................................138 2. Les rapports et les projets avortés.................................................138 3. Lactuel «statut» de lélu local ...................................................140 4. Les lacunes et les éléments qui plaident pour un véritable statut .141 5. Les suggestions du livre blanc sur la décentralisation ..................142 6. Les propositions de lAMF...........................................................143
II - LES ASSEMBLEES CONSULTATIVES : LEXPRESSION GLOBALE DE LA CITOYENNETE ORGANISEE ..................147
A - LES ORGANES CONSULTATIFS DES RÉGIONS, DÉPARTEMENTS ET COMMUNES.............................................147 1. Lextension du rôle du CESR .......................................................148 2. La fonction consultative dans les départements et les communes 149
B - LE RÔLE ET LUTILITÉ DES ASSEMBLÉES CONSULTATIVES .........................................................................151
IX
1. Le premier rôle que peuvent jouer les assemblées consultatives est de contribuer à combler le fossé qui tend à sélargir entre les élus et lopinion............................................................................151 2. Leur utilité se fonde ainsi sur leur aptitude à offrir aux élus le moyen délargir et de diversifier leurs sources dinformation et les réflexions à partir desquelles sélaborent leurs prises de décision ........................................................................................152 3. Enfin, les assemblées consultatives offrent une tribune aux organes représentatifs qui y ont désigné des membres.................152
C - LES CESR ET LES CONDITIONS DUN BON EXERCICE DE LA DÉMOCRATIE .........................................................................153 1. En premier lieu, il existe un danger de dilution de la fonction consultative, du fait de la prolifération dorganismes parallèles ..153 2. En second lieu, les CESR ne peuvent fonctionner efficacement que si leurs membres bénéficient dun réel statut ........................155 3. Les CESR ne sont légitimes que sils sappuient sur leurs mandants ......................................................................................156
D - LES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT : UNE NOUVELLE PROBLÉMATIQUE DE LA PARTICIPATION.............................156
III - LE CAS DES GRANDES VILLES ET LA LOI PLM : AVANTAGES ET LACUNES.......................................................157
A - UN CERTAIN NOMBRE DE PRÉALABLES SIMPOSENT.......157
B - LES ASPECTS POSITIFS...............................................................158
C - LES LIMITES..................................................................................159 1. Lenveloppe financière ou Dotation globale darrondissements (DGA), est, dans tous les cas, extrêmement insuffisante .............159 2. Les moyens humains ....................................................................159 3. Les relations entre les élus darrondissements et les élus de la mairie centrale..............................................................................159 4. Et dans la vie quotidienne des citoyens ? .....................................160 5. Les organisations prévues.............................................................160 6. Les instances.................................................................................160
IV - LES TEXTES CONCERNANT LA PARTICIPATION DU CITOYEN : TROP TARDIFS ET TROP LOURDS...................161
A - UNE LENTE PRISE DE CONSCIENCE........................................161 1. La nouvelle citoyenneté................................................................162 2. Le déficit démocratique ................................................................162
B - LA LOI ATR : CINQ CHAPITRES POUR IMPLIQUER LES ADMINISTRÉS ...............................................................................163 1. Lexposé de la loi .........................................................................163 2. Les articles 9 à 17 concernent linformation des habitants ...........164 3. Les articles 18 à 23 concernent la participation des citoyens .......166
C - LA DÉMOCRATIE LOCALE : UN EX
ERCICE ENCADRÉ........168
V
X
1. Lexercice de la démocratie locale française se fonde essentiellement sur des textes législatifs. .....................................168 2. Linformation manque de transparence ........................................169 3. Les résultats de la consultation des citoyens par référendum ne simposent pas de plein droit aux élus .........................................170 4. Une recherche de démocratie de proximité ..................................172
- LAPPRENTISSAGE DE LIMPLICATION CITOYENNE : QUELQUES EXEMPLES VARIÉS DINITIATIVES ...............174
A - LES DIFFÉRENTS DEGRÉS DE LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE ............................................................................174
B - DES EXPÉRIENCES VARIÉES MAIS ENCORE LIMITÉES ......176 1. Linsertion des jeunes ...................................................................177 2. Les associations valorisées dans des conseils de quartiers ...........177 3. Limplication des habitants dans un contrat de ville ....................179 4. Les enveloppes de quartier à Châteaubriant .................................180 5. La pédagogie de la citoyenneté ....................................................181 6. Le conseil communal de la citoyenneté de Niort..........................183 7. «Lurbanité rurale» et la participation .......................................183
C - LES ASSOCIATIONS.....................................................................185 1. Les associations, espaces dexercice de la citoyenneté ................185 2. Le partenariat avec les associations ..............................................186
D - LES INSTANCES DES QUARTIERS............................................188 1. La nature des instances : conseils ou comités...............................188 2. Lexemple des Conseils de quartiers du XXearrondissement de Paris .............................................................................................189 3. Les comités de quartiers ...............................................................193
VI - LES OBSTACLES A UNE VÉRITABLE IMPLICATION DU CITOYEN .......................................................................................200
A - LAFFAIBLISSEMENT DU PRINCIPE DE CITOYENNETÉ .....201 1. La décentralisation na pas été capable de resserrer les liens entre élus et citoyens ....................................................................201 2. Cependant de nombreux citoyens déclarent vouloir simpliquer dans la vie publique .....................................................................203 3. La mise en uvre dune citoyenneté permanente.........................204
B - LE DISCOURS DES ÉLUS ET LA PRATIQUE ............................205 1. «Refonder la décision politique» ................................................205 2. Les élus associent, dans leur discours, les citoyens ......................205 3. La réalité est différente .................................................................207
C - UNE DIFFICILE RENCONTRE ENTRE LOFFRE ET LA DEMANDE DE PARTICIPATION.................................................208
CONCLUSION................................................................................................210
ANNEXES........................................................................................................217
Annexe 1 : Annexe 2 :
Annexe 3 :
Annexe 4 :
XI
Les droits de lhomme et du citoyen.............................................219 Répartition socioprofessionnelle des maires(Ministère de lintérieur - Bureau des élections  1999)................................222.... Répartition socioprofessionnelle des élus (à lexception des conseillers municipaux)(Ministère de lintérieur - Bureau des élections  1999)....................................25.2...................................... Mandats exercés par les maires -(Ministère de lintérieur - Bureau des élections  1999)..8.2.2................................................................
TABLE DES SIGLES .....................................................................................229
I - 1
AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 21 juin 2000
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